tag:blogger.com,1999:blog-82973994179013107882024-03-19T08:20:21.133-04:00TheVikingsworld Blog // Les Vikings en VFTheVikingsworld // L'actu des Minnesota Vikings en français : analyses, bilans, histoire.Unknownnoreply@blogger.comBlogger52125tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-47687359492964049162015-08-11T05:08:00.001-04:002015-08-11T05:08:55.933-04:00Minnesota Vikings 2015 // Teaser // A New Hope<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/VIeXtveDHOM" width="480"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-36258089628277554252015-05-05T17:57:00.001-04:002015-05-26T23:06:39.884-04:00Minnesota Vikings 2015 // Épisode #2 - La draft [Vidéo]<span style="color: orange;"><b><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Draft NFL 2015 // Veni, vidi, vici</span></span></b></span><br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvyYDtahWSOjn1-Gr_wk5nMF5H9v237nK74hQseIbv1x7apvYK00L5EltP-MO9ZVO7mPY0mZMQ7uj3tOKjyFhnxvybBUfxkIZpiwT74yaywMC2tE-bucGgpdBRcexPNfIRW0Ym2Y2lP9Y/s1600/Trae-Waynes-Jerry-Lai-USAT.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvyYDtahWSOjn1-Gr_wk5nMF5H9v237nK74hQseIbv1x7apvYK00L5EltP-MO9ZVO7mPY0mZMQ7uj3tOKjyFhnxvybBUfxkIZpiwT74yaywMC2tE-bucGgpdBRcexPNfIRW0Ym2Y2lP9Y/s1600/Trae-Waynes-Jerry-Lai-USAT.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Waynes' World (Jerry Lai / USA TODAY Sports)</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">He did it again ! Habitué aux drafts futées, Rick Spielman n'a pas dérogé à la tradition. Une fois de plus, le GM des Vikings a su renforcer intelligemment une équipe toujours plus jeune et talentueuse. Et cette fois, pas besoin de coup d'éclat. Pas de <i>trade up </i>en fin de 1er tour pour venir subtiliser une pépite au nez à la barbe de franchises qui pensaient pouvoir attendre pépère que leur joueur fétiche tombe dans leur escarcelle en début de 2e journée. Non, Spielman n'a pas joué les briseurs de rêves et a préféré jouer la carte de la patience. Et ça a plutôt bien marché. Comme quoi, les Vikings sont capables de revenir gagnants de Chicago. Parfois.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Cette année, le mot d'ordre était clair : D-FENCE ! Car cette draft n'a pas seulement été l'occasion de rappeler à toute la ligue que Ricky avait le nez creux, elle a aussi permis de montrer que le GM collaborait étroitement avec Mike Zimmer. Disons les choses clairement : les trois premiers choix puent le génie défensif qui fait office de head coach des Violets. Un cornerback grand et rapide encore perfectible techniquement et souvent trop physique, du pain béni pour Micky, reconnu comme l'un des meilleurs formateurs de corner ; un middle linebacker prêt à l'emploi, titulaire instantané entre Anthony Barr et Chad Greenway ; et un monstre physique avec un prénom de fille qui a encore beaucoup à apprendre pour maîtriser toutes les ficelles de son poste, mais qui possède des qualités athlétiques hors norme, un projet, comme un certain Barr. De quoi donner à Mike Zimmer l'occasion de faire étalage de ses talents de pédagogue et de développeur.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Jeudi + Vendredi = Défense</b></span></span></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Trae Waynes, CB, Michigan State Spartans </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les médias US nous avaient fait miroiter un premier tour plein de rebondissements, de <i>trades up</i>, de <i>trades down</i>, de<b> </b><i>trades </i>tout court. Il n'en fut rien. Bien au contraire même. Rarement un premier tour aura été aussi prévisible et presque ennuyeux. Prévisible comme le premier choix des Vikings. Brandon Scherff envolé du côté de la capitale fédérale, deux options s'imposaient : un <i>trade down</i> ou le meilleur cornerback de la cuvée 2015 selon la majorité des observateurs. Lorsque son head coach s'appelle Mike Zimmer, véritable sorcier capable de redonner vie à un secondary à l'agonie et que l'on évolue dans l'une des divisions les plus aériennes de la ligue, l'équation est simple. J'étais sceptique sur le choix de Rhodes il y a deux ans, trop rugueux, trop souvent pénalisé. Ses performances m'ont donné tort. J'en suis ravi. Et cette année, j'ai décidé de faire confiance au tandem Zimmer-Spielman.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i><b>"Coach Zim est un gourou des cornerbacks [...] J'ai vraiment hâte de voir quel genre de joueur il peut faire de moi, et j'espère pouvoir avoir un impact sur cette défense." </b>- Trae Waynes</i></span></blockquote>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Trae Waynes, c'est un savant mélange de taille (1.83m) et de vitesse (4.31 à Indy !!). En 27 titularisations avec les Spartans il n'a pas vraiment affolé les compteurs, amassant 13 passes détournées, 6 interceptions et 6 plaquages pour perte. Mais au poste de CB, c'est souvent du côté des stats des passeurs adverses qu'il faut se tourner. Et à ce petit jeu, Waynes' World n'est pas en reste : en 2014, il n'a concédé qu'un seul minuscule touchdown dans les airs. De quoi lui offrir une place unanime de titulaire dans l'équipe type de la Big-Ten. S'il ne possède pas une immense marge de progression et risque de régulièrement voir les mouchoirs jaunes voler autour de lui durant sa première saison à cause d'un marquage souvent trop agressif, il est le cornerback le plus NFL-ready de cette draft et est un plaqueur sûr à défaut de toujours être irréprochable. Comme son nouveau binôme, Xavier Rhodes, il excelle en <i>press-man coverage</i>. Avec son <i>1-2 punch </i>sur les ailes, la défense des Vikings est prête à en découdre avec Jordy Nelson, Megatron, Alshon Jeffery & Kevin White. La paire Antoine Winfield-Cedric Griffin était brillante, le duo Xavier "Closed" Rhodes-"Waynes' World" pourrait être génial.</span></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiW9Rr5d6I0ZtaNYBccanr7EgpIzo4F9pwFKkETkJDZaRg13ruYaVN6AdeBhGuXRFl5OVxEpl62Bize_-3TK3gc-4D5vS9CoYvfGJeA0hZv7j_hhZVZCm4rcEVPtBJNLFeE-V8_xYUA5Ws/s1600/Kendricks2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiW9Rr5d6I0ZtaNYBccanr7EgpIzo4F9pwFKkETkJDZaRg13ruYaVN6AdeBhGuXRFl5OVxEpl62Bize_-3TK3gc-4D5vS9CoYvfGJeA0hZv7j_hhZVZCm4rcEVPtBJNLFeE-V8_xYUA5Ws/s1600/Kendricks2.jpg" width="281" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Comme on se retrouve</span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Eric Kendricks, ILB, UCLA Bruins</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Génial, comme le 2e tour des Vikings. Le<b> </b>genre de choix que l'on fait les yeux fermés. Un <i>no-brainer</i>. Quand on doit combler un trou béant au cœur de sa ligne de linebackers et que le meilleur ILB de la draft est encore là quand vient son tour en milieu de 2e tour, c'est ce qu'on appelle un miracle. De quoi filer à l'église la plus proche pour y brûler tous les cierges. Comme son frangin, Mychal, Eric est une machine à plaquer. Inépuisable. Insatiable. À tel point qu'il a quitté UCLA en janvier avec le record de plaquages de l'histoire de la fac et le Butkus Award (récompense remise au meilleur linebacker NCAA) sous le bras. </span></div>
<blockquote class="tr_bq">
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i><b>"Je sais qu'il va faire des merveilles avec cette équipe." </b>- Anthony Barr à propos d'Eric Kendricks</i></span></div>
</blockquote>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">4.61 sur 40 yards. 32 au Wonderlic. 96.5 cm de détente verticale. 3m15 à l'horizontale. Kendricks en a dans la tête et dans les jambes. Féroce contre le jeu au sol, il possède, comme son frère, des qualités de couverture au-dessus la moyenne pour un linebacker. Un profil à la Sean Lee, les blessures en moins. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Kendricks a tout de la valeur sûre. </span>Loin du soleil de la Cité des anges, il retrouve son ancien compère Anthony Barr du côté de Minny. Une association qu'on a hâte de voir à l’œuvre. Et ça tombe bien, lui aussi.</span><br />
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><i>"Je ne pourrais pas être plus fier et heureux de faire partie de cette organisation – tout particulièrement parce que je trouve l'un des mes meilleurs amis et mon ancien camarade de chambre, Anthony Barr. C'est un rêve éveillé. J'ai hâte de jouer." </i></b><i>- Eric Kendricks</i></span></blockquote>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Danielle Hunter, DE, LSU Tigers</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si les deux premiers sont des joueurs accomplis, le choix de 3e tour des Vikings ressemble davantage à un projet. Ces fameux joueurs au potentiel long comme le bras, mais qui doivent encore tout apprendre. Ou presque. Et en parlant de bras, ceux de Hunter sont interminables (près de 87 centimètres !). Du haut de son mètre 95, il a éclaboussé le Combine de ses talents d'athlète : 4.57 au 40-yards dash, 3m30 de détente horizontale et près de 92 cm de détente verticale. Pas mal pour un beau bébé de presque 115 kilos.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Hunter, un nom et un physique qui le prédestinaient à devenir chasseur de quarterbacks. Et pourtant, du côté de la Death Valley louisianaise, il n'a pas vraiment collectionné les sacks. En 23 titularisations, il s'est contenté de 4.5 maigres sacks, 21 plaquages pour perte et deux fumbles forcés, souvent englué dans des blocks dont il ne sait se défaire. Faute de technique. Pas de quoi lui permettre de figurer ne serait-ce que dans les mentions de l'équipe type de la SEC en 2014. Mais suffisant pour le convaincre de se présenter à la draft. Suffisant aussi pour être sélectonné en fin de 3e tour, après que les Vikings aient glissé de 10 rangs. Un petit <i>reach </i>? Peut-être bien.<i> </i>Sa technique est sommaire, son arsenal pour déjouer les bloqueurs archaïque, son premier pas lent et souvent en retard. Il devra apprendre à utiliser ses longs bras et ses mains davantage que sa force brute pour franchir la ligne. À seulement 21 ans, il est un <i>boom-or-bust </i>en puissance. Si Mike Zimmer n'arrive pas à le dompter pour en faire un <i>pass rusher</i> redoutable, ou tout au moins efficace, personne n'y parviendra.</span><br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="420" src="https://www.youtube.com/embed/cUul7bdTHFg" width="640"></iframe>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Samedi, opération blindage</b></span></span></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après avoir comblé des besoins lors des deux premiers jours, les Violets ont ajouté de la profondeur et fait quelques bonnes affaires. En tout cas sur le papier. À commencer par <b>T.J. Clemmings</b>, tombé jusqu'au 4e tour à cause de pépins au pied. Une chute qui pourrait s'avérer providentielle pour des Vikings qui ont flairé le bon coup et vu là l'occasion de mettre la pression sur Matt Kalil. Si l'option sur la 5e année du contrat de rookie de l'ancien 3e choix général en 2012 a été levée, au même titre que celle d'Harrison Smith, il devra sérieusement rehausser son niveau de jeu s'il ne veut pas prendre la porte à l'issue de la saison. Quand il n'est pas blessé, Clemmings, defensive end reconverti en right tackle, est un mastodonte ultra mobile, capable d'évoluer côté aveugle et avec le potentiel pour devenir pro bowler. Rien que ça ! Il pourrait devenir LE <i>steal </i>de cette draft. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Toujours en attaque, les deux choix suivants pourraient se muer en joueurs-gadgets, capables de faire plus d'une chose. Le tight end <b>MyCole Pruitt</b>, une version 2.0 du très remuant Charles Clay, pourrait être utilisé comme fullback. Bloqueur fiable, il est également un receveur doué. Même dans la faible Missouri Valley Conference (FCS), on ne capte pas 211 passes pour 2601 yards et 25 touchdowns par hasard. Il devra se faire une place au milieu de Kyle Rudolph, Rhett Ellison, Brandon Bostick et Chase Ford. Sa polyvalence devrait l'aider. Drafté trois petits choix plus tard, l'électrisant <b>Stefon Diggs </b>a vu sa prometteuse carrière universitaire ruinée par des blessures et une suspension. Entre temps, il a tout de même trouvé le moyen d'enquiller 2227 yards et 14 touchdowns avec les Maryland Terrapins. Mike Wallace et Charles Johnson vissés sur l'extérieur, il tentera de se faire une place dans la rotation dans le slot, aux côtés de Jarius Wright et Adam Thielen. Sorte de Percy Harvin du pauvre, "ReDIGGulous" pourrait également succéder à Cordarrelle Patterson dans le rôle de retourneur en attendant mieux.</span><br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="420" src="https://www.youtube.com/embed/6j_i6gglGcA" width="640"></iframe>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Avec quatre choix et deux tours restants, les Vikings ont joué la carte de la profondeur. Il faut dire que les coups d'éclat sont rares à ce stade de la draft. Le left tackle <b>Tyrus Thompson</b> et son tout petit sack concédé en 2014 pourraient devenir une doublure à gauche, en tant que tackle ou guard, à condition que l'ancien pachyderme soit moins paresseux et perfectionne sa technique encore rudimentaire. <b>B.J. Dubose</b>, un defensive end qui ne sait pas <i>rusher </i>ne devrait pas souvent voir le terrain et devra compter sur ses qualité de <i>run stopper </i>pour avoir du temps de jeu. Right tackle à Alabama, <b>Austin Shepherd</b>, sa bonne technique et son maigre potentiel devraient se reconvertir en guard. Il est peu probable qu'il passe le cut et devra probablement se contenter du <i>practice squad</i>. À l'inverse d'<b>Edmond Robinson</b>, ultime choix des Vikings cette année et qui, s'il passe l'été en salle de muscu pour se renforcer physiquement, pourrait devenir la doublure d'Anthony Barr grâce à ses longs bras, ses mensurations idéales et un panel de mouvements varié.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;">Note : A </span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Des titulaires en défense, des playmakers en attaque, quelques steals et de la profondeur sur les lignes. Certains regretteront de ne pas avoir réuni DeVante Parker et Teddy Bridgewater. Pas moi. Certains regretteront d'avoir attendu le 5e tour pour drafter un receveur, un slot receiver qui plus est. Pas moi. Les hommes de Zimmer possèdent une escouade sans noms ronflants, à l'exception de <a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2015/03/mike-wallace-new-norse-express.html">Mike Wallace</a>, mais variée et relativement profonde. Adrian Peterson parti pour rester, la défense était la véritable priorité. Mission accomplie.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les Vikings ont rempli leur contrat et pourront à nouveau compter en 2015 sur une défense jeune et en plein élan qui pourrait rapidement se hisser parmi les 5 meilleures escouades de la ligue.</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-27552911856520796252015-03-16T23:39:00.001-04:002015-05-06T23:50:56.614-04:00Minnesota Vikings 2015 // Épisode #1 - Free Agency, Semaine 1 [Vidéo]<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-size: large;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Mike Wallace // The New Norse Express</span></span></span></b></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYfbtfjLmPBvZZK4ZZr_KupkXIZXjJhwSad6DmsA2gxMxGTCXfwewk2YStmddwCebcuOkjy2_cw6MVegEfOB6UeH9CDizi19BCtlDWGS2Fzt5GAiRVl9EDs40bMaahGNmxNGeF48fUb4Y/s1600/nfl_u_wallace_1920x1080.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYfbtfjLmPBvZZK4ZZr_KupkXIZXjJhwSad6DmsA2gxMxGTCXfwewk2YStmddwCebcuOkjy2_cw6MVegEfOB6UeH9CDizi19BCtlDWGS2Fzt5GAiRVl9EDs40bMaahGNmxNGeF48fUb4Y/s1600/nfl_u_wallace_1920x1080.jpg" height="360" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Un Dauphin dans l'État aux 10 000 lacs !</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Il y'a deux ans, il avait préféré la chaleur floridienne au froid polaire du Minnesota. Résultat, <b>Rick Spielman</b> s'était replié sur le Chessehead <b>Greg Jennings</b>. Deux ans plus tard, <b>Mike Wallace</b> est prêt à enfiler son bonnet, sa Canada Goose et ses bottes Timberland pour affronter la neige et le blizzard le temps d'une saison, en attendant l'ouverture du nouveau stade (achevé à 44% !). Résultat : l'exemplaire Greg Jennings prend la porte (sniff). Non sans surprise. Impitoyable NFL. La boucle est bouclée. Avec deux ans de retard, les Violets ont obtenu ce qu'ils voulaient. <i>Back to square one !</i></span><br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Dommage, en deux saisons, malgré une production en baisse (rien de surprenant quand on quitte Aaron Rodgers pour Ponder/Freeman/Cassel/Bridgewater), Greg Jennings s'était imposé comme le receveur le plus fiable. Une année de plus à Winter Park n'aurait pas fait de mal. Et s'il coûtait trop cher, on aurait pu se séparer d'un linebacker vieillissant et totalement à côté de ses pompes. Mais si vous voyez, celui avec le #52 dans le dos.</span><br />
<br />
<a name='more'></a><br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Mike Wallace est là, Greg Jennings ne l'est plus, alors parlons de l'ancien Steeler. Et il n'arrive pas seul puisque les Fins ont lâché un choix de 7e tour au passage. Parachuté à Miami en échange d'un choix de 7e tour en 2013, le receveur a pris la route des Twin Cities contre un choix de 5e <i>round</i>, cette fois-ci. Une bonne affaire pour les Dolphins. Un 5e tour que Minny avait obtenu en envoyant <b>Matt Cassel </b>à Buffalo. Un quarterback remplaçant contre un receveur numéro 1 ? On prend.</span><br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Un <i>trade </i>qui offre peut-être à <b>Teddy Bridgewater</b> la <i>deepthreat</i> qui lui manquait tant. Vous pouvez rayer Kevin White, Amari Cooper et DeVante Partker de vos <i>mock drafts</i>. Débarqué en provenance de Miami après deux saisons à souffler le chaud et le froid sous le doux soleil de floridien, les pieds dans le sable fin d'Ocean Beach, Mike Wallace va apporter au quarterback des Violets la verticalité qui lui a cruellement fait défaut lors de sa campagne de rookie. Greg Jennings parti, il devrait composer avec <b>Charles Johnson</b>, une autre fusée, un duo de choc sur les extérieurs, laissant à <b>Jarius Wright </b>et <b>Adam Thielen</b> le soin de quadriller le cœur du terrain. Un quatuor prometteur sur le papier. Et qui pourrait se transformer en quintet si <b>Cordarelle Patterson </b>se décidait enfin à apprendre à jouer au football.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Si Mike Wallace a davantage fait parler de lui à cause de ses crises d'enfant gâté et de ses caprices de star que de ses performances sur le terrain, il demeure un receveur redoutable. Dans la profondeur, on connaissait déjà sa pointe de vitesse phénoménale, mais sous l'uniforme des Dolphins, il s'est découvert des qualités de finisseur dans la endzone qu'on ne lui connaissait pas. De ses 11 derniers touchdowns inscrits avec les Fins, 10 l'ont été dans la redzone. En tout, ce sont 15 touchdowns et 1792 yards que le <i>speedster</i> du bayou a récoltés.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="390" src="https://www.youtube.com/embed/8cHHO9sfnbM" width="660"></iframe></div>
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Et à part Mike Wallace</b></span></span><br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Comme à son habitude Rick Spielman s'est fait discret. Il doit se réserver pour la draft. <b>Matt Cassel</b> expédié à Buffalo, <b>Christian Ponder </b>parti rejoindre Bill Musgrave à Oakland, les Vikings ont embauché <b>Shaun Hill</b>, l'ancien Ram, 49er et... Viking (!!!), pour jouer la nounou de Teddy. Durant son premier passage dans le Minnesota de 2002 à 2005, il n'a pas lancé la moindre passe, se contentant de deux courses pour deux yards négatifs. Probablement deux <i>QB kneels</i>. Espérons qu'il fera mieux s'il doit aller à la rescousse de Teddy.</span><br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">Côté départ, <b>Jasper Brinkley</b> a filé à Dallas, <b>Jerome Felton</b> a pris la même direction que Matt Cassel et Ponder est parti jouer le rôle de doublure de Derek Carr. Ah ! Et <b>Vladimir Ducasse </b>est parti <strike>renforcer la ligne offensive</strike> du côté de Chicago.</span><br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><b>Joe Berger </b>a prolongé deux ans, le bulldozer <b>Matt Asiata </b>(aka MA2YPC) a rempilé pour une petite saison, croisons les doigts pour que ce soit la dernière, le long snapper <b>Cullen Loeffler</b> aussi a prolongé, mais ça on s'en fout un peu. Ce dont on se fout moins, c'est la prolongation de <b>Tom Johnson</b>, l'ancien CFLer débarqué de La Nouvelle-Orléans, et qui, sorti de nulle part, a amassé 6.5 sacks dans la rotation installée par Mike Zimmer au cœur de la ligne défensive.</span><br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;">En attendant la draft et la, peut-être (et Ôôô combien souhaitable), prolongation d'<b>Harrison Smith</b>, les Vikings ne devraient pas animer outre mesure la free agency. Sauf si le cas <b>Adrian Peterson</b> trouve (ENFIN!!!!!!) son épilogue. Scénario idéal : un échange avec des choix de draft à la clé. Pourquoi pas un 2e tour ! Scénario probable : libéré sans contrepartie et direction le désert de l'Arizona pour retrouver son pote Larry Fitzgerald. Affaire à suivre.<b> </b></span>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: Arial,Helvetica,sans-serif;"></span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-80871342066846850762014-09-28T23:21:00.000-04:002015-05-06T23:50:39.190-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #7 - Week 4 [GIFs]<span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif; font-size: large;"><b>Minnesota Vikings (2-2) vs Atlanta Falcons (2-2) : 41-28</b></span><br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3ogUgN6lvSxIl-c2NFtrKfHGmr1LOccxHY7ETEA8ws4hY3TsK6FrhyzkoIfBok8EdB7SNOw2y3dGIoeL6imZyo6BSd7D2KUAcB8Of8y9eKjMc_YuWZd3sjObVm8gjkZRkyPEZsiWIxtw/s1600/tempandy-atl-092814-1-2ndq-r092814--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3ogUgN6lvSxIl-c2NFtrKfHGmr1LOccxHY7ETEA8ws4hY3TsK6FrhyzkoIfBok8EdB7SNOw2y3dGIoeL6imZyo6BSd7D2KUAcB8Of8y9eKjMc_YuWZd3sjObVm8gjkZRkyPEZsiWIxtw/s1600/tempandy-atl-092814-1-2ndq-r092814--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="395" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif; font-size: xx-small;">En effet, Teddy est remarquable sous pression</span></td></tr>
</tbody></table>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Jour 1 de l’ère Bridgewater. En espérant qu’elle soit longue et jalonnée de succès. En tout cas les choses ont démarré de la meilleure des manières. Dans une rencontre aux allures de feux d'artifice offensif, Falcons et Vikings se sont rendus coup pour coup. Longtemps en tête, les Violets on plié sous les coups de boutoir de Matt Ryan avant de se reprendre, emmenés par un jeu au sol dévastateur et un Teddy appliqué. Pas vraiment rassurante, la défense a su fermer les portes en fin de match pour sceller la victoire. On s'en contentera. Après une avalanche de mauvaises nouvelles et deux revers nets, on retrouve le sourire. Et c'est tout ce qu'on demandait.</span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><b><span class="Apple-style-span" style="color: orange;"></span></b></span><br />
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><b><span class="Apple-style-span" style="color: orange;">Le moment clé</span></b><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Moins de 4 minutes à jouer. Les Vikings viennent d’ajouter
trois points et de s’assurer un petit matelas de 10 points. Mais face au roi
des comebacks Matt Ryan, rien n’est encore joué. Acculés devant leur endzone
après une pénalité, les Falcons doivent traverser tout le terrain pour
sauvegarder un petit espoir de l’emporter. Le bout du monde. 20 yards séparent
Ryan du premier essai. Le quarterback adresse une longue passe périlleuse en direction de Roddy White en
bord de terrain. Seulement, Harrison Smith et Josh Robinson rôdent
dans les parages. Le safety bondit vers le cuir, s’en saisit, pose ses deux
pieds au sol in extremis et se mue, une nouvelle fois, en héros du match. Les Violets
récupèrent le ballon et font tourner l’horloge. Pour la forme, Blair Walsh
ajoute trois points. L’orgie offensive est terminée. Et pour une fois, ce sont
les Vikings qui en sont sortis vainqueurs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;"><br /></span></span></b>
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;">Le film du match</span><o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Comme face aux Patriots il y a deux semaines, les Vikings
démarrent pied au plancher. Après un premier stop en défense et sous l’impulsion
d’un Bridgewater séduisant, ils remontent le terrain à toute allure. Des
slants, des passes rapides, des courses entre les tackles, rien de bien
spectaculaire, mais ça marche. Le rookie est dans le match, concentré et
vigilant dans sa poche. Il trouve Jarius Wright en plein cœur de la défense. Le
receveur attrape le cuir et s’envole sur 52 yards. Tout en vitesse. Matt Asiata
finit le travail avec sa finesse légendaire (7-0). Mais comme face à New England,
la réplique est immédiate. Profitant d’une mésentente grossière entre Josh
Robinson et Captain Munnerlyn, Roddy White se retrouve derrière toute la
défense, seul au monde, Matt Ryan ne rate pas l’occasion et les Falcons
recollent rapidement. Trop rapidement. Et trop facilement. <o:p></o:p></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Mais heureusement, l’attaque est en forme ce dimanche. Elle
est même affamée. Pas même le temps de s’inquiéter. Mis sur orbite par un
retour de 49 yards de Cordarrelle « Flash » Patterson, Bridgewater
trouve Greg Jennings pour 29 yards. Asiata, en bon soldat, finit une nouvelle
fois le travail de ses coéquipiers. En force, histoire de changer (14-7). Un
stop défensif plus tard, Jerick McKinnon fait voler en éclat la défense d’Atlanta
et, profitant d’un block percutant comme on les aime du dynamiteur Jerome
Felton, file à toute allure pour une course virevoltante de 55 yards. Stoppés,
les Vikings doivent se contenter d’un field goal longue distance. Dommage. D’autant
plus que Blair Walsh le rate. Les Falcons en profitent et se retrouvent dans la
redzone en deux temps trois mouvements. Ryan trouve Patrick DiMarco isolé dans
l’en-but. Égalité (14-14).<o:p></o:p></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><img alt="http://cdn2.vox-cdn.com/uploads/chorus_asset/file/1404428/teddyy.0.gif" class="decoded" src="http://cdn2.vox-cdn.com/uploads/chorus_asset/file/1404428/teddyy.0.gif" /></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Alors que la mi-temps se profile à l’horizon, Bridgewater
orchestre de main de maître un drive de 78 yards. En 4 petites minutes, il
remonte le terrain. <span style="mso-ascii-font-family: Calibri; mso-hansi-font-family: Calibri;">À</span> coup de courses percutantes d’Asiata et de passes
millimétrées à destination de Rhett Ellison et Jarius Wright, les Viking se retrouvent
en position idéale. En mouvement, Teddy voit une fenêtre s’ouvrir et file
jusque dans la endzone, un petit plongeon en prime pour franchir la ligne.
Avec<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>moins de 2 minutes à jouer, les
Purple & Gold récupèrent le cuir avec l’occasion de creuser l’écart. En un
claquement de doigt, ils font le siège de l’en-but. McKinnon croit bien tenir
son premier touchdown, mais la décision est renversée. Walsh ajoute trois
points (24-14). Fin d’un premier acte convaincant, excitant. Vivement la suite !
<o:p></o:p></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><img alt="ted" src="http://cdn2.vox-cdn.com/uploads/chorus_asset/file/1404438/teddyyr.0.gif" /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">D’entrée, Bridgewater déjoue le pass rush des Falcons surun juke move et un spin move enchaînés dignes de Michael Vick et s’offre une petite chevauchée dans la
défense des visiteurs, histoire de bien ouvrir la seconde période. Blair Walsh
ajoute trois nouveaux points avant que Matt Ryan ne s’offre un triplé en se
connectant avec une vieille connaissance des Vikings, Devin Hester et ses
jambes de feu (27-21). Indisciplinée et moins inspirée, l’attaque cale. Le
momentum vient de changer de camp. Antone Smith, coutumier du fait, enfonce la
défense violette sur 48 yards et les Falcons prennent la tête. D’un petit point
(27-28). Comme un air de déjà-vu. Mais les hommes de Mike Smith ne sont pas vernis.
En tout début de quatrième quart temps, après le guard Justin Blalock et right tackle Lamar Holmes, c'est au tour du centre Joe Hawley de se blesser. En pénurie de bloqueurs, le
coach d’Atlanta est contraint de faire glisser Levine Tolilolo au poste de
right tackle. Un tight end. <o:p></o:p></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">En face, le bouclier violet a resserré les boulons et facilite
la tâche du rookie. Bridgewater arrose le terrain. Un coup Patterson, un coup
Jennings, un coup Wright. Les Falcons sortent les crocs et contraignent les
Violets à jouer le tout pour le tout. Mike Zimmer utilise son dernier temps
mort (avec encore 11 minutes à jouer !) et décide de tenter la quatrième
tentative. Asiata vole au-dessus de la mêlée, l’audace a payé. Rhett Ellison
ajoute deux points, les Vikings reprennent l’avantage (35-28). Les Falcons
tentent de répliquer, mais Matt Ryan est stoppé par une défense remontée,
portée par un TCF Bank stadium qui crie à pleins poumons. Sur une troisième
tentative cruciale, la ligne offensive est assiégée par le pass rush violet. Anthony
Barr surgit de derrière ses deux defensive tackles et fond sur le quarterback d’Atlanta.
Les hommes de Mike Smith vont devoir rendre le ballon. Mais pas à Teddy Bridgewater.
Visiblement blessé sur sa dernière série victorieuse (une entorse de la
cheville), le lanceur <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cède sa place à
Christian Ponder. Mamma mia ! Bien contenus par la défense des visiteurs,
les Violets doivent s’en remettre à la botte de Blair Walsh. De 56 yards. Même
pas peur. Mis en échec plus tôt de 48 yards, le kicker expédie le cuir entre
les perches. Deux possessions d’avance (38-28). On respire.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Puis vient la libération. Harrison Smith intercepte Matty
Ice et scelle la victoire des Purple & Gold. La corne de brume retentit.
Les fans rugissent de bonheur. Walsh corse l’addition (41-28). Josh Robinson s'offre une interception anecdotique sur la dernière action. Quel match !
Quelle victoire !<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;">L’homme du match :
Teddy Bridgewater </span><o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">« Great Under Major Pression. » Un surnom qui lui va
comme un gant. Ou plutôt comme les deux qu’il porte à chaque main. D’une sérénité
déconcertante dans la poche, concentré, le regard rivé droit devant, en quête d’une
cible, faisant fi de la pression du pass rush. Précis, vif, rapide dans ses
décisions, il a fait briller ses receveurs. Dans un jeu sans plutôt restrictif
il a arrosé Jarius Wright, insaisissable au milieu du terrain. Intelligent dans
ses décisions, il s’est même offert le luxe de marquer au sol. <o:p></o:p></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsW2nYDZoCLl5gGqGGDgdofbQA4oh8mDqKo4VOsJSZGbg4akwbjF_5xhLB-PY0p0IkjgR0H33mykU1oRR647pC0Z7OIL6_lf2PyoDDUtEpriqZbLZPbUj7AkQ8T-1OQQk5k6EHW0DLGUI/s1600/tempandy-atl-092814-1-1stq-bb092814--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsW2nYDZoCLl5gGqGGDgdofbQA4oh8mDqKo4VOsJSZGbg4akwbjF_5xhLB-PY0p0IkjgR0H33mykU1oRR647pC0Z7OIL6_lf2PyoDDUtEpriqZbLZPbUj7AkQ8T-1OQQk5k6EHW0DLGUI/s1600/tempandy-atl-092814-1-1stq-bb092814--nfl_mezz_1280_1024.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif; font-size: xx-small;">Matt Asiata a de l'énergie à revendre</span></td></tr>
</tbody></table>
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;">Le top : le jeu
au sol</span><o:p></o:p></span></b><br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"></span></b><br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">L’attaque au sol des Violets a rarement été aussi en verve
cette saison. Portée par un Matt Asiata percutant (oui oui ! C’est
possible) et un Jerrick McKinnon virevoltant, il a dynamité une défense d’Atlanta
pas vraiment au point. En 38 courses, le duo a amassé 212 yards et 3 touchdowns. Si Asiata a fait parler sa puissance pour inscrire deux
touchdowns, c’est par son explosivité et sa vitesse que McKinnon a semé la
pagaille dans la défense d’Atlanta. On en redemande. C’est peut-être bien lui
le successeur de Peterson.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span></b>
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Le flop : Captain Munnerlyn<o:p></o:p></span></b><br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"></span></b><br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"></span></b>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Si Xavier Rhodes n'a pas été irréprochable, il s'est bien repris en détournant quatre passes et réalisant quelques jeux déterminants. On ne peut pas en dire autant de Captain Munnerlyn. Souvent en retard, déconcentré, il n'a pas coupé la moindre passe. Sur le touchdown de Roddy White il mord à l'appât Julio Jones et laisse le receveur totalement seul dans son dos. Un exemple parmi d'autres des errements défensifs du cornerback ce dimanche. Dans un secondary pas vraiment rassurant, mais en léger progrès, c'est dire le travail qu'il reste à accomplir, il a clairement été le maillon faible.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;"><br /></span></span></b>
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;">En résumé</span><o:p></o:p></span></b><br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><span class="Apple-style-span" style="color: orange;"><br /></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">Incapable de marquer le moindre touchdown la semaine passée,
l’attaque Violette a frappé quatre fois. Pour la première fois depuis 2009, l’escouade
offensive a achevé la rencontre avec un quarterback au-delà des 300 yards, un
coureur au-delà des 100 yards et un receveur au-delà des 100 yards. Mieux
encore, jamais depuis 2004 (le moyen-âge !) les Vikings n’étaient rentrés
aux vestiaires avec autant de yards au compteur. Au final ces sont 558 yards
que les hommes de Mike Zimmer ont accumulé. Ajoutez à cela 41 points en attaque
et pas le moindre turnover et vous obtenez une performance offensive accomplie.
Jake Locke n’a pas beaucoup vu le terrain. De l’autre côté du ballon, le
tableau est moins reluisant : 28 points et 411 yards concédés. Seulement
la défense a su sortir les crocs en fin de match pour annihiler les espoirs de
retour des Falcons. Si c’est bien l’attaque qui a fait l’essentiel du travail,
l’escouade défensive a su éviter une déconvenue et assurer une victoire méritée.<o:p></o:p></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><b>La suite</b></span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;"><br /></span>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif;">L'ascenseur émotionnel se poursuit. Convainquants en première semaine, déconcertants au cours des deux suivantes, les Vikings ont fait renaître bien des espoirs. Prochaine étape, le premier match de division. Au Lambeau Field. En prime time. Teddy devrait être au rendez-vous, malgré sa blessure. Si la doublette Asiata/McKinnon a tout fait pour nous rassurer avant d'affronter la piètre défense au sol des Cheesers, l'escouade défensive risque une nouvelle fois de passer une sale soirée. Elle devra pourtant faire de son mieux pour contenir un Aaron Rodgers retrouvé. À moins que le pass rush se réveille enfin et s'inspire des Lions en étouffant le passeur de Green Bay. Souvent fébriles sur les troisièmes tentatives, les Vikings devront faire preuve de davantage de concentration. Dans une NFC North plus ouverte que jamais et où les défenses ne brillent pas vraiment, une victoire devrait revenir à l'équipe qui protège le mieux le ballon, comme Teddy Bridgewater et compagnie ont su le faire ce dimanche. S'il réédite une performance similaire, le jeu au sol sera la clé de cette rencontre.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<o:p></o:p></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-62858759652970474372014-09-22T14:38:00.004-04:002014-09-28T23:22:01.460-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #6 - Week 3 [GIF]<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;">Minnesota Vikings (1-2) @ New Orleans Saints (1-2) : 9-20</span></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuhZkURxrMxaeUse1vk4wfJeyusd-C8IF49GCgYmTc3WukJa0r69hwZNMog_U9JTkNs12R3wohjJPiGelAr9yOFXMRjDz9v2nR6IC1TL5NnhySGg_A7KzeV5SRGNG4r2I5o6LeK_AcwSM/s1600/tempsaints-ap-1sth-092114-t092114--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuhZkURxrMxaeUse1vk4wfJeyusd-C8IF49GCgYmTc3WukJa0r69hwZNMog_U9JTkNs12R3wohjJPiGelAr9yOFXMRjDz9v2nR6IC1TL5NnhySGg_A7KzeV5SRGNG4r2I5o6LeK_AcwSM/s1600/tempsaints-ap-1sth-092114-t092114--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="388" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Teddy Time !</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;"></span></b>Balayés par les Patriots. Privés d'Adrian Peterson (peut-être pour toujours). Les Vikings ne sont pas dans les meilleures dispositions au moment d'en découdre avec des Saints revanchards. Matt Cassel a repris ses bonnes habitudes en lançant une myriade d'interceptions, et toute la confiance accumulée depuis le début de l'été s'est évanouie.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">L'entame de match est catastrophique. La défense est asphyxiée, l'attaque avance au ralenti. En l'espace d'un quart temps, la rencontre est pliée. Malgré une belle résistance en seconde période, les Vikings payeront leur début cauchemardesque et leur incapacité à rejoindre la endzone. Et ce, malgré les grands débuts de Teddy Bridgewater. Car après tout, c'est bien ça le principal.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<a name='more'></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le moment clé</span></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une marée violette s’abat sur le bouclier des Saints. Venu
de la gauche, Captain Munnerlyn jaillit, bondit sur Brees, pris en tenaille par
le cornerback et Robert Blanton. Dans un ultime effort pour mettre le
quarterback à terre, Munnerlyn et ses 10 kilos de moins que le passeur
retournent Brees et le renversent. Aucun coup de sifflet. Les Vikings viennent
de stopper les Saints. Le momentum vient-il de changer de main ? Non…
Furieux, Brees se relève, bouscule Blanton, lui crie au visage, les arbitres
décident finalement de saisir et infligent 15 yards de pénalités aux Violets.
Les joueurs de Sean Payton conservent le cuir et quelques minutes plus tard
inscrivent le touchdown de la victoire. Merci les arbitres.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span><img alt="http://cdn2.vox-cdn.com/uploads/chorus_asset/file/1355116/capbrees.0.gif" class="decoded" src="http://cdn2.vox-cdn.com/uploads/chorus_asset/file/1355116/capbrees.0.gif" /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le film du match</span></b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le début de match ressemble étrangement à dimanche dernier.
Un véritable cauchemar. La défense est amorphe, incapable de contenir les
offensives des Saints. Pierre Thomas et Khiry Robinson engloutissent
les yards à toute vitesse, Drew Bress s’amuse. Nous nettement moins.
Résultat : deux séries et deux touchdowns pour les locaux (13-0). En face,
les deux Matt sont inoffensifs. Le premier peine à se connecter avec ses
receveurs, le second gagne péniblement trois yards, au prix d’efforts
surhumains. Sans jeu au sol, sans rythme et avec une défense incapable de
plaquer et un pass rush inoffensif, c’est un calvaire qui s’annonce. Mais l'escouade défensive laisser finalement passer l'orage et se reprend. Everson Griffen se met enfin en lumière et détourne la tentative de conversion du deuxième touchdown des Saints. Ce petit éclat marque le réveil de la défense. Enfin! </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRK6Wzkc443HdwDhLbJQHk7BflRVvvfeuxEpkZemHAshwtQCeQEmKVapBNSn413lL8DtB3IXP00znBMmFPhqrrReIir_d7aIalufm5zg5z7Grx8V_VHYnRzOEe2H_9G-N40EQmaiPR9HM/s1600/Drew+Brees+Robert+Blanton+Minnesota+Vikings+Y8CCrH0wAiZl.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRK6Wzkc443HdwDhLbJQHk7BflRVvvfeuxEpkZemHAshwtQCeQEmKVapBNSn413lL8DtB3IXP00znBMmFPhqrrReIir_d7aIalufm5zg5z7Grx8V_VHYnRzOEe2H_9G-N40EQmaiPR9HM/s1600/Drew+Brees+Robert+Blanton+Minnesota+Vikings+Y8CCrH0wAiZl.jpg" height="318" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Règle n°1 : ne jamais énerver Drew Brees</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après avoir pris la marée sur les deux premières séries, les hommes de Mike Zimmer ne concèdent que 66 yards sur les quatre drives suivants et contraignent systématiquement les Saints à dégager le ballons. Mais en face, la réplique est timide. Les Vikings, privés de jeu au sol, parviennent laborieusement à recoller par la botte d'un Blair Walsh retrouvé (13-6). Entre temps, intervient LE fait marquant de la rencontre. Après une belle remontée du terrain, Matt Cassel a remonté le cuir jusqu'aux 12 yards des Saints. Sans solution, sur une 3e tentative, il prend les jambes à son coup. Mauvaise idée. L'entreprise est vouée à l'échec et il est rapidement stoppé. Pire encore, son pied se retrouve écrasé sous un défenseur. Le quarterback sort blessé. Un mal pour un bien? Teddy Time! Walsh passe un premier coup de pied, avant de conclure de la même façon la première série offensive en NFL de Bridgewater. C'est la pause, les Vikings ont limité la casse.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Affûté, prudent, GUMP ("Great Under Massive Pressure") se voit à nouveau refuser l'accès à la endzone et les Violets doivent se contenter d'un nouveau field goal (13-9). Dans une seconde mi-temps qui file à toute allure, les deux équipes attaques font rapidement tomber les minutes. Les deux formations n'auront le ballon qu'à trois reprises chacune dans le deuxième acte. Après le coup de pied de Blair Walsh en ouverture, les Vikings sont contraints de punter sur les deux suivants. Les Saints ne sont pas plus en réussite jusqu'à ce qu'intervienne la pénalité sur Captain Munnerlyn. Drew Brees, remonté, retrouve son modjo et propulse Marques Colston dans la endzone (20-9). La défense violette vient de prendre un coup de massue. Les hommes de Sean Payton gèrent tranquillement la fin de rencontre. Sans véritable suspense, les Saints disposent de Vikings complètement à la rue en début de rencontre et qui n'auront jamais su se montrer véritablement menaçant. Il faut dire que sans Peterson et avec Asiata et ses 2,9 yards par course, c'est tout de suite moins effrayant.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">L’homme du match : Teddy Bridgewater</span></b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Teddy Time oblige, la vedette du match c’est bien Teddy
Bridgewater. La blessure de Matt Cassel a probablement précipité le début d’une
nouvelle ère dans le Minnesota. S’il n’a pas pu renverser la vapeur et
orchestrer un comeback, le nouveau franchise quarterback des Violets a montré
de belles choses : serein sous la pression monstre du pass rush des Saints,
capable de sortir des passes dignes de vétérans, même pris dans la mêlée, ou
encore de s’échapper de la poche pour faire avancer les siens au sol. Ses
premiers pas ont été convaincants. D’autant plus prometteur compte tenu de
l’absence de jeu au sol et de protection digne de ce nom.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le top : Harrison Smith</span></b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Malgré la défaite et une prestation d’ensemble plutôt
inquiétante, soyons chauvins. Dans le marasme d’une défense souvent dépassée,
en retard, complètement perdue, Harrison Smith a surnagé. Volant aux quatre
coins du terrain pour couper les passes et renverser les coureurs de La
Nouvelle-Orléans, l’ancien safety de Notre Dame s’impose plus que jamais comme
le leader de cette défense : exemplaire, impliqué et appliqué. C’est de
dix autres Harrison Smith que cette escouade aurait besoin.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDGTK2YlNDXszK8nE8xKoouc4O-ae33Ub360qR7nf3KP1Ff3mniJmhnbTYjoGF-KjSjo2YJDworinUe9Y9BI4avU1huCRMdi1yh4DUScQ4WbGhQD76kZRGEFzX4n_3wofzBmH-nYS-4ok/s1600/mattkalil.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDGTK2YlNDXszK8nE8xKoouc4O-ae33Ub360qR7nf3KP1Ff3mniJmhnbTYjoGF-KjSjo2YJDworinUe9Y9BI4avU1huCRMdi1yh4DUScQ4WbGhQD76kZRGEFzX4n_3wofzBmH-nYS-4ok/s1600/mattkalil.jpg" height="320" width="218" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Matt Kalil est encore en vacances</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le flop : Matt Kalil</span></b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si c’est l’ensemble de la ligne défensive qui semble
incapable de juguler le flot continu du pass rush adverse depuis le début de la
saison, c’est bien du côté gauche que vient la principale fuite. Matt Kalil
n’est que l’ombre de lui-même. Et quand il ne laisse pas les portes grandes
ouvertes aux chasseurs de quarterbacks adverses, il se met sur la trajectoire
de son propre passeur. Vite, rendez-nous le Kalil de 2012 ! </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>En résumé</b></span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">On prend les même (ou presque) et on recommence. Une ligne offensive perméable au possible, un jeu aérien sans aucune verticalité (à l'exception d'une passe de 30 yards vers Greg Jennings), des receveurs maladroits, à l'image de Kyle Rudolph, un Matt Asiata inutile, sauf sur quelques éclairs dans les airs. Ce qu'il arrive à faire de mieux, c'est limiter la casse sur les jeux mal engagés ; pour ce qui est de gagner des yards, c'est une autre affaire. Jarius Wright et Cordarrelle Patterson ont à nouveau été sous-exploités. Les deux formations ont marqué trois fois. Seulement, quand les Saints ont inscrit trois touchdowns, les Violets ont dû se contenter de trois coups de pied. L'efficacité dans la redzone sera à travailler. Point positif, les Purple & Gold n'ont pas concédé le moindre turnover. Ils n'en on pas forcé davantage... En défense, le pass rush est toujours en vacances (un seul petit sack), Robert Blanton est une catastrophe ambulante, humilié par deux fois sur la même action par Jimmy Graham. Seuls Harrison Smith et Gerald Hodges surnagent dans cette défense. Chad Greenway est cuit. Si Anthony Barr et Tom Johnson font de leur mieux, Brian Robison et Everson Griffen sont<b> </b>inexistants. La défense a laissé Drew Brees et les Saints convertir 9 de leurs 13 troisièmes tentatives. Un mal récurrent. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La suite</span></b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Cette équipe a du cœur, mais manque cruellement de talent en attaque pour épauler son quarterback. Sans Rudolph blessé et Peterson, sans jeu au sol (seulement 59 yards hier, dont 27 glanés par Bridgewater) la tâche de Teddy dans les semaines à venir s'annonce ardue. Pour espérer autre chose que des revers à la pelle, il faudra commencer par marquer. Et pas seulement des coups de pied. Jerrick McKinnon a beau être prometteur sur le papier, sur le terrain, on est encore loin du compte. Quant à Matt Asiata, il n'est qu'un titulaire par défaut. Rien de plus. Face à des Falcons qui ont fait voler en éclat la défense des Bucs jeudi dernier, les coéquipiers d'Harrison Smith devront poursuivre dans la lignée d'une seconde période nettement plus convaincante. Peut-être serait-il temps de donner sa chance à Antone Exum et d'épargner une nouvelle humiliation à Robert Blanton. Idem pour Chad Greenway... Une nouvelle ère a débuté dans le Minnesota. Et il faudra être patient. La course aux playoffs est très certainement reportée à une, voire deux, année. Dommage, la NFC North semble plus ouverte que jamais. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-36840833504378934852014-09-15T15:40:00.002-04:002014-09-22T14:39:54.917-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #5 - Week 2<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: large;"><span style="color: orange;"><b><b>Minnesota Vikings (1-1) vs New England Patriots</b> (1-1) : 7-30</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9LR_83EUgAehc_Hb-7sifT1cYyTo1U3HChxDQRlNDrbBGJR6Sdsw6YfioMcG86bkaI0JBE_MxxXxwNwXXec7lLlX98C3_yaKYCIlBA_jFY8ItoQN1kJh5tszEqS41FihYegzHX42L1Rk/s1600/temppats-andy-game1-q2-091414-k091414--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9LR_83EUgAehc_Hb-7sifT1cYyTo1U3HChxDQRlNDrbBGJR6Sdsw6YfioMcG86bkaI0JBE_MxxXxwNwXXec7lLlX98C3_yaKYCIlBA_jFY8ItoQN1kJh5tszEqS41FihYegzHX42L1Rk/s1600/temppats-andy-game1-q2-091414-k091414--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="426" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Matt Cassel s'apprête à faire une bêtise dans 4, 3, 2, 1...</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Séduisants la semaine passée dans le Missouri, les Vikings retrouvent Minneapolis avec le plein de confiance. Face à eux des Patriots revanchards après un revers cinglant à Miami. Sur le papier le duel semble plutôt équilibré. Pour la première fois depuis longtemps, les Violets ont un beau coup à jouer face à l'une des grosses formations de la ligue. Seulement, sur le terrain, c'est une tout autre affaire.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En l'espace de 48h, toutes les belles promesses nées du succès de dimanche dernier ont volé en éclat. Adrian Peterson englué dans une affaire de maltraitance, les Vikings ont perdu les pédales sur terrain. Après une première série prometteuse, pleine de maîtrise et de rythme, tout le bel édifice s'effondre. Si Matt Asiata fait de son mieux pour faire oublier l'absence d'Adrian Peterson, le reste de l'équipe semble endormi. À côté de la plaque. Résultat, une déroute. Une performance digne de la saison dernière. Des erreurs à la pelle, des pénalités à répétition (un arbitrage douteux en prime), des plaquages ratés, aucune idée en attaque, des équipes spéciales totalement dépassées. La Bérézina!</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<a name='more'></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le moment clé </span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">La mi-temps se profile. Les Vikings courent après le score, mais les Patriots sont encore à portée. Si le visage affiché par Matt Cassel et compagnie est tout sauf rassurant, il n'est pas encore temps de tirer la sonnette d'alarme. Mais ça n'est plus qu'une question de seconde. Les Violets remontent le terrain et s'approchent de la endzone. Il ne l'atteindront pas. La faute à un Cassel une nouvelle fois imprécis qui rate un Cordarrelle Patterson plus ouvert que jamais. Une passe qui file en dehors des limites du terrain, une occasion manquée. Il faudra se contenter d'un field goal.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Rassurant la semaine dernière, Blair Walsh a l'occasion de réduire l'écart juste avant la pause. Mais c'est sans compter sur la ruée furieuse de la défense des Patriots. Le coup de pied est bloqué, Chandler Jones bondit sur le ballon, s'en empare et file jusque dans la endzone, 58 yards plus loin. Les Patriots viennent de définitivement assommer les Vikings. Le second acte sera anecdotique. Un chemin de croix pour des Violets complètement dépassés.</span><br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhtMrFiLG5J-Re79YYJKCQB24pbE0QSe3zKZfwcpT493VU9XQaiyJA2vE4zpheP0IvIeXOCBKJ50CwAiJ2iB-wtxZKZxQkLGMP2Yxq-VQ6v4oAHudQQUtPr_G06BPNvrUeJOam2If0HKqQ/s1600/c162202a-fee9-3e41-a96d-25eeddb54e30.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhtMrFiLG5J-Re79YYJKCQB24pbE0QSe3zKZfwcpT493VU9XQaiyJA2vE4zpheP0IvIeXOCBKJ50CwAiJ2iB-wtxZKZxQkLGMP2Yxq-VQ6v4oAHudQQUtPr_G06BPNvrUeJOam2If0HKqQ/s1600/c162202a-fee9-3e41-a96d-25eeddb54e30.jpg" height="400" width="235" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Et une offrande de Matt Cassel. Une!</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Le film du match</span></b></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Les Vikings ont pourtant démarré tambour battant. Dans leur écrin temporaire, les hommes de Mike Zimmer exécutent un premier drive parfait. Un playcalling malin de Norv Turner, une réalisation parfaite de Matt Cassel et Matt Asiata met le turbo le long de la ligne pour conclure la première série dans la endzone au terme d'un déboulé de 25 yards (7-0). Les Violets semblent partis sur les mêmes bases que la semaine dernière. La défense y va même de son petit stop. Comme dans un rêve. L'entrée en matière est idéale.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Seulement le rêve se transforme très (trop) rapidement en cauchemar. Le passeur Violets force une passe en double couverture, Devin McCourty bondit, s'empare du cuir et remonte le terrain sur 60 yards, échouant quelques pousses de l'en-but. Stevan Ridley se charge de convertir l'offrande de Cassel (7-7). Pendant que l'attaque Violette enchaîne les punts et ajoute une nouvelle interception, Tom Brady, pépère, à un train de sénateur, se connecte avec un Julian Edelman très sollicité (7-17). </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Alors que la mi-temps se profile à l'horizon, les Vikings remontent le terrain. Lentement, mais sûrement. Après une passe ratée dans la endzone vers Kyle Rudolph, Cassel a l'occasion de mettre les siens en position idéale dans la redzone. Mais l'ancien Patriot trouve le moyen de manquer l'immanquable et d'envoyer une passe à destination d'un CP84 totalement ouvert hors des limites du terrain. Le passeur est dans un mauvais jour. Et il ne fait pas les choses à moitié. Comme si la faillite de l'attaque ne suffisait pas, les équipes spéciales décident également d'en mettre une couche. Alors que Blair Walsh se présente face aux perches pour combler l'écart juste avant de rentrer aux vestiaires, son coup de pied est bloqué par des Patriots enragés. Chandler Jones bondit sur le cuir, s'en empare et parcourt les 58 yards qui le séparent de la terre promise (7-24). Consternation. On a retrouvé les Vikings version 2013. Bien trop vite.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">La suite seconde période est presque anecdotique. Matt Asiata fait ce qu'il fait de mieux : des courses de 1,5 yards. Matt Cassel multiplie les erreurs de lecture et complète sa collection avec deux nouvelles interceptions dignes d'un rookie. Le rookie justement, son nom retentit de plus en plus fort dans les travées d'un TCF Bank Stadium déjà bien clairsemé. Norv Turner a totalement oublié Cordarrelle Patterson. Greg Jennings est maladroit. Matt Kalil n'est que l'ombre de lui-même. La défense aux abois. À l'image d'un Xavier Rhodes complètement perdu. Le pass rush est inexistant. Seuls Harrison Smith et Jasper Brinkley surnagent. Dans un second acte sans intérêt, les Patriots gèrent tranquillement, sans brio. Mais après tout, ils n'en ont pas besoin. Clap de fin (7-30). Les Vikings viennent de redescendre sur terre. Sous terre même.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">MVP : le secondary des Patriots</span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Portés par un duo Revis-Ryan affuté, le secondary des Pats n'a pas lâché les receveurs Violets d'un centimètre. Incapables de se défaire du marquage, les jouets de Cassel ne sont que trop rarement parvenus à s'isoler. Avec 4 interceptions au compteur, le dernier rideau a parfaitement su profiter des erreurs de débutant du passeur et a faire preuve d'un remarquable opportunisme. Bien aidé par des defensive back affutés, le pass rush de la Nouvelle-Angleterre a infligé 6 sacks, souvent le fruit d'un marquage proche de la perfection, contraignant Cassel à retenir son bras en quête d'une cible démarquée. En vain.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Le top : la ligne offensive des Patriots</span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Déchirée de part en part par le pass rush des Dolphins la semaine dernière, la ligne offensive des Pats est restée imperméable dimanche après midi. Ou presque, ne concédant qu'un seul petit sack de Tom Johnson, en fin de match, quand l'issue de la rencontre était déjà scellée. Le pass rush des Vikings s'est heurté, inexorablement, sur un bouclier protecteur plus imperméable que jamais. Résultat : Tom Brady a été dans un fauteuil. Rarement approché. Le jeu au sol a également profité d'une ligne offensive décidément très en jambes.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><b>Le flop : Matt Cassel</b></span></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Dans le naufrage collectif des Vikings, c'est Matt Cassel qui remporte la palme. Après une première série impressionnante de maîtrise, le passeur a sombré. Nous rappelant de façon brutale qu'il demeure un joueur moyen, capable du meilleur, mais plus souvent du pire. Des interceptions et des erreurs de lecture à gogo. Des passes forcées en double couverture. Une absence totale de gestion de la pression. Il faut dire que son bouclier ne l'a pas vraiment aidé. Des parpaings à foison. Irréprochable dans le Missouri la semaine dernière, il a été incapable de protéger le ballon. Un cauchemar éveillé.</span><br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZ1Kzpm2UYQ0Xe7__JfWgJNnKG-lO7B80Rt_OZAMlSRbjqesgKn3LX3VZot3gLLaqCfCBLbXHFBLDiUpf8zRTxGI-dlGcnIHxPlooF1miY9K8bYAc19C1MsXen1D80UXJubEl_48a8fEg/s1600/temppats-ap-game1-h2-091414-v091414--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZ1Kzpm2UYQ0Xe7__JfWgJNnKG-lO7B80Rt_OZAMlSRbjqesgKn3LX3VZot3gLLaqCfCBLbXHFBLDiUpf8zRTxGI-dlGcnIHxPlooF1miY9K8bYAc19C1MsXen1D80UXJubEl_48a8fEg/s1600/temppats-ap-game1-h2-091414-v091414--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="400" width="280" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Mike Zimmer a du pain sur la planche</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>En résumé</b></span></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Matt Cassel n'est pas le seul à blâmer. Loin de là. Rien n'a marché hier pour les Vikings. Une défense dépassée. Des plaquages ratés. Un secondary de cours de récré totalement passif et coupable de fautes grotesques. Un Matt Asiata fidèle à lui-même. Deux lignes inexistantes. Des équipes spéciales aux abonnés absents. Un coaching douteux : pas (ou presque) de Jerrick McKinnon à l'horizon. Un coordinateur offensif qui délaisse son meilleur atout. <b> </b>Et toujours pas de Teddy à l'horizon. Et pourtant, quoi de mieux qu'un peu de temps de jeu dans un match plié, sans la moindre pression, pour emmagasiner un peu d'expérience? Une énigme. Malgré l'incroyable indiscipline des hommes de Belichick (15 pénalités pour 163 yards! Autant que l'attaque aérienne des Violets...), les Vikings n'ont jamais été en mesure d'inquiéter les visiteurs. À part le temps d'un premier drive. Une rencontre à ne surtout pas oublier et de laquelle il faudra retenir bien des erreurs à ne pas répéter.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">La suite</span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">La confiance retombée à zéro, les Vikings se déplacent en Louisiane avec une défense qui nous rappelle bien trop celle de la saison dernière. Avec 30 points au compteur, elle a retrouvé ses tristes standards de l'année passée. Pas rassurant lorsque l'on s'en va sur les terres de Drew Brees. Surtout que les Saints auront beaucoup de choses à se faire pardonner devant leur public. Face à Marques Colston et Jimmy Graham, la défense risque de passer un mauvais après-midi. En attaque, Adrian Peterson, réintégré ce lundi, devrait être du voyage. Un retour qui devrait faire un bien fou. Difficile de faire un pronostic quant à la performance à venir de Matt Cassel. Du moment qu'il protège le ballon, tout est possible. Dans le cas contraire, la défense de Rob Ryan devrait se régaler. Au fond du trou, les Vikings ne peuvent que remonter la pente. Plus que le résultat, c'est la manière qui comptera dans le Bayou. Deux rencontres et deux visages différents cette saison. Si la confiance s'est soudainement mutée en inquiétude, la saison reste encore jeune et dans une NFC Nord toujours aussi ouverte, l'heure n'est pas encore aux conclusions.</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-36852534734475416122014-09-07T20:59:00.000-04:002014-09-15T15:40:41.899-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #4 - Week 1 [GIFs]<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange; font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><b>Minnesota Vikings (1-0) @ </b>Saint-Louis Rams (0-1) : 34-3 </b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmDx4jmvhxO_VS0NRO0lhLfsHuY21HrSV2h1CEKYVTG4gYjtNwf5Sn-VlR6xcKjdyMq-k0bcwUiofn-Tg4pp4Gc8Gb6m1RTXtBQzqJZcyZliVGO1ZyIr6sadOXwThGLmTE-uxgFBC2Ioo/s1600/temprams-andy-1sthalf-090714-n090714--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmDx4jmvhxO_VS0NRO0lhLfsHuY21HrSV2h1CEKYVTG4gYjtNwf5Sn-VlR6xcKjdyMq-k0bcwUiofn-Tg4pp4Gc8Gb6m1RTXtBQzqJZcyZliVGO1ZyIr6sadOXwThGLmTE-uxgFBC2Ioo/s1600/temprams-andy-1sthalf-090714-n090714--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="462" width="640" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: xx-small;">Tout plane pour les Vikings !</span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Incapables de gagner loin de leurs bases la saison passée (la victoire à Londres mise à part, techniquement glanée à domicile), les Vikings ouvrent leur saison 2014 à St. Louis. Privés de Sam Bradford, les Rams doivent s'en remettre à Shaun Hill (Tiens! Un ancien Viking), souvent relégué à un rôle de doublure ces dernières années. Et ça n'est sûrement pas un hasard. À sa disposition, un groupe de receveurs jeune et prometteur, et un duo de coureurs toniques. De quoi s'étalonner pour la défense new-look des Purple & Gold : nouveaux joueurs, nouveau coach, nouveau schéma.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">En face, les Vikings doivent affronter le redoutable front four des Béliers<b> </b>et leur pass rush survitaminé. De quoi donner des migraines au bouclier des Violets, souvent à la peine en pass protection durant la présaison. Deux équipes en reconstruction, jeunes et pleines d'ambition. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Un duel incertain en perspective. Du moins sur le papier. Car rapidement, ce sont les visiteurs qui mettent la main sur le match. Et ils ne vont jamais le lâcher. Dans le sillage d'une défense retrouvée, virile, percutante, presque hermétique, Matt Cassel </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">(17/25, 170 yards et 2 touchdowns) joue sa partition à la perfection. Rien de bien excitant. Loin de là. Mais une copie presque parfaite et un joli rating de 113,8. Un chiffre qui fait rêver pour un quarterback de Minneapolis. </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Après nous avoir habitué à nous faire perdre des rencontres qui nous tendaient les bras, la défense a enfin décidé de changer de disque, offrant sur un plateau un premier succès ô combien précieux. Oui, oui! La défense. Aussi surréaliste que cela puisse paraître. Véritable point d'interrogation à l'orée de cette nouvelle saison, l'escouade défensive a réussi son premier test avec brio. Cinq sacks, deux interceptions, un touchdown et seulement six points dans la musette. L'effet Mike Zimmer se fait déjà ressentir.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange; font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Le moment clé </b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: white; font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Fin de troisième quart temps. Les Vikings font tranquillement la course en tête (13-3). Pépères. Mais si les Rams ne sont pas vraiment inquiétants, la défense Violette nous a appris au fil des années à ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Mais ça c'était avant. En 2013.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Après un punt des hommes de Jeff Fisher, les Vikings récupèrent le cuir dans leur camp. Sur le premier jeu, Cordarrelle Patterson (3 réceptions, 26 yards ; 3 courses, 102 yards et un touchdown) se met en mouvement et va se positionner derrière Matt Cassel, en position de coureur. Le quarterback lui transmet le ballon main à main, <i>Flash </i>déborde sur la droite, enclenche le turbo, repique vers le cœur du terrain, navigue dans la défense en multipliant les plaquages cassés et humiliant quelques défenseurs au passage avant de se propulser dans la endzone dans un ultime effort. Le magicien vient de frapper. 20-3 Vikings. Le trou est fait. Il ne sera jamais comblé.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span></div>
<div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<span style="font-size: small;"><a href="http://giant.gfycat.com/BeneficialSoggyHoopoe.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://giant.gfycat.com/BeneficialSoggyHoopoe.gif" height="360" width="640" /></a></span></div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: black;"><b> </b></span><b></b></span></span></span><br />
<a name='more'></a><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Le film du match</b></span></span></span></div>
<div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span></div>
<div>
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Rentrée oblige, les deux formations semblent empruntées en début de rencontre. Les pénalités s'accumulent, les first downs nettement moins. Pendant que les Rams multiplient les punts, les Vikings parviennent à ouvrir le score par la botte de Blair Walsh et sa jambe bionique retrouvée. Après un premier essai réussi de 52 yards, le kicker ajoute un coup de pied de 46 yards en début de deuxième quart temps. Les deux lignes offensives sont mises à rude épreuve. À ce petit jeu, c'est Matt Cassel qui s'en sort le mieux. Longtemps mis à mal par le pass rush énergique des Rams, il trouve enfin la cadence. </span></span></div>
<div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span></div>
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">À l'approche de la mi-temps, survient le premier tournant du match. Avec moins de deux minutes au compteur, la franchise de St. Louis entreprend une remontée du terrain. Leur entreprise tourne court. Après un sack de Tom Johnson, Shaun Hill se connecte avec... Josh Robinson. Wrong team! Sur une passe en direction du bord du terrain, le cornerback surgit devant Jared Cook, s'empare du cuir, les pointes de pied en extension au prix d'un numéro d'équilibriste dont on avait presque oublié qu'il était capable. L'effet Mike Zimmer? Peut-être. Toujours est-il que les Vikings saisissent le momentum. Quatre jeux plus tard, Matt Cassel trouve Greg Jennings </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> (6 réceptions, 58 yards et un touchdown) dans le fond de la endzone. L'ancien Cheeser fait lui aussi parler ses talents d'acrobate et nous rappelle au passage qu'on a toujours besoin d'un Greg Jennings dans son effectif. C'est la pause. Rarement menacés, les Violets mènent 13-0.</span></span><br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxeAiiMLKUab67_8CP4Pc5FlfC_MQq8NzN15eyd8RXFwMJq1P3UV1wAjzbMSPrbbd6winRqxxnE0_KiLytQ0gQgV-qoFS5YWUj3aAKLbYwlZortRhv3eQcMcfeckBDSPzJOrViQpiJuOs/s1600/d73039ac-0fc8-33b7-a498-32b83a9b4e68.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxeAiiMLKUab67_8CP4Pc5FlfC_MQq8NzN15eyd8RXFwMJq1P3UV1wAjzbMSPrbbd6winRqxxnE0_KiLytQ0gQgV-qoFS5YWUj3aAKLbYwlZortRhv3eQcMcfeckBDSPzJOrViQpiJuOs/s1600/d73039ac-0fc8-33b7-a498-32b83a9b4e68.jpg" height="400" width="266" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Greg Jennings, toujours aussi précieux</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Et
au retour des vestiaires, on reprend les mêmes et on recommence. Ou
presque. Shaun Hill mis sur le banc et remplacé par Austin Davis,
l'attaque de Jeff Fisher patine toujours autant. Le jeune passeur a beau
enquiller les yards, la défense de Mike Zimmer a mis les barbelés. La
pression se fait plus forte que jamais. Greg Zuerlein refait
(légèrement) le retard des siens sur un coup de pied de mammouth de 55
yards. Mais les Rams ont à peine le temps de reprendre espoir que
Cordarrelle Patterson entre en scène. Le couteau suisse offensif des
Violets écrase le carburateur, humilie la défense des locaux et les
assomme définitivement au terme d'un numéro de soliste dont il a le
secret. Les "Let's go Vikings" montent dans le Edward Jones Dome. Les <i>boos </i>également. </span></span></span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le dernier quart temps ressemble à un chemin de croix pour les Rams. Les sacks s'enchaînent. Everson Griffen envoie Austin Davis goûter le synthétique sur deux actions consécutives. Et pour parachever le récital défensif des Vikings, Harrison Smith y va de son interception. Surgi de nulle part, il chipe le ballon et s'envole sur 81 yards vers la endzone, bien accompagné par un Everson Griffen plus rapide que jamais. Les Rams sont à l'agonie. Entre temps, Matt Cassel avait parfait sa fiche statistique en trouvant Kyle Rudolph </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> (2 réceptions, 6 yards et un touchdown) dans la endzone, un refrain qui pourrait rapidement devenir l'un des tubes de la saison. Dans un dernier baroud d'honneur avorté, St. Louis ajoute trois petits points. Coup de sifflet final. 34-6. L'addition est salée. Plus habitués à recevoir qu'à infliger des fessées, les Vikings viennent de lancer leur saison de la meilleure des façons possibles.</span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span></span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>MVP : Cordarrelle Patterson</b></span></span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le gadget offensif des Purple & Gold a décidé de débuter cette nouvelle saison de la même manière qu'il avait conclu la précédente. En marquant des touchdowns. Discret dans les airs, il a tout de même laissé entrevoir une belle combativité pour gagner des duels accrochés face aux defensive backs adverses. Trois courses lui ont suffit pour donner le tournis à la défense des Rams et enquiller 102 yards et un touchdown. Vite fait, bien fait.</span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span></span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Le top : la défense des Vikings</b></span></span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Elle avait encaissé 480 points la saison dernière, elle n'en a accordé que six aujourd'hui.<b> </b>Si elle a concédé 273 yards dans les airs, elle n'en a alloué que 74 au sol. Capable de produire des gros jeux à répétition (5 sacks, deux interceptions et un touchdown), elle s'est montrée plus rassurante que jamais dans les fondamentaux : plaquer. Mal récurrent depuis plusieurs saisons, les plaquages manqués se sont faits nettement plus rares. Agressive et vigilante, l'escouade de Mike Zimmer a montré un visage bien plus séduisant et rassurant. L'espoir revient !</span></span><br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span>
<br />
<div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><a href="http://giant.gfycat.com/WellgroomedNippyCanine.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://giant.gfycat.com/WellgroomedNippyCanine.gif" height="330" width="640" /></a></span></div>
</div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span><br />
<div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><b>Le flop : l'indiscipline des Rams </b></span></span></span></span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Au jeu des pénalités, les Rams ont remporté la palme. Haut la main. Multipliant les fautes de discipline, les contacts illicites, ils ne se sont pas contentés de se tirer une balle dans le pied, ils ont carrément vidé le chargeur. En véritable cancres, ils ont facilité la tâche de Vikings qui n'en avaient pas vraiment besoin. De quoi légitimement faire enrager Jeff Fisher et sa moustache.</span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></b></span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En résumé</span></b></span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Tout n'a pas été parfait, mais presque. À défaut d'être explosifs en attaque, Matt Cassel et compagnie ont parfaitement géré les événements, s'adaptant idéalement à une rencontre au rythme souvent haché. On regrettera le conservatisme du playcalling, notamment en première période, et le manque de verticalité. Des réminiscences de l'ère Musgrave dont on se passerait volontiers. Bien cadenassé par le front seven des Rams, Adrian Peterson (21 courses pour 75 yards ; 2 réceptions pour 18 yards) s'est fait plus discret qu'à l'accoutumé. La ligne offensive, parfois indisciplinée, a cafouillé à plusieurs reprises, obligeant Cassel à cavaler après le cuir pour éviter le pire. Le genre de frayeurs à éviter et évitables. Sans conséquence heureusement. </span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En défense, pas grand-chose à redire. Everson Griffen et Anthony Barr ont impressionné. Le secondary a su fermer les portes sur les moments chauds. Rassurant. Même face à une faible opposition. Blair Walsh, fébrile pendant l'été, a réglé la mire et retrouvé sa puissance de frappe. Reste à voir comment il se comportera en plein air.</span></span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></b></span></span></span></span></span></span></span><br />
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La suite</span></b></span></span></span></span></span></span></span></div>
<div>
<br />
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après avoir fait le plein de confiance dans le Missouri, les Vikings accueilleront des Patriots certainement revanchards au TCF Bank stadium. Premier test grandeur nature face à Tom Brady et Rob Gronkowsky pour la défense de Mike Zimmer. La bonne nouvelle, c'est que le bouclier des Pats s'est fait enfoncer par le front seven des Fins (4 sacks) et que la défense s'est fait marcher dessus par Knowshon Moreno (134 yards). De bon augure pour le pass rush survitaminé des Violets et pour AP. Avec une défense en plein progrès et face à une attaque timide au sol et fébrile sur la ligne, les Vikings auront un coup à jouer. </span></span></div>
<span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span><span class="gfyShareLinkText" style="font-size: small;">
</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-72600434573546889672014-07-04T12:57:00.001-04:002014-09-07T21:00:37.718-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #3 - La preview<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La boule de cristal </span></span></b></span></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg37PHhNulwP88iustPN5pTpwqgKGJA0uIdLUgQCc7U5dt3A0UiDM2t2qnquPuha_IJcwBKM6RS0klN815YjMKoQxJUqMkld0C0xJouKVoOOGScp7jCyaWTT4p-kBQB_BQinkI27aX6gLw/s1600/hi-res-461414541-cordarrelle-patterson-of-the-minnesota-vikings_crop_north.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg37PHhNulwP88iustPN5pTpwqgKGJA0uIdLUgQCc7U5dt3A0UiDM2t2qnquPuha_IJcwBKM6RS0klN815YjMKoQxJUqMkld0C0xJouKVoOOGScp7jCyaWTT4p-kBQB_BQinkI27aX6gLw/s1600/hi-res-461414541-cordarrelle-patterson-of-the-minnesota-vikings_crop_north.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Il court, il danse, il virevolte, que dis-je... il vole!</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Dans deux mois, jour pour jour, la NFL reprendra ses droits. Le grand retour du football dominical (un jeudi soir...). Celui qui compte. Pas ces matchs de présaison bien mignons pour voir à l’œuvre les rookies et apercevoir brièvement les recrues phares, mais qui nous offrent un spectacle guère excitant. Le début des choses sérieuses, c'est pour bientôt. Et il était temps! L'occasion, avant que la présaison ne livre ses premières leçons, de se projeter vers l'avenir. Sur cette nouvelle saison qui s'annonce. Ce nouveau chapitre qui va bientôt s'ouvrir. Down, set, hut!</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">À
la dérive pendant le plus clair de la campagne 2013, le drakkar violet a évité
le naufrage <i>in extremis</i>, parvenant à redresser la barre sous les ordres de Matt
Cassel. Après l’échec du projet Christian Ponder, les dirigeants ont
décidé que Leslie Frazier avait épuisé toutes ses cartes et qu’il
fallait du sang frais pour mener à bien un équipage jeune et talentueux,
mais en manque d’un véritable meneur en attaque, capable d'épauler comme il se doit la réincarnation vivante d'Odin, j'ai nommé Adrian Peterson.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En la personne de
Mike Zimmer, ils ont trouvé un nouveau jarl. Un homme ferme, autoritaire, fin
stratège défensif, mais à l'écoute de ses hommes. Un capitaine à
poigne pour remettre dans le droit chemin des Vikings assoiffés de
victoires et de playoffs. Une horde qui n'a qu'un objectif en tête : le Super Bowl. Le Valhalla du football (la mort en moins...). Le Graal. L'accomplissement ultime. Car les Hommes du Nord ont de l'ambition. Malgré une saison 2013 ô combien décevante, ils visent les sommets. Et on ne saurait le leur reprocher.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>La saison dernière : </b>5 victoires – 10 défaites – 1 nul (pas si nul chez les Cheersers)<br /> Piteux derniers d'une NFC Nord toujours aussi ouverte et indécise.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<a name='more'></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: small;"><span style="color: orange;">LES MOUVEMENTS À L'INTERSAISON</span></span> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Fin
de cycle rime évidemment avec chamboulements. Une brise légère, un vent de fraîcheur souffle sur le fjord Violet. Outre Mike Zimmer, débarqué en provenance de Cincinnati pour diriger la formation,
l’encadrement enregistre l’arrivée de l’expérimenté Norv Turner pour
reprendre en main l’attaque chancelante des Vikings. En plus de son
expérience de head coach à San Diego, le stratège est reconnu pour sa
capacité à développer les jeunes passeurs et sublimer les escouades
offensives dont il a la charge. Et ça tombe à pique, les Vikings ont cruellement besoin d'idées nouvelles en attaque. Histoire d'oublier plusieurs saisons de <i>playcalling </i>foireux <i>made in</i> Bill Musgrave. Ce spécimen étrange, capable du meilleur comme du pire. Des coups de génie les plus brillants, comme des décisions les plus aberrantes. Ce coordinateur incapable d'exploiter au mieux les qualités du passeur qu'il a entre les mains. Une qualité qui, au contraire, fait la force de Norv Turner. Et avec Teddy Bridgewater, il possède un jouet de premier choix : bourré de talent, de potentiel et d'une soif d'apprendre inégalable. Un duo de choc donc, entre un stratège défensif qui a su sublimer ses hommes du côté de Cincinnati et un fin tacticien et formateur offensif, qui a transcendé l'attaque des Browns. Les candidats rêvés pour reprendre en main la destinée d'une franchise à la dérive, en plein brouillard.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un grand chambardement en coulisses et du changement également sur le terrain. L'un va souvent avec l'autre. Traditionnellement discrets au cours de la free agency, les Vikings se sont davantage montrés qu’à l’accoutumée. Nouvel encadrement oblige. Pas de coup de folie pour autant. Priorité affichée : la défense.
Rien d'étonnant compte tenu de la philosophie de Mike Zimmer et du niveau souvent désolant de l'escouade depuis plusieurs saisons. L’arrivée la plus notable est celle du jeune, talentueux et massif Linval Joseph
au cœur de la ligne défensive. Un beau bébé de 150 kilos. Le complément idéal à un autre mammouth : Sharrif Floyd. Une ligne également renforcée par les
recrutements de Corey Wooton et Tom Johnson. Deux joueurs expérimentés qui vont apporter de la profondeur. Dans la catégorie "Alors que revoilà la sous-préfète", Jasper Brinkley retrouve le
Minnesota après un bref passage dans l’Arizona. Il devrait même s'offrir le luxe de décrocher une place de titulaire dans une escouade en plein chantier. C'est dire le niveau des linebackers dans l'état aux 10 000 lacs... Côté lignes arrières,
Captain Munnerlyn et Derek Cox complètent une escouade véritable talon
d’Achille des Vikings. Le premier, s'il n'est pas aligné à l'opposé de Xavier Rhodes, sera à coup sûr titulaire dans le slot. D'une manière ou d'un autre il sera utilisé au maximum. Son apport sera immédiat et devrait faire un bien fou à un groupe souvent dépassé. Parfois pathétique. Le second, en pleine opération repentance, devra se contenter d'un rôle de doublure pour commencer, mais pourrait rapidement devenir incontournable de par sa taille et son volume physique s'il retrouve son niveau de Jacksonville. Un petit pari sans risque.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Des arrivées, mais aussi des départs. Et
pas des moindres. Exit les vieillissants Jared Allen, parti chez
l’ennemi (une vieille tradition dans la NFC Nord), et Kevin Williams, parti à Seattle (une destination à la mode chez les Vikings). Chris Cook et Erin Henderson ont également
été priés d’aller voir ailleurs. Pas des grosses pertes. Le cornerback a davantage brillé par ses prouesses hors que sur le terrain. Régulièrement ridiculisé par les receveurs adverses, il symbolisait à lui seul toute l'impuissance du dernier rideau défensif violet. Quant à Erin Henderson, ses multiples frasques ont eu raison de la patience des dirigeants. En attaque, Toby Gerhart, bloqué par
Adrian Peterson, est parti tenter sa chance en Floride. Les Vikings perdent une doublure de premier choix, mais devenue trop onéreuse et sous-utilisée. En valeureux guerrier, toujours au rendez-vous lorsqu'il a du prendre la relève du MVP 2012, il aura l'occasion de donner un second souffle à sa carrière chez des Jaguars en pleine reconstruction. <i>So long Toby!</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une fois
n’est pas coutume, <a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2014/05/minnesota-vikings-2014-episode-2-la.html">les Vikings ont profité de la draft </a>pour combler
leurs lacunes. Au programme : un franchise quarterback en puissance en
la personne de Teddy Bridgewater (cette fois-ci c'est le bon, j'y crois), deux pass rushers athlétiques avec
Anthony Barr et Scott Crichton, le probable successeur (je croise les doigts) de Charlie
Johnson avec David Yankey et un électron libre voué à devenir la
doublure de Adrian Peterson avec Jerick McKinnon. Une cuvée maline et prometteuse. Une bonne habitude. La promo 2014 est frappée du sceau du potentiel : nombreux sont les joueurs avec lesquels il faudra être patient avant de les voir opérer au sommet de leur art. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Les arrivées notables : </b>Jasper
Brinkley (LB), Linval Joseph (DT), Captain Munnerlyn (CB), Derek Cox
(CB), Tom Johnson (DT), Corey Wootton (DE), Vladimir Ducasse (C) et
Allen Reisner (TE).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Les prolongations : </b>Everson
Griffen (DE), Marcus Sherels (CB), Matt Cassel (QB), Joe Berger (G),
Fred Evans(DT), Jerome Simpson (WR), Charlie Johnson (G) et Matt Asiata
(RB).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>La draft : </b>Anthony Barr (LB), Teddy
Bridgewater (QB), Scott Crichton (DE), Jerick McKinnon (RB), David
Yankey (G), Antone Exum (CB/S), Kendall James (CB), Shamar Stephen (DT),
Brandon Watts (LB) et Jabari Price (CB).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Les départs notables</b><b> : </b>Erin
Henderson (LB), John Carlson (TE), Letroy Guion (DE), Desmond Bishop
(LB), Marvin Mitchell (LB), Toby Gerhart (RB), Chris Cook (CB), Joe Webb
(QB/WR), Jared Allen (DE), Josh Freeman (QB), J'Marcus Webb (OT) et
Kevin Williams (DT).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8KRtaIc3O7VN5ylEISv_RrhMxzKiv_LsEGzMLNYx9mWP_zs9U7-Gx6zqEhxJiIbjnBavuyKtMF1PV-T8RrsQP0wkhnty2ZQZ76sLTDIguhWy75bJWc_ze6QmoqpMtKXKE_al_ZF7WrMU/s1600/Jarius+Wright+Minnesota+Vikings+v+Cincinnati+pk9KwzStcUEl.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8KRtaIc3O7VN5ylEISv_RrhMxzKiv_LsEGzMLNYx9mWP_zs9U7-Gx6zqEhxJiIbjnBavuyKtMF1PV-T8RrsQP0wkhnty2ZQZ76sLTDIguhWy75bJWc_ze6QmoqpMtKXKE_al_ZF7WrMU/s1600/Jarius+Wright+Minnesota+Vikings+v+Cincinnati+pk9KwzStcUEl.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Jarius Wright : l'arme (presque) secrète des Vikings en 2014?</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;">LES POINTS FORTS</span> </b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le point
fort des Vikings se résume à un homme : Adrian Peterson. Inépuisable,
inoxydable, inarrêtable, inébranlable. Indéfinissable quoi! Le coureur est le moteur de l’attaque des Violets. Mieux encore, il est l'image de la franchise depuis son arrivée en 2007. Le messie violet.<i> Purple Jesus</i> comme il est parfois surnommé. Le poids
des années ne semble guère avoir d’effet sur lui. Comme si ses seules qualités, aussi bien physiques, que mentales ou encore de footballeur ne suffisaient pas, il peut également
compter sur une ligne offensive performante. Mobile sur les jeux au sol
et robuste sur les situations de passe, le bouclier violet est une valeur sûre. Il le sera davantage encore si le pro bowler en puissance Matt Kalil retrouve son niveau de rookie. John Sullivan au centre et Philip Loadholt à l'extrémité droite, souvent peu considérés, font pourtant partie des tout meilleurs à leurs postes respectifs. Un ton, voire deux, en dessous, Brandon Fusco demeure un élément tout à fait honorable et fiable. Quant à Charlie Johnson, il pourrait rapidement céder sa place à David Yankey et se muer en doublure de luxe, versatile et expérimentée. À défaut d'être un titulaire des plus rassurants.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Qu’importe l’identité du
passeur en semaine 1, il pourra compter sur une escouade de receveurs
variée et étoffée. L’expérimenté et fiable Greg Jennings pourrait se révéler de plus en plus précieux dans le slot, à défaut d'être aussi explosif que par le passé sur l'extérieur ; le virevoltant
Cordarelle Patterson devrait être utilisé à toutes les sauces et semer la zizanie dans les lignes adverses ; le très sûr Kyle Rudolph, s'il échappe aux blessures, sera une fois de plus un poison dans la endzone et sur les troisièmes et quatrièmes tentatives, une soupape de secours de luxe et ô combien sous-estimée. Quant au chauffard Jerome Simpson, dans le sillage de sa bonne saison 2013, il pourrait être un danger dans la profondeur et apportera de la verticalité à l'attaque violette. Une chose qu'apprécie tout particulièrement le nouveau coordinateur offensif. Idem pour le malheureusement sous-utilisé, mais extrêmement talentueux Jarius Wright, dont l'adresse, la vitesse et l'intelligence ne demandent qu'à être exploitées. Tout joueur capable de ridiculiser Richard Sherman devrait avoir sa chance. Espérons que Norv Turner saura utiliser au mieux l'arsenal offensif dont il dispose. Entre taille, vitesse, explosivité, fiabilité, précision, expérience et insouciance, les armes et les profils ne manquent pas. Aussi variés que complémentaires.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Blair Walsh, Cordarrelle Patterson et Marcus Sherels. Qu'il soit question de transformer un field goal, de dégager le ballon aussi loin que possible ou de retourner un coup de pied d'engagement ou de dégagement au plus profond de la défense adverse, les Vikings possèdent parmi les meilleurs spécialistes en la matière. Des rôles souvent occultés, mais ô combien importants. Si Walsh et Patterson n'ont pas attendu longtemps pour faire parler d'eux, empilant les records de franchise ou de la ligue dès leurs années de rookie, Sherels est nettement plus discret. Il fait pourtant partie des tout meilleurs retourneurs de punts : 15,2 yards de moyenne en 22 tentatives, deux chevauchées de plus de 40 yards, un touchdown. En 2013, seul Tandon Doss peut se targuer d'avoir fait mieux.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: small;"><span style="color: orange;">LES POINTS FAIBLES</span></span> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Véritable
passoire en 2013, la défense des Vikings explique en grande partie le
naufrage des Violets. Quand bien même l’attaque parvenait à inscrire 30
points ou plus, l’escouade défensive réussissait le tour de force d’en
encaisser davantage encore. Difficile (pour ne pas dire impossible) de l'emporter chaque dimanche lorsque l'on est contraint d'inscrire 40 points. Malgré une ligne défensive jeune et prometteuse (Robison-Joseph-Floyd-Griffen, ça a de la gueule nan?), qui fait office de seule valeur sûre, le
groupe de linebackers manque cruellement de talent. Le dévoué Chad Greenway sort d'une saison en deçà de ses standards habituels et devrait migrer côté faible, laissant le côté fort au rookie Anthony Barr. Si bien que l'escouade pourrait bien ressembler à ça en semaine 1 : WLB Chad Greenway, MLB Jasper Brinkley et SLB Anthony Barr. Derrière, les doublures ne manquent pas, mais personne ne ressort véritablement du lot. Le niveau de performance du groupe de linebacker sera le baromètre de la défense violette cette saison. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Côté dernier rideau défensif, le bilan n'est pas plus rassurant. Quoique. Accablant à l'issue de la saison dernière, il est juste inquiétant à l'orée de la prochaine. Merci la free agency et la draft. En 2013, hormis, Harrison Smith (blessé une grande partie de la saison) et le prometteur Xavier
Rhodes (blessé et absent en décembre), les defensive backs faisaient peine à voir. Mais sous la houlette de
Mike Zimmer et de son savoir défensif, tout ça pourrait bien changer. Et
très rapidement. Les arrivées conjuguées de Captain Munnerlyn, Derek Cox et Antone Exum sont autant de raisons de reprendre espoir. S'il demeure le talon d'Achille de la défense violette, le dernier rideau devrait être meilleur que la saison passée. Et pas qu'un peu. Un pronostic qui s'applique à l'ensemble de l'escouade défensive.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En attaque, le jeu de chaises musicales offert
par les quarterbacks des Vikings l’an passé est révélateur de l’absence
de véritable leader. Résultat : une attaque à la peine, contrainte de se
reposer sur son coureur vedette et qui force la défense à passer
beaucoup de temps sur le terrain. Beaucoup trop. Teddy Bridgewater devrait rapidement supplanter Matt Cassel et apporter davantage de variété en attaque. Pour cela, on peut également compter sur Norv Turner, habitué à diriger des escouades très aériennes. Sa volonté affichée d'impliquer davantage Adrian Peterson dans le jeu à la passe est un signal positif en ce sens. Une attaque variée, c'est une attaque moins prévisible, qui avance plus facilement, plus vite et plus souvent, qui marque plus et ne force pas la défense à s'épuiser sur le terrain à force de rendre le ballon en deux temps trois mouvements.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhe9G8rpUyIonriS1-cebCluQUBAMvVf7bR2hiwBkqEFeOSarqvey3CZHIoy2d20reg0v5gxdJVqc3p_ImwFYjMGDG6PTerG4nmjKrl2n8oxi45qfxOcCgsJFwUMorfbAY7L32yiwg42YI/s1600/packers-vikings-football-james-starks-xavier-rhodes-brian-robison_pg_600.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhe9G8rpUyIonriS1-cebCluQUBAMvVf7bR2hiwBkqEFeOSarqvey3CZHIoy2d20reg0v5gxdJVqc3p_ImwFYjMGDG6PTerG4nmjKrl2n8oxi45qfxOcCgsJFwUMorfbAY7L32yiwg42YI/s1600/packers-vikings-football-james-starks-xavier-rhodes-brian-robison_pg_600.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Le renouveau des Vikings passe par la défense</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>LES FACTEURS X</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">De
faiblesses évidentes en 2013, la défense et le jeu aérien pourraient se
muer en atouts. Tous les ingrédients semblent réunis pour des virages à 180°.Teddy Bridgewater a été drafté pour prendre en main
la destinée de la franchise. La seule question est de savoir quand son
règne débutera. Les arrivées conjuguées d’un nouveau passeur et d’un
coordinateur offensif expérimenté et à l'esprit très aérien vont permettre d’apporter plus de
variété à une attaque trop souvent stéréotypée et terriblement prévisible sous les ordres de Bill Musgrave. Mais pour cela, il faut
que Bridgewater soit performant. Et vite. En attendant, Matt Cassel fait
office de titulaire. Jusqu’à ce que l’ancien meneur de Louisville
prouve qu’il n’a pas seulement l’étoffe d’un franchise quarterback sur
le papier. À ce petit jeu, ses qualités de footballeur, de meneur et son amour pour le jeu devraient rapidement jouer en sa faveur. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En défense, l’arrivée de Mike Zimmer et de nombreux
agents libres ou rookies, combinée aux départs d’anciens cadres va
donner un nouveau visage à l’escouade. Si l’alchimie prend et que le
nouveau head coach parvient à imprimer sa patte de la même manière qu’il
l’a fait à Cincinnati, elle pourrait se muer en un rideau nettement
plus étanche. Le talent est là, reste à l’exploiter au mieux. Et Zimmer est le candidat idéal pour cela. Si les départs conjugués de Jared Allen et Kevin Williams, laissent la défense violette orpheline de véritables leaders d'expérience à l'exception de Chad Greenway, les jeunes pousses semblent bien décidées à reprendre le flambeau. Harrison Smith a déjà l'étoffe d'un meneur d'hommes. Emmenée par sa fougue et entre les mains du sorcier Mike Zimmer cette défense semble promise à un bel avenir. Espérons que la magie opère très rapidement.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Tout est question d'alchimie, de mayonnaise qui prend avec ces Vikings cuvée 2014. Les nombreux changements apportés ne semblent pouvoir qu'être bénéfiques et faire progresser le groupe. Cela semble inévitable. Inéluctable. Reste à savoir combien de temps il faudra. C'est le facteur X. Le temps. Et compte tenu du calendrier qui attend les Violets, espérons que la sauce prenne au plus vite, au risque de tourner au vinaigre.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;">LE CALENDRIER :</span> </b>@Rams,
Patriots, @Saints, Falcons, @Packers, Lions, @Bills, @Buccaneers,
Redskins, Bye, @Bears, Packers, Panthers, Jets, @Lions, @Dolphins,
Bears.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>EN RÉSUMÉ</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Beaucoup de nouveaux visages
dans le Minnesota, sur comme en dehors du terrain, en attaque comme en
défense. Les Vikings entrent dans une nouvelle ère. La saison qui
s’annonce sera celle de la transition. Si l’alchimie prend rapidement
les Violets peuvent envisager le meilleur, dans le cas contraire, la
saison risque d’être longue. Une nouvelle fois. Un calendrier
particulièrement relevé, comme souvent dans la NFC Nord, et un début de saison redoutable devraient
rapidement donner le ton. Les Vikings devront également dompter le froid
du TCF Bank Stadium au cours de l'hiver et s'en servir comme d'un
avantage. Les Violets abordent la saison 2014 pleins d'ambition et de confiance. Si l'alchimie leur permet de surmonter un début de saison effrayant sur le papier, tous les espoirs sont permis. Un gros "si". Mais en football, tout est possible. Après tout, il y a deux ans, ces mêmes Vikings étaient en playoffs. Et l'effectif d'aujourd'hui n'a pas grand-chose à envier à celui de l'époque. À part un Adrian Peterson avec deux printemps de moins peut-être?</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>LE PRONOSTIC (EN ESPÉRANT AVOIR TORT) :</b></span> 8 victoires – 8 défaites. 3e de la NFC Nord.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-31907583992755494852014-06-11T15:53:00.000-04:002014-06-16T01:37:28.226-04:00Portrait // Daunte Culpepper [Vidéo]<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une âme de footballeur, dans un corps de joueur de baseball</span></span></span></b><br />
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWwUVuYHbsyDsOe_r9f6ng8moD3y2k0ffnM00m7sLqrCu_GI_mTYiyYpvBXhQV-IATg27JxlNF1NA3lZ_Ic7au02jS0VYCvk7KPD_5E-McSvGdwE1iJbcBMfGlLnqEatS8MD0JV24MQ3o/s1600/51556551_crop_650x440.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWwUVuYHbsyDsOe_r9f6ng8moD3y2k0ffnM00m7sLqrCu_GI_mTYiyYpvBXhQV-IATg27JxlNF1NA3lZ_Ic7au02jS0VYCvk7KPD_5E-McSvGdwE1iJbcBMfGlLnqEatS8MD0JV24MQ3o/s1600/51556551_crop_650x440.jpg" height="363" width="640" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Pour beaucoup, Daunte Culpepper c'est ce quarterback au physique généreux qui a participé au naufrage collectif des Lions en 2008. 16 matchs, 16 défaites. La perfection. À l'envers. Cette année-là, le passeur participe à cinq rencontres. A la clé, vous l'aurez deviné, cinq revers. Culpepper est au crépuscule de sa carrière. Après des passages peu concluants à Miami et Oakland, elle s'achève à Detroit, une ville en déliquescence. Comme le vieillissant QB. Pourtant les choses avaient si bien commencé. Car si pour de nombreux fans de football Culpepper rime avec 0-16, pour les fans des Vikings, les vrais, les purs, les durs, Culpepper c'est 2004, une année phénoménale, historique. Une saison de rêve après des débuts délicats qui auraient pu lui valoir un titre de MVP, si seulement un certain Peyton Manning ne sévissait pas déjà à l'époque.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Le football, c'est sa grande passion</b></span> </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si sa carrière NFL a
été faite de bas, mais aussi de hauts, de très hauts même, ses premiers pas dans
le monde n'ont pas été idylliques. Loin de là. Né en Floride en 1977
d'un père inconnu et d'une mère jeune (trop jeune) détenue pour vol à main
armée, Daunte est confié à Emma Culpepper alors qu'il n'a qu'un tout
petit jour. Il rejoint une fratrie d'une dizaine d'autres enfants, eux
aussi adoptés ou recueillis par la quinquagénaire. Six ans plus tard,
alors qu'il est pleinement intégré à ce qu'il a toujours considéré comme
étant sa famille, Barbara Henderson, sa mère biologique, tout juste
libérée de prison, frappe à la porte et réclame son fils. Daunte n'a pas
d'autre choix que de la suivre. À contrecœur. Rapidement consciente de
la profonde tristesse qui habite son fils, sa mère le ramène auprès
d'Emma Culpepper et s'en va. Pour toujours. Un sacrifice dont le futur
quarterback lui sera éternellement reconnaissant.</span> </span><br />
<a name='more'></a><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dans un environnement partagé entre la discipline et l'amour presque maternel d'Emma, Daunte s’épanouit. Curieux, impliqué, il touche à tout. De la contrebasse au baseball, en passant par le basketball et bien évidemment le football. Lanceur sur le monticule l'été, receveur sur le pré vert l'hiver. Son futur de quarterback prend vie un jour d'entraînement. Un jour comme un autre pourtant. Anodin. Récupérant une passe chancelante de son lanceur, il réexpédie le cuir à pleine vitesse vers ce dernier. La scène n'échappe pas à son coach. Du jour au lendemain, Daunte est reconverti en quarterback. C'est ce qu'on appelle avoir le nez creux.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dès son arrivée au lycée Vanguard d'Ocala en 1991, il ne rêve que de la NFL. Son but est tout trouvé et rien ne pourra se mettre en travers de son chemin. Fan absolu de Dan Marino, il voue une passion profonde pour le football. Ce qui ne l'empêche pas de briller au baseball et au basket. Bourreau de travail, il hante la salle de muscu tout en gagnant en vitesse et en puissance à mesure que son corps change. À l'époque déjà sa rapidité et son physique imposant font de lui un joueur atypique. Seulement, s'il brille en salle d'entraînement, on ne peut pas en dire autant en salle de classe. Étudiant paresseux, ses notes ne volent pas très haut. Tellement qu'elles flirtent avec le ras du sol. Si bien qu'il génère un très maigre intérêt auprès des universités. Après avoir longtemps suscité la curiosité de grosses écuries locales comme Miami, Florida et Florida State, les chances de décrocher une scolarité dans ces prestigieux programmes se sont envolées. En avoir dans le bras ne suffit pas, il en faut également dans le ciboulot. Culpepper l'apprend à ses dépens. Mais pas de quoi enterrer ses rêves de NFL. Il veut joueur le dimanche et rien ni personne ne l'en empêchera.</span></div>
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<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Il était une foi</span></b></span><br />
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<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGT8PmD7NpBPRqClF0WaLTnoxM_yYeMUomqTI2-xw8fz1jQFHRHsi6mrE101UUlcJbMqbza_Kh83oge8tsuvdnmVq7fhEfY2d7pzm-6vuqfsMbQ_mfC59wCbdHTDaShcWowKeIaTlihKs/s1600/culpepper2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGT8PmD7NpBPRqClF0WaLTnoxM_yYeMUomqTI2-xw8fz1jQFHRHsi6mrE101UUlcJbMqbza_Kh83oge8tsuvdnmVq7fhEfY2d7pzm-6vuqfsMbQ_mfC59wCbdHTDaShcWowKeIaTlihKs/s1600/culpepper2.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Culpepper et UCF, une histoire de respect mutuel</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Gene McDowell, alors coach de Central Florida, profite du peu d'enthousiasme autour de Culpepper pour tenter d'attirer dans ses filets un joueur bourré de potentiel. Une opportunité en or pour un programme qui s'apprête à faire le grand saut de la Division I-AA (FCS) à la Division I-A (FBS).</span> <span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Les Golden Knights ne laissent rien au hasard et entourent le jeune quarterback d'un ancien prof de lycée afin de faire remonter ses notes lors de sa dernière année de secondaire. Daunte ravale sa fierté et s'implique pleinement en classe. Le résultat est payant. Ses performances scolaires sont en net progrès. Quant à ses performances sportives, elles sont sensationnelles : 3074 yards et 31 touchdowns par les airs, 602 yards au sol et une razzia sur les récompenses en tout genre en Floride. Il s'illustre une dernière fois sur les parquets (19.5 points, 11.3 rebonds, 5.1 passes et 3.3 interceptions de moyenne), ainsi que sur le monticule. De quoi lui valoir une sélection par les Yankees au 26e tour de la draft 1994. Mais il n'a qu'une chose en tête : le football. Direction UCF désormais. La route vers la NFL est ouverte.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Sa brillante année de sénior au lycée a beau avoir ravivé l'intérêt de certaines grosses écuries, il décide tout de même de rejoindre les Black Knights. Le programme lui a exprimé une foi inébranlable et il compte bien lui donner raison. Un homme d'honneur ce Daunte. Dans sa dernière année dans la Division 1-AA, l'attaque de UCF tourne à plein régime. Culpepper enchaîne les performances et conclut la saison sur un convaincant succès 37-17 face à l'université du Maine. La presse nationale commence à s'intéresser à son histoire et le prestigieux <i>New York Times</i> lui consacre un article. UCF fait ses adieux à la FCS sur un bilan mitigé de 6-5. Place à la nettement plus relevée FBS. Le début des choses sérieuses.</span> <br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">La saison 1996 débute fort avant de s'arrêter net. Après un comeback spectaculaire face à William & Mary, Culpepper se blesse à la cheville la semaine suivante. Il doit observer un mois de repos. À peine revenu au jeu, c'est son épaule qui encaisse lors du test grandeur nature chez les Yellow Jackets de G-Tech. En véritable leader, il refuse de quitter le terrain. Portés par le courage de leur quarterback, les Black Knights résistent avant de finalement s'incliner 20-27. Premier test concluant face à une grosse écurie. Grâce notamment à une performance de haute volée face à UAB (421 yards et 3 touchdowns), Daunte et UCF concluent la saison sur un prometteur 5-6. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">La saison suivante s'achève sur un bilan identique. Malgré des revers étriqués face à Ole Miss et South Carolina, Culpepper brille. Face aux prestigieux Nebraska Cornhuskers, UCF résiste longtemps avant de céder. Face aux programmes de moindre envergure, Daunte est sans pitié : 390 yards contre Toledo, 385 yards et 5 touchdowns contre Northeast Louisiana. Des prouesses qui lui valent une place de finaliste pour le Davey O’Brien Award récompensant le meilleur quarterback universitaire du pays. Face à la concurrence de Peyton Manning et Ryan Leaf (dont on pensait encore à l'époque qu'il était un joueur de football...), il renonce à se présenter à la draft 98 et rempile pour une dernière année à Central Florida. Sage décision.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Entre espoirs de Bowl et potentiel Heisman Trophy, la pression est forte à l'orée de la saison 1998. Et dès la première semaine, Culpepper montre qu'il ne la craint pas. Bien au contraire même, il s'en nourrit. Louisiana Tech en fait les frais : 479 yards, 6 touchdowns et un volée mémorable 64-30. La semaine suivante, il inflige 7 touchdowns à Eastern Illinois avant de finalement s'incliner contre Purdue. Les Black Knights rebondissent immédiatement et enchaînent cinq succès. Daunte poursuit son entreprise de démolition massive. Multipliant les performances stratosphériques, il efface des tablettes plusieurs records. Le bilan de 9-2 ne suffit pas pour décrocher un billet pour le Oahu Bowl à Hawaii. Culpepper, malgré ses 4154 yards et 40 touchdowns en attaque, est snobé par le Heisman Trophy. Avec 73.6% de passes complétées, il se permet pourtant le luxe de battre la marque établie par Steve Young quelques années auparavant.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS", sans-serif;">Après une carrière universitaire aboutie au sein d'un programme en plein développement, Culpepper est prêt à se lancer dans le grand bain. Reste à savoir où.</span><br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgECiZ4TNXrwAgkB2UnhulvBK6YKZTETxQ5EmBask2g0h47CPM8-HsucnlNXJFEfD2g_HfqRJRtuzKpvcDVeOG-1I07In7-i_FoGLMLbV0ORU9dDf0E45MDCoCPExAVkGmznmOeypIDvyU/s1600/51647736_display_image.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgECiZ4TNXrwAgkB2UnhulvBK6YKZTETxQ5EmBask2g0h47CPM8-HsucnlNXJFEfD2g_HfqRJRtuzKpvcDVeOG-1I07In7-i_FoGLMLbV0ORU9dDf0E45MDCoCPExAVkGmznmOeypIDvyU/s1600/51647736_display_image.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Daunte Culpepper & Randy Moss, duo de choc</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Du soleil de Floride aux 10 000 lacs du Minnesota</span></b></span><br />
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></b></span></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">1999. Les Violets se remettent tout juste de l'immense désillusion de la finale de conférence face aux Falcons</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">. Malgré un Randall Cunningham au sommet de son art la saison précédente, le <i>board </i>pense déjà à l'avenir. Et il a bien raison. Avec le 11e choix général, les Vikings sélectionnent un quarterback. Après que Tim Cough (bust!), Donovan McNabb (dont on préfère oublier le passage dans le Minnesota) et Akili Smith (bust!) se soient envolés, la franchise du grand Nord jette son dévolu sur Daunte Culpepper et ses mensurations improbables. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">193 cm sous la toise, 118 kilos sur la balance, un bras canon, des performances convaincantes à UCF, le bonhomme a de quoi séduire. Mais il devra attendre. À l'époque déjà, drafter un passeur au premier tour et le faire poireauter sur le banc quelques temps était à la mode.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Résultat, lors de sa première saison, le jeune Daunte regarde Cunningham se trouer (2-4) et laisser sa place à Jeff George. Ce dernier corrige le tire (8-2) et emmène les Vikings en playoffs. Une nouvelle fois. La belle époque. Après une victoire face aux Cowboys au premier tour (le début de l'histoire tumultueuse entre la franchise texane et les séries) les Violets butent sur les Rams de Kurt Warner, en route vers le titre, dans une orgie offensive (37-49). Culpepper n'a pas lancé le cuir une seule fois, mais il en a suffisamment vu. C'est à son tour de jouer désormais. L'année suivante, en 2000, il est nommé titulaire.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après une saison passée à cirer le banc, il avait visiblement des fourmis dans les jambes. Au programme de ses sept premières rencontres : sept succès, des touchdowns et des yards à gogo. Un triplé au sol pour commencer face aux Bears, un autre triplé, moins glorieux celui-ci (3</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> interceptions... malgré 355 yards)</span>, la semaine suivante contre les Fins et non pas un, ni deux, mais trois (!) autres triplés, aériens et victorieux cette fois, face aux Lions, Bills et Bears, une nouvelle fois victimes de la fougue de Culpepper. Des débuts tonitruants. Puis vient le coup de la panne, deux revers consécutifs. Daunte corrige rapidement le tire et enchaîne quatre nouvelles victoires avant de clôturer la saison par trois défaites. Sans conséquence, les Violets sont une fois de plus en playoffs. Comme quoi laisser un QB rookie apprendre sur le banc, ça marche parfois, même quand on ne s'appelle pas Aaron Rodgers. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après une victoire convaincante face aux Saints (34-16) avec plus de 300 yards et trois touchdowns à la clé, Culpepper reste muet en finale de conférence NFC et les Vikings sont balayés par les Giants (0-41). Dur à encaisser. Le jeune passeur décroche son premier billet pour Hawaii et les louanges de Randy Moss, son jouet de luxe, qui se régale des missiles longue distance de son nouveau quarterback. Le duo fait des étincelles. </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></span><br />
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Fort d'une première saison accomplie, Daunte est attendu au tournant. Et il va foncer droit dans le décor. En 2001 il lance 14 tout petits touchdowns et 13 interceptions. De 11-5 les Violets passent à 5-11. Pas de playoffs en bout de course<b>. </b>Fin de série.<b> </b>Titulaire lors des onze premières rencontres, Culpepper est privé des cinq dernières à cause d'une blessure au genou. Toujours dangereux au sol, il demeure précis à la passe, mais perd l'instinct de tueur qui avait fait sa force en 2000. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La saison suivante est dans la même veine. Frappé pas la légendaire <i>Madden curse, </i>il réalise l'une des pires saisons de sa carrière. Un peu plus de touchdowns (18), mais toujours plus d'interceptions (23), les Vikings ne décollent pas (6-10) et ratent à nouveau les séries. Entre performances décevantes et blessures, Culpepper est dans le creux de la vague. Et la franchise du Minnesota avec.</span><b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span></b><br />
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></span><br />
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La rédemption puis le feu d'artifice</span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après deux saisons à oublier, l'heure de la rédemption a sonné. Les Violets (9-7) ratent les playoffs, mais ont clairement redressé la barre. De son côté Culpepper a réglé la mire et retrouve Hawaii au terme d'une saison pleine (3479 yards, 25 touchdowns et 11 interceptions). Plein de promesses. Le meilleur reste à venir.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le meilleur, c'est 2004. L'année faste, glorieuse, historique. L'année de tous les records pour Daunte. Avant la chute... D'un point de vu collectif pourtant, les Vikings régressent et laissent à nouveau filer leurs rêves de séries (8-8). Mais sur le plan personnel, Culpepper est sur un nuage. Les stats parlent d'elles-mêmes : 4717 yards, 69.2% de passes complétées, 39 touchdowns (record de franchise et un de plus que Ponder depuis son arrivée dans le Minnesota...!), 11 interceptions, 110.9 d'évaluation. Ajoutez à cela 406 yards et deux touchdowns au sol. Hawaii l'accueil à bras ouverts, une nouvelle fois. Le record de yards combinés au sol et à la passe de Monsieur Dan Marino, son idole d'enfance, est effacé des tablettes. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le quarterback est <i>on fire : "Je me sens comme un chevalier Jedi,"</i> confie-t-il à la fin de la saison. Randy Moss légèrement en retrait, c'est Nate Burleson qui profite de l'état de grâce de son QB pour affoler les défenses. Mais c'était trop beau pour être vrai. La saison suivante marque le début de la descente aux enfers. Lente et inéluctable. Culpepper laisse ses plus belles années derrière lui.</span></span><br />
<br />
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Et là, c'est le drame...</span></span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après une année idyllique, les choses tournent au vinaigre. Privé de Randy Moss, envoyé à Oakland, les interceptions (12) s'accumulent au même rythme que les défaites (cinq en sept rencontres). Blessé en semaine 7, sa saison s'arrête là. Et son aventure dans le Minnesota également. Comme si ses prouesses sur le terrain ne suffisaient pas, Culpepper se retrouve impliqué dans le scandale du Love Boat. Une histoire de bateau, de prostituées et d'orgie sexuelle. Un truc de Vikings quoi. C'est sur cette affaire lubrique que Culpepper clôt son aventure dans l'État aux 10 000 lacs. Un passage fait de hauts et de bas, mais qui a suffi à marquer l'histoire de la franchise et à le hisser jusqu'au Panthéon des quarterbacks Violets, aux côtés de Tommy Kramer, Joe Kapp et Fran Tarkenton, pour ne citer qu'eux.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: black;"> </span></span><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="374" src="//www.youtube.com/embed/3DOGlHas6Gs" width="665"></iframe><br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">♫ Music : XV (ft. Trae The Truth) - Batteries</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-88027145521747802822014-05-28T13:40:00.001-04:002014-05-29T02:02:21.013-04:00Adrian Peterson 2007-2010 // Birth Of A Hero [Vidéo]<span style="font-size: large;"><b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La naissance d'une légende</span></span></b></span><br />
<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="374" src="//www.youtube.com/embed/F5U6ao-KpZM" width="665"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">A peine débarqué dans la cours des grands, Adrian Peterson écrase tout sur son passage. A coup de courses fracassantes et de chevauchées endiablées, alliant puissance, vitesse et vision, il piétine les défenses adverses. Demandez à Al Harris et Ike Taylor. Dès 2007, il enquille les performances stratosphériques. Après une démonstration de force contre les Bears, il efface des tablettes le record de yards en une rencontre détenu alors par Jamaal Lewis en écrabouillant la défense des Chargers. Bilan : 296 yards. Et sans un <i>horse collar tackle</i> désespéré, l'addition aurait pu être plus salée. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dans la lignée d'une première saison phénoménale ponctuée par les titres de MVP du Pro Bowl et rookie de l'année, Peterson garde le rythme et enchaîne les saisons pleines malgré les déconvenues des Vikings. Derrière Tarvaris Jackson, Brett Favre, Brooks Bollinger ou Gus Frerrotte, peu importe, All Day emporte tout sur son passage. Dans la grisaille de 2010 ou sous le soleil de 2009 il reste fidèle à lui-même. Les défenses on beau s'y attendre, elles ne parviennent pas à l'arrêter. Et après sept saisons à martyriser les escouades défensives, aucun coordinateur n'a encore trouvé la solution miracle.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">♫ Musique : <br />M83 - Steve McQueen<br />M83 - Reunion<br />M83 - Midnight City<br />M83 - Outro </span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-39359456954154008532014-05-18T14:25:00.000-04:002014-05-19T00:29:05.936-04:00Portrait // John Randle [Vidéos]<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: large;"><span style="color: orange;"><b>Chronique d'un laissé pour compte</b></span></span><br />
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijzNCG9hhXMiywVkDwiOrEK_sIJH1cKAli57ZAaNqdqZoObK8Q3RBoajVj2QQRWQQ7pynbfymaFWqXhbQAZPwM_oh57EdhBdMhQXLiQ3Gv71f_fZa-tDXoLWvE5o96CWiitDGOVnoTn7o/s1600/john-randle.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijzNCG9hhXMiywVkDwiOrEK_sIJH1cKAli57ZAaNqdqZoObK8Q3RBoajVj2QQRWQQ7pynbfymaFWqXhbQAZPwM_oh57EdhBdMhQXLiQ3Gv71f_fZa-tDXoLWvE5o96CWiitDGOVnoTn7o/s1600/john-randle.jpg" /></a></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgacKvazKj02EZ0G3LR7sdNvc_3_zL6v9fRBHH0G0Y-5sguTcLX47zqse-camLmCA3slamtduXvB7m7Ews74vZNSRXL_KMKKwCXoDT_KajfXfG5y4AvwgggwJrIuE5MOd9zm-YnqIftCmg/s1600/j_randle_100730_WIDE.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a></span></div>
<div style="text-align: justify;">
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</xml><![endif]--></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>En cette semaine post-draft, à l'heure où ceux qui ont, en vain, attendu que leur nom soit appelé sèchent leurs larmes, c'est l'occasion de revenir sur l'un des joueurs les plus iconiques de l'histoire des Vikings. Le charismatique, fantasque et... non-drafté John Randle.</i></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Derrière le strass et les paillettes
du Radio City Music Hall de New York, se trouve une face sombre. Cachée. Ignorée.
C’est celle des laissés pour compte. Car des centaines de joueurs à se
présenter à la grande messe annuelle qu’est la draft, seule une poignée d’heureux
élus aura la chance d’entendre son nom retentir. Les autres, les oubliés, les
délaissés, auront attendu, en vain, pendant trois longues et interminables
journées. Un cauchemar éveillé. L’angoisse laisse place à la déception, au
doute, à la peur. Quel avenir ? Persévérer ? Se battre ?
Poursuivre son rêve coûte que coûte ? Abandonner et envisager un autre
avenir ? Un dilemme cornélien auquel, chaque année, sont confrontés des
dizaines de joueurs, laissés de côté, non-draftés.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Seulement, ne pas être
sélectionné le jour J, ou plutôt les trois jours J depuis que la NFL a décidé
de faire durer le plaisir, ça n’est pas la fin du chemin. Pas nécessairement.
Pour certains, c’est juste un obstacle de plus dans la poursuite leur rêve. Un
chemin pavé d’embuches, dont seuls les plus persévérants sortent vainqueurs.
Car beaucoup de ces jeunes joueurs non-sélectionnés vont découvrir les joies de la grande braderie
post-draft, le marché aux joueurs non-repêchés. Ces illustres inconnus que l’on
signe un jour et coupe la semaine suivante. Ces types qui passent l’été à
sillonner le pays de part en part en espérant, tout simplement. C’est également,
pour les franchises et leurs scouts, le moment de faire parler leur flaire, de
dégoter la perle rare ; ce joueur jugé trop petit, trop frêle, en
provenance d’une petite université confidentielle, au casier judiciaire déjà
bien chargé ou aux antécédents médicaux lourds. Ces joueurs dont le sort
semblait réglé d’avance. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En somme, être sélectionné en
tant que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">undrafted free agent</i>, c'est un peu comme rater son bac, mais décrocher les rattrapages, <i>in extremis</i>. C’est se voir décerné une infime chance de
montrer aux têtes pensantes de la NFL qu’elles ont eu tort. Tort de faire l’impasse
sur vous. Infime, car nombreux sont ceux qui ne passeront pas les premières coupes.
Et les plus téméraires échoueront probablement de justesse, butant
dramatiquement sur la marche du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">cut</i>
des 53. La plus haute de toutes. La NFL, cet univers impitoyable…! Un
parcours du combattant, mais pas une mission impossible. Être un joueur non-drafté, c’est passer par la petite porte. C’est franchir les étapes les unes
après les autres. C’est jouer son avenir sur un été, pendant que les stars de
la promo négocient leurs premiers millions de dollars. C’est se battre pour intégrer
un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">roster</i> final. C’est prouver aux
recruteurs qu’ils se sont trompés ; après tout la draft n’est pas une
science exacte (Ryan Leaf, Matt Leinart et autre Jamarcus Russell en sont les
preuves vivantes). Être un joueur non-drafté, c’est avoir l’opportunité d’être
un nouveau Kurt Warner, un nouveau Antonio Gates, un nouveau Arian Foster, un nouveau
Vontaze Burfict. Un nouveau John Randle, véritable icône de la défense violette
des années 90. Terreur des terrains, habité d’une énergie venue d’ailleurs. Un
laissé pour compte qui a su prendre sa revanche. Pour le plus grand dam des
quarterbacks.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Pauvreté et anonymat ou comment se forger un mental d'acier</b></span></span></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFlXR0H3TBiv_S-KikWVJBrBzrw51hNCSV0uhU_-fBcHId4pLU-QD2IWKGM1mVCf-RFHHMx55SqapGRPYarE7Egsqpbd6xD0a0qzR-7ifkYrRdhwuVkFSfNnfptcXpisacZSpr2psWm2g/s1600/20071105__071105randle_300.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFlXR0H3TBiv_S-KikWVJBrBzrw51hNCSV0uhU_-fBcHId4pLU-QD2IWKGM1mVCf-RFHHMx55SqapGRPYarE7Egsqpbd6xD0a0qzR-7ifkYrRdhwuVkFSfNnfptcXpisacZSpr2psWm2g/s1600/20071105__071105randle_300.jpg" /></a></span></td></tr>
<tr align="center"><td class="tr-caption"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">John s'est encore vidé la boîte de cirage sur la tronche</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Peinture<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>noire dégoulinant sur le visage. Yeux
écarquillés. Langue tirée. Muscles crispés. John Randle est possédé lorsqu’il
enfile son uniforme. Comme si toute la frustration accumulée lors de la draft 1990 rejaillissait, explosait de tout son corps à chaque fois qu’il foulait le terrain. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Élevé par une mère célibataire, dans une grande pauvreté, l'enfance de John Randle n'a rien d'un conte de fées. Alors qu'il est en dernière année au lycée, la petite famille loge dans une cabane. Avant d'arriver au secondaire, il n'a jamais enfilé un uniforme de football. Dans les pas de son grand frère, il intègre l'équipe de Hearne High School, au Texas, sa ville natale. Homme de ligne aussi bien en défense qu'en attaque, il est également membre de l'équipe d'athlétisme. À cause de mauvais résultats au SAT Reasoning Test, examen de référence pour l'admission à l'université, Randle est contraint de prendre la voie du Junior College. Adieu les grandes fac prestigieuses de la NCAA.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après deux années passées au Trinity Valley Community College, il intègre Texas A&M-Kingsville, petite université évoluant en Division II. Là-bas, il va briller. En 1990, c'est auréolé d'un titre de Little All-America et un diplôme en sociologie en poche qu'il se présente à la draft. Mais lorsqu’il quitte les bancs de la fac, il est atteint de deux symptômes rédhibitoires : celui de la petite taille et celui de la petite université. Pour ne pas dire microscopique. En sortant de Texas A&I, il partait avec un handicap certains. Celui de la confidentialité, de l'absence de médiatisation, de l'anonymat. La route le menant à la NFL était loin d'être tracée d'avance. Les 22 et 23 avril, il va entendre 331 noms, énumérés un à un, mais pas le sien. Bienvenue dans le club des oubliés John! Pas le temps de s’apitoyer sur son sort, l'heure de la revanche à sonnée.</span></div>
<a name='more'></a><div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Direction la Floride, pour commencer, et les Buccaneers d'un certain Ervin Randle, son grand frère. L'essai sera de courte durée. Du haut de son mètre 85, le defensive tackle est jugé trop petit et ne convainc pas les coachs. Le fameux syndrome Valbuena. Première occasion manquée. La deuxième n'est pas plus concluante. Les Falcons le convoquent à des essais, mais renoncent à la signer, l'estimant hors de forme. La troisième sera la bonne. Une semaine après l'essai raté en Géorgie, les Vikings le convient au camp d'entraînement. Le charme opère. Visiblement séduite, la franchise du grand nord lui offre un contrat. Elle ne va pas le regretter.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>De l'ombre à la lumière </b></span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Propulsé dans le grand bain, il ne va pas tarder à exploser au grand jour. Après une première saison discrète au cours de laquelle il prend part à toutes les rencontres, mais ne collecte qu'un sack, Randle va appuyer sur l'accélérateur. En 1991, il débute 8 matchs et envoie 9,5 fois le quarterbacks goûter le gazon. Plus que son grand frère durant toute sa carrière.<b> </b>L'année suivante il s'installe au poste de titulaire. Pour longtemps. Très longtemps. 176 matchs plus tard, il règne toujours en maître au cœur de la ligne défensive violette.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/nS3Msn1Ymz4" width="600"></iframe></span>
</div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Machine à sacks et à fumbles, il fait de la chasse aux passeurs sont passe-temps favoris. Véritable perce-muraille, détonateur, dynamiteur au milieu de la mêlée, il collectionne les plaquages sur les quarterbacks. Un defensive tackle pass rusher? Une denrée rare, une aubaine pour une défense. Un cauchemar pour les adversaires. De 1992 à 1999, il va enchaîner les saisons à plus de 10 sacks. Au terme de ses 11 années passées dans le Minnesota, le bilan est lourd : 420 plaquages, 114 sacks, 25 fumbles forcés, 35 matchs conclus avec plus de deux sacks dans la musette dont 8 avec 3 ou plus et des dizaines de quarterbacks traumatisés, marqués à vie. Sous les couleurs des Violets, il décroche 6 billets pour Hawaï et figure autant de fois dans l'équipe All-Pro. Summum de sa carrière, la saison 1997, ponctuée avec 15,5 sacks et 71 plaquages au compteur. Des faits d'armes qui lui valent de figurer dans l'équipe type des années 1990 et de rejoindre le Hall of Fame en 2010. Un moindre mal pour un joueur phénoménal et inimitable. Un miracle pour un laissé pour compte.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Plus que des chiffres et un tableau de chasse bien garni, Randle est un personnage à part entière. Exubérant. Excentrique. À la limite de l'hystérie parfois. À partir de 1996, ses performances prennent une autre dimension. Et ça n'est pas étranger à une nouvelle approche du jeu. Comme si ses qualités athlétiques ne suffisaient pas, il se met à aboyer sur les joueurs adverses, à les provoquer, les harceler sans relâche. Son rituel d'avant match également change et devient l'occasion de faire monter toute l'énergie qui l'habite. Dans tous les sens du terme, Randle est un joueur usant. Qui met les nerfs des attaquants à rude épreuve. Tellement que certaines équipes n'hésitent pas à lui mettre deux, voire trois, joueurs sur le dos pour tenter de le stopper. Peine perdue. Son enthousiasme débordant, son électricité sont communicatifs et servent de véritable moteur à l'ensemble de l'escouade défensive. Plus que des stats, il est un leader charismatique, une source d'inspiration.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><br /></b></span></span></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOSqBjaD_7vPNvwvfMgUea8Le6wGGe9CzQnzqBmjuiRpBTE0YonvRFJbaQrA37TQzSCga7shvqP4q48aVZnLob5ODuzW13bYOHRsgSzTjRKHBKpIT0z2ZmCBeqIUVZr-MffS4cuRzzuBk/s1600/a3a546d6-13aa-11df-a204-001cc4c03286.preview-300.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOSqBjaD_7vPNvwvfMgUea8Le6wGGe9CzQnzqBmjuiRpBTE0YonvRFJbaQrA37TQzSCga7shvqP4q48aVZnLob5ODuzW13bYOHRsgSzTjRKHBKpIT0z2ZmCBeqIUVZr-MffS4cuRzzuBk/s1600/a3a546d6-13aa-11df-a204-001cc4c03286.preview-300.jpg" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Ça, c'est de l'amour</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Brett Favre, une longe histoire d'amour</b></span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Des quarterbacks il en a connu des dizaines. Des histoires souvent tourmentées. Parfois longues, souvent brèves. Des relations tumultueuses, mais dont certaines ont su perdurer au fil des années. La plus marquante d'entre toutes, c'est celle qu'il a entretenue pendant près d'une décennie avec Brett Favre, le fantasque passeur des Emballeurs, adepte des tapes amicales sur le postérieur et petites taquineries bien senties. Les deux larrons étaient faits pour s'entendre. Quand deux grands blagueurs se rencontrent, gare aux étincelles.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le 22 septembre 1996, John Randle réalise la meilleure performance de sa carrière. Et comme par hasard, sa victime du jour est son chouchou de toujours, Brett Favre. Au programme ce soir-là, 3,5 sacks et deux fumbles forcés. Harassés par le <i>pass rusher</i>, les Packers s'inclinent et les Vikings s'envolent vers un 4e succès en autant de rencontres. Le defensive tackle est élu joueur défensif de la semaine, puis du mois dans la NFC. De tous les quarterbacks qu'il a mis à terre, aucun n'aura autant goûté le gazon par sa faute que Brett. 13,5 fois pour être exact. Ce dernier le concède volontiers, Randle est le défenseur le plus redoutable qu'il ait jamais affronté, tout simplement <i>"inarrêtable sur synthétique"</i> selon les propres mots de la légende des Packers.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une publicité est même venue immortaliser cette rivalité. Randle y pourchasse un poulet portant un maillot miniature de Brett Favre. Là encore, le résultat est le même. Le defensive tackle finit pas l'attraper et Chicken-Favre termine le journée à griller sur le barbecue. À l'entraînement, la défense des Purple & Gold s'en prend régulièrement à des mannequins floqués du maillot du #4. Peu importe que les Packers soient ou non l'adversaire du week-end.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Icône de la défense violette de 1998, personnage atypique, provocateur et enthousiaste, joueur infatigable, Randle brille également par son humour et son humilité.</span><br />
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>"Je suis profondément ému par l'incroyable honneur qui m'est fait et que je n'aurais jamais cru possible. Je suis un gosse d'une petite ville dont le rêve est devenu réalité," </i>déclarait-il après son entrée au Hall of Fame en 2010.<i><br /></i></span></blockquote>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Alors que les laissés pour compte de la cuvée 2014 entament leur parcours du combattant pour tenter d'intégrer un effectif et de survivre aux multiples coupes, John Randle est un exemple. Au même titre que Kurt Warner, James Harrison, Wes Walker ou Warren Moon. La preuve que même l</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">'un des tout meilleurs defensive tackles de l'histoire a pu se retrouver orphelin, sans équipe au dernier jour de la draft.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/QERsU3dsDYE" width="600"></iframe></span>
</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-3082692360536651132014-05-14T13:38:00.003-04:002014-07-04T01:32:09.878-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #2 - La draft<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;">Promo 2014 : le bulletin de notes</span></span></b></span><br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1Dcl-GIYnBo1SnSrOBawHWNeBwr3a3vu9YN8t-8m1NalrWNQXKf5D7pLrJhJIzFHKenZCPnKwOo9bfmuyexlJE1eQAyXjvWDQyDh3JLA5ml-Wx65HvdBWwCkAJ_Kt_P9f5hZjZ1d5-nw/s1600/10251971_10152386263207836_555786750100711347_n.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1Dcl-GIYnBo1SnSrOBawHWNeBwr3a3vu9YN8t-8m1NalrWNQXKf5D7pLrJhJIzFHKenZCPnKwOo9bfmuyexlJE1eQAyXjvWDQyDh3JLA5ml-Wx65HvdBWwCkAJ_Kt_P9f5hZjZ1d5-nw/s1600/10251971_10152386263207836_555786750100711347_n.jpg" height="251" width="640" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Un nouveau millésime pour le Château Spielman</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">L'excitation de la draft est lentement retombée, l'occasion de dresser un bilan global de la cuvée 2014. En toute objectivité bien évidemment. Comme toujours sur ce blog. Après deux éditions plus que parfaites en 2012 et 2013 et des premiers tours riches en émotions, Rick Spielman avait la pression. Il faut dire que depuis le raté Christian Ponder, le général manager à enchaîné les bons coups et s'est forgé, à juste titre, une sacrée réputation de chasseurs de talents. Tellement qu'une draft réussie tient désormais de la routine dans le Minnesota. L'ancien passeur de Florida State aura au moins servi à ça. Et au final le bilan de cette cuvée 2014 est extrêmement positif. Une fois de plus. À quelques exceptions près, ce sont les A qui l'emportent dans <a href="http://www.dailynorseman.com/2014/5/11/5706506/2014-nfl-draft-grades-how-did-the-vikings-do">tous les médias spécialisés</a>. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Avec l'agressivité qu'on lui connait, le GM des Violets est allé chercher le meilleur lanceur de la promo en 32e position. Après avoir drafté un bust en 12e position il y a trois ans... </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2014/05/draft-2014-1er-tour-teddy-bridgewater.html"><b>Teddy Bridgewater</b></a><span style="color: white;"> </span></span></span>est le quarterback dont on avait désespérément besoin. Rien de moins. Dans le jargon, c'est ce qu'on appelle un coup de maître. Personne n'en voulait. Et bien nous sommes ravis de le récupérer! Certaines rumeurs prétendent que les Vikings ont fait le forcing pour drafter Johnny Manziel en montant un échange avec les Eagles. Les Browns auraient finalement remporté les enchères. Alléluia. GUMP ("Great Under Massive Pressure") ressemble bien plus au candidat parfait pour l'attaque de Norv Turner. L'ancien passeur de Louisville n'est pas vraiment du genre à envoyer des ogives de 60 yards au quatre coins du terrain, mais sa précision sur les tracés courts et intermédiaires est incroyable. Et ça tombe bien, Cordarrelle Patterson, Greg Jennings et Kyle Rudolph ont les profils parfaits pour faire briller le nouveau #5 des Purple & Gold. Il sera en concurrence avec Matt Cassel, mais part à égalité avec le vétéran, dans le nouveau système offensif de Norv Turner. Tous les voyants semblent au vert pour que Bridgewater démarre en semaine 1. À commencer par la confiance affichée de Mike Zimmer. En attendant, mention très bien pour Rick.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La cuvée 2014 des Vikings, c'est avant tout une histoire de défense. Rien de surprenant quand on sait que la nouvelle tête pensante de la franchise du Minnesota est un fin stratège défensif. Encore moins surprenant quand on connaît le niveau désastreux de l'escouade l'année dernière. Il fallait stopper l'hémorragie. C'est que les Violets ont tenté de faire. La tendance sera aux pass rushers dans le Minnesota l'année prochaine. <span style="color: orange;"><a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2014/05/minnesota-vikings-draft-2014-1er-tour.html"><b>Anthony Barr</b></a></span> ressemble encore à un projet à ce stade, un diamant brut qui ne demande qu'à être poli. Un prédateur sanguinaire, un chasseur de quarterbacks redoutable qui distille des sacks dévastateurs. Mais en dehors de ça, il a encore beaucoup à apprendre. Certains voient en lui un <i>reach</i>, mais Mike Zimmer est le candidat parfait pour exploiter son potentiel au maximum. Il n'en demeure pas moins qu'il est un choix risqué. Un risque mesuré, mais tout de même. Dans la famille pass rusher, je voudrais le frère. <span style="color: orange;"><a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2014/05/draft-2014-3e-tour-scott-crichton-video.html"><b>Scott Crichton</b></a></span> n'est pas Jared Allen, mais se l'offrir au 4e tour est un luxe quasiment inespéré. Infatigable, physique, il va permettre au nouveau head coach de disposer d'un large éventail de pass rushers et de concocter une multitude de schémas défensifs pour mettre la pression sur la poche et le quarterback adverse. Ça va blitzer à tout va dans le Minnesota. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirwdLKqwBNgD1H95fQwhhYK3qrhI6VdfMJlF-z94FDHvA5HTReipVQ5hvDdUut1EpZ-OXsJUNXk4ntOcVYX2hqwRL9i8u6a-1VY70EAvNTERoeFxMN3vfUu2gqgOveLbwRxaGCaXWNvio/s1600/teddy-bridgewater-drafted-05092014.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirwdLKqwBNgD1H95fQwhhYK3qrhI6VdfMJlF-z94FDHvA5HTReipVQ5hvDdUut1EpZ-OXsJUNXk4ntOcVYX2hqwRL9i8u6a-1VY70EAvNTERoeFxMN3vfUu2gqgOveLbwRxaGCaXWNvio/s1600/teddy-bridgewater-drafted-05092014.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le violet lui va à ravir</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Linebacker, check. Defensive end, check. Un nouveau lineman extérieur n'était pas une priorité, mais Mike Zimmer aime disposer de nombreuses options le long de la ligne. Ces problèmes réglés, restait à combler le vide abyssal au fond de la défense. Et les Vikings ont tardé à le faire. Heureusement, ils s'en sortent relativement bien tout de même. Relégué en fin de draft à cause de blessures, <b><span style="color: orange;">Antone Exum</span> </b>pourrait rapidement être reconverti en safety aux côtés d'Harrison Smith. <span style="color: orange;"><b>Kendall James</b></span> aura un coup à jouer dans un groupe de cornerbacks en manque de talent. Il pourrait être la surprise de cette draft, bien que méconnu et sélectionné en toute fin de week-end. Rien d'excitant, mais des choix intelligents et peu risqués qui pourraient s'avérer payants. Les Violets auraient pu adresser ce besoin un peu plus tôt. A quatre mois du début de la saison, seuls Xavier Rhodes (sur l'extérieur) </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">et Captain Munnerlyn (probablement dans le slot) sont </span>assurés d'une place de titulaire. Pour les autres, la lutte est ouverte.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Offensivement, la chute magistrale de <span style="color: orange;"><b>David Yankey</b></span> permet de trouver le très probable remplaçant de Charlie Johnson au poste de left guard à une position inespérée, au 4e tour. A ce stade de la draft, c'est un luxe. <b><span style="color: orange;">Jerick McKinnon</span> </b>est loin de maîtriser toutes les subtilités du poste de running back, mais son impressionnant Combine fait de lui un véritable projet, avec un énorme potentiel. S'il a tout à apprendre en matière de pass protection, Spielman voit déjà un lui un third-down back. Au contact d'Adrian Peterson il ne pourra que se bonifier. Son profil est bien plus excitant que le tank Matt Asiata. Il fera partie des 53 en septembre.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Au final, la promo 2014 c'est 10 joueurs, trois defensive backs, un franchise quarterback, un defensive end, un linebacker pass rusher, un running back-homme-à-tout-faire, un guard qui nous fera rapidement oublier Charlie Johnson, un defensive tackle et un middle linebacker. Tous les besoins sont comblés. Ou presque. Seules ombres au tableau : l'absence d'un wide receiver malgré une cuvée plus riche que jamais en cibles de talent et la présence d'un seul middle linebacker, drafté très très tard et qui ne passera probablement pas le cut. Quant à McKinnon, c'est une énigme, un joueur avec des qualités athlétiques indéniables, mais un gros point d'interrogation. Peut-être deviendra-t-il le successeur d'AP à moyen terme, mais pour l'instant il est loin du compte. Avec sept joueurs draftés au premier tour lors des trois dernières éditions, Rick Spielman continue d'insuffler du sang frais de haute qualité dans l'effectif, des titulaires en puissance pour de nombreuses années.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une excellente cuvée dans son ensemble. Un premier tour agressif, deux journées intelligemment gérées par la suite. Du talent du premier jusqu'au dernier jour, qui vient s'ajouter à celui glané lors des deux dernières éditions. Les Vikings poursuivent leur cure de rajeunissement. Et ils le font bien. Très bien même.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Note générale : A-</b></span></span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-76483085249819890592014-05-13T04:52:00.000-04:002014-05-13T05:11:42.833-04:00Minnesota Vikings 2009 // Remember The Heroes [Vidéo]<span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;">Les Vikings au presque parfait</span></b></span></span><br />
<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="374" src="//www.youtube.com/embed/JoURH0LOXr0" width="665"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Au même titre que 1998, 2009 restera dans les annales de la franchise du Minnesota comme une de ces saisons où les Violets ont touché le Graal du bout des doigts. Une saison historique. Une équipe portée par une attaque explosive (tiens, tiens comme en 98), menée de main de maître par M. Brett Favre en personne, auteur de sa plus belle saison en carrière, à 40 ans, chez le rival de toujours de ses Packers adorés. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Comme en 98, les Vikings accueillent un petit nouveau qui va faire des merveilles en la personne de Percy Harvin. Comme en 98, ils emportent tout sur leur passage durant la saison régulière. Comme en 98, ils balaient la NFC Nord (la belle époque). Comme en 98, les Purple & Gold échouent à une marche du Big Game. La plus haute de toutes. D'un cheveu, d'une malheureuse interception. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Presque irréprochable durant toute la saison, faiseur de miracles face aux 49ers en semaine 3, Brett Favre n'aura flanché qu'une seule fois. Au pire des moments. </span></span>Les Vikings s'inclinent. En prolongation. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">L'histoire se répète. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une déception, mais une saison remarquable, qui restera dans l'histoire de la franchise. Vivement que l'on puisse revivre pareilles émotions! Aujourd'hui, c'est séquence nostalgie. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">♫ Musique : <br />J Sigsworth - Foe<br />J Sigsworth - The Glowing </span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-67355837339260901782014-05-11T04:58:00.005-04:002014-05-11T05:07:47.535-04:00Draft 2014 // Les agents libres non-draftés<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: large;">Les laissés pour compte</span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc5Irg7PGBr-XQXr-KtiQevezXAEQAi5AG5RZAqkXrpXyjcLhdjhbYfFkSzMssPfHMRISedqDhioSD3JmabeJ5DVC3sKQgY2c1JLIgB1hThyphenhyphensaJNoGV-2hu82r4jswmK0pWHfBErhruCM/s1600/USATSI_6537036_161118632_lowres.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc5Irg7PGBr-XQXr-KtiQevezXAEQAi5AG5RZAqkXrpXyjcLhdjhbYfFkSzMssPfHMRISedqDhioSD3JmabeJ5DVC3sKQgY2c1JLIgB1hThyphenhyphensaJNoGV-2hu82r4jswmK0pWHfBErhruCM/s1600/USATSI_6537036_161118632_lowres.jpg" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Tiny Richardson est un des grands oubliés de la draft 2014</span></span></td><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><br /></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La draft ne s'arrête pas avec l'annonce de Mr. Irrelevant. Loin de là. Le rideau vient à peine de tomber sur le Radio City Music Hall, que les franchises se plongent dans un autre événement : la grande braderie aux joueurs non-draftés. Ces mecs laissés sur la touche pour des raisons diverses : trop petits, pas assez athlétiques, cancres au casier judiciaire déjà bien fourni ou bien tout simplement footballeurs moyens. Peu importe les raisons, c'est l'occasion pour les équipes de compléter leur effectif et de pourquoi pas dénicher quelques perles rares, passées au travers du filet. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Des joueurs souvent repérés au cours du processus pré-draft et qui seront intégrés au roster de 90 hommes afin d'être mis à l'épreuve au cours des camps
d'été. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si les Violets ont fait l'impasse sur les receveurs durant la draft, ils se sont bien rattrapés en en signant trois dès dimanche soir. Au programme, des linemen. Beaucoup de linemen. Des deux côtés du ballon. Si la plupart de ces joueurs sont d'illustres inconnus, ça n'est pas le cas de tous. Et à ce titre, la cuvée 2014 des Vikings compte quelques noms déjà bien connus, dont certains pourraient bien figurer dans le roster en septembre. Mais pour y parvenir, le chemin reste encore long. Très long.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<a name='more'></a><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYavIx0S0WwlY_1_UkbHO37iN9hIQgLdvNopa1JZEk8Ig7wbs8iZUeJGBS_d2A7i2UKSMa1I2fFFPxPkgISa-ptuA_sU1hDC8uw7lidYTl12TaQ-RA3uQaQXW0wmWnWpSW6jdOIgh6EtQ/s1600/UDFA+Vikings.PNG" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYavIx0S0WwlY_1_UkbHO37iN9hIQgLdvNopa1JZEk8Ig7wbs8iZUeJGBS_d2A7i2UKSMa1I2fFFPxPkgISa-ptuA_sU1hDC8uw7lidYTl12TaQ-RA3uQaQXW0wmWnWpSW6jdOIgh6EtQ/s1600/UDFA+Vikings.PNG" height="368" width="640" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Merci à <a href="http://dailynorseman.com/">dailynorseman.com</a> pour ce joli tableau</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">De tous les joueurs signés par la franchise du Minnesota, le plus gros est certainement celui d'<span style="color: orange;"><b>Antonio Richardson</b></span>. Et de gros il n'a pas que le nom. Du haut de son mètre 98 et fort de ses 152 kilos, "Tiny" est un véritable pachyderme que certains observateurs attendaient aussi haut que le 2e tour. Dans le Tennessee il a évolué au poste de left tackle, mais c'est côté droit du bouclier que son avenir semble se dessiner. Si avenir il y a. Sa chute spectaculaire peut s'expliquer par une technique médiocre et un investissement douteux. De façon générale il pêche par manque de régularité dans ses efforts.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les deux autres noms qui retiennent l'attention sont deux receveurs, dont un quarterback repenti. <span style="color: orange;"><b>Erik Lora</b></span>, le go-to-guy attitré d'un certain Jimmy Garoppolo a Eastern Illinois, collectionne les records de son ancienne université. Réception (332), yards (4,006) et touchdowns (35), il a fait une razzia. Slot receiver rapide et habile, bien que peu puissant ni particulièrement explosif, il devrait disputer une place dans les 53 avec l'ancien Texan Lester Jean. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Ancien quarterback option-play à Northwestern, <span style="color: orange;"><b>Kain Colter</b></span> peut lancer, porter, mais aussi attraper le cuir. Un profil à la Brad Smith. Malgré son passé de <i>signal caller</i>, c'est en tant que receveur que les Vikings veulent le tester. Il aura du mal à se faire une place dans le roster. La transition est généralement délicate pour les anciens passeurs universitaires. Parlez-en à Denard Robinson. Les Violets n'ont rien à perdre, Colter non plus. C'est probablement sa seule chance d'évoluer dans la NFL.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Avec un chrono de 4.50 sur 40 yards, <b><span style="color: orange;">A.C. Leonard</span> </b>est un tight end intéressant. Surtout après le départ de John Carlson. Il a fait étalage de son agilité lors du Combine. Malgré une production limitée à Tennessee State, il a des arguments à faire valoir. Un joueur à suivre durant l'été.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Certains de ces joueurs pourraient décrocher un contrat dans les semaines ou mois qui viennent. D'autres risquent de rapidement être libérés. D'autres encore ne seront que conviés à des camps d'entraînement, sans signer de contrat. Cela pourrait d'ailleurs être le cas de l'ancien Buckeye <span style="color: orange;"><b>Kenny Guiton</b></span>, dont le nom circule autour des Vikings ces dernières heures.</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-55680672000317307392014-05-11T03:42:00.000-04:002014-05-11T14:50:15.894-04:00Draft 2014 // Les autres choix (3e au 7e tour)<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><b>Opération blindage</b></span></span></span><br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMhhC4_twkWM_gZfnsvBHYdhXi2mzNIt53v-1USXY5pceZ_8x76Y8Gcx26pdKoVHUakBoG9oAQvxBxx24dKR7eYxfT5Q61GTZexY6IcuGyod0T8ixbtUQ8qTHcksiuKV29ue8MqF3kgwQ/s1600/ncf_a_yankey_b1_576.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMhhC4_twkWM_gZfnsvBHYdhXi2mzNIt53v-1USXY5pceZ_8x76Y8Gcx26pdKoVHUakBoG9oAQvxBxx24dKR7eYxfT5Q61GTZexY6IcuGyod0T8ixbtUQ8qTHcksiuKV29ue8MqF3kgwQ/s1600/ncf_a_yankey_b1_576.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les jours de Charlie Johnson sont comptés</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Après avoir passé en revue les trois principales recrues des Violets, il est temps de jeter un œil au reste de la cuvée 2014. Au programme des défenseurs, beaucoup de défenseurs, quelques bonnes affaires et des petites surprises concoctées par Rick Spielman et Mike Zimmer. Au final, les Vikings ont profité de la dernière journée pour combler des besoins pressants non seulement en apportant de la profondeur, mais aussi en dégotant quelques éléments qui pourraient rapidement devenir titulaires. Tour d'horizon.</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Jerick McKinnon - RB - 22 ans - Senior - Georgia Southern Eagles</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Position dans la draft : 96e choix (3e tour)</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille : </b>1,75m<br />
<b>Poids : </b>95 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Avant de se projeter vers la dernière journée, retour sur l'ultime choix du 3e tour. Et un choix-surprise. La surprise ne réside pas tant dans le poste, que dans l'identité de l'heureux élu. Pas vraiment le candidat qu'on attendait. Running back, quarterback, defensive back, Jerick McKinnon peut tout faire. Passeur dans une attaque triple-option reconverti en coureur au cours de son année de senior, il a accumulé 1,050 yards et 12 touchdowns en 161 courses en 2013. Il a été l'un des bourreaux des Gators lors du succès surprise des Eagles dans le Swamp de Gainesville.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Remarquable athlète, il a éclaboussé le Combine de par ses prouesses. 4.37 sur 40 yards, 32 développés-couchés sur le banc, une détente verticale d'un mètre. McKinnon court avec une détermination qui n'est pas sans rappeler un certains Adrian Peterson. Toute proportion gardée. Pas très explosif, faible en <i>pass protection</i>, il découvre le poste de running back et possède une bonne marge de progression. Prospect intriguant, il était loin d'être la meilleure option sur le papier à ce stade de la draft, mais pourrait se transformer en une bonne pioche. Il aura beaucoup à prouver pour devenir la doublure du dieu vivant AP. Il est l'une des énigmes de cette promo côté Vikings, mais compte tenu de ses qualités athlétiques donnons-lui le bénéfice du doute.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Note :B-</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b></b></span></span><br />
<a name='more'></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>David Yankey - OG - 22 ans - Junior - Stanford Cardinal</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Position dans la draft : 145e choix (5e tour) </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille :</b> 1,98m</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids : </b>143 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span></div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/RRaKr-OwmG0" width="600"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Privés de choix au 4e tour, les Vikings ont profité du 5e pour faire une belle affaire. Véritable mastodonte de près de deux mètres, tout droit venu de la baie de Sidney, David Yankey est l'un des steals de la draft des Violets. Attendez-vous à ce qu'il soit titulaire dès le mois de septembre prochain. Fraîchement resigné, le vieillissant et rouillé Charlie Johnson pourrait rapidement être détrôné. Pour notre plus grand bonheur.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un temps attendu au 2e, voire au 1er tour, il a lentement chuté. Et pas qu'un peu. Bloqueur intérieur rugueux, il peut également dépanner au poste de tackle, une versatilité toujours précieuse. Double All-American, Yankey est loin d'être un athlète exceptionnel, mais il sera certainement plus utile que Johnson. Utile en <i>pass protection</i>, il est percutant sur les jeux au sol et permet d'ouvrir des brèches en monopolisant un ou plusieurs défenseurs. De quoi combler Adrian Peterson. Au 5e tour, c'est une excellente pioche qui répond à l'un des plus gros besoins des Violets.<b><br /></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Note : A-</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEit31WJRKw84VkfOhDP5vPv5n42uJQ_eR5WSds3Ck8Rp6Q_pM2Zs9Bkrc67Z_FaEYk9zneEHyCRcTxxLf2Yr417jGEPrymtB4Z65gi4xTIfU5EnE0V13SwwxUMIXQAg7GOa96zO0mb9PCE/s1600/134246947-DHDW.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEit31WJRKw84VkfOhDP5vPv5n42uJQ_eR5WSds3Ck8Rp6Q_pM2Zs9Bkrc67Z_FaEYk9zneEHyCRcTxxLf2Yr417jGEPrymtB4Z65gi4xTIfU5EnE0V13SwwxUMIXQAg7GOa96zO0mb9PCE/s1600/134246947-DHDW.jpg" height="320" width="213" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Une visite chez le barbier ne serait pas de trop</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Antone Exum - CB/FS- 23 ans - Senior - Virginia Tech Hokies</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Position dans la draft : 182e choix (6e tour) </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille :</b> 1,83m</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids : </b>97 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un très bon coup. Le poste de cornerback a été le talon d'Achille de la défense des Purple & Gold l'an dernier. Malgré un Xavier Rhodes à l'avenir radieux et les arrivées de Captain Munnerlyn et Derek Cox, l'arrivée de sang frais était indispensable. Mettre la main sur Antone Exum au 6e tour est un steal. N'ayons pas peur de mot. Une belle affaire qui tient en grande partie aux blessures dont l'ancien Hokie a été victime et qui l'ont fait considérablement chuter. Sans ça, il se serait envolé depuis bien longtemps. Si bien qu'il ne sera une bonne pioche que s'il parvient à rester en bonne santé. Croisons les doigts.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un choix de 6e tour titulaire dès sa première saison, cela semble fantaisiste, voire absurde. Pourtant le scénario est tout sauf farfelu. Capable de jouer safety, dans le slot ou sur l'extérieur, il profite d'une taille idéale et d'une bonne vitesse. Une place sur les équipes spéciales lui semble promise, mais son apport pourrait être plus important encore. Et plus rapidement qu'on ne le pense pour un choix de fin de draft. Son goût prononcé pour les plaquages virils pourrait lui valoir une reconversion en safety. Ça tombe bien, il y a une place à prendre.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un joueur prometteur et plein de potentiel qui va contribuer à nettement rehausser le niveau du secondary. Un luxe à ce stade de la draft. Seule ombre au tableau, en plus de son physique fragile, sa tignasse dorée. Une faute de goût.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Note : A</span></b></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></b></span> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/tv3SQsu_1mQ" width="600"></iframe>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Kendall James - CB - 22 ans - Senior - Maine Black Bears</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Position dans la draft : 184e choix (6e tour)</span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille :</b> 1,80m</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids : </b>82 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Encore un cornerback, mais de moindre calibre que le précédent. En vue à son pro-day, Kendall James profite d'une bonne vitesse et d'un excellent instinct.Il est à sa place au 6e tour. Son impact devrait moins se faire ressentir que celui d'Antone Exum, mais il apporte une profondeur bienvenue à un poste qui en a cruellement besoin. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Ses bras courts et son manque de muscle devraient le cantonner à un rôle de slot cornerback et de joueur d'équipes spéciales, un domaine où il excelle. Un jouer qui peut s'avérer utile en somme, notamment grâce à un excellent jeu de pieds, des mains sûres et des aptitudes de plongeur rares. Un choix solide, mais dont l'apport devrait être limité.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Note : B</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEig0LmV3Ce__iAo2U9XmZ-6M2llIqCOfsMHgnOCB8VTKboqCYe-q9BMJaltFn_i2jN2DmRIML5sDFURprDXxhpctreLsFITBae33NXMaJNdCiZ9yg6J6237nKptMKh1sEk_nUqwXc04HZg/s1600/Shamar+Stephen+Pittsburgh+v+Connecticut+YwOwDidSVihl.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEig0LmV3Ce__iAo2U9XmZ-6M2llIqCOfsMHgnOCB8VTKboqCYe-q9BMJaltFn_i2jN2DmRIML5sDFURprDXxhpctreLsFITBae33NXMaJNdCiZ9yg6J6237nKptMKh1sEk_nUqwXc04HZg/s1600/Shamar+Stephen+Pittsburgh+v+Connecticut+YwOwDidSVihl.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Shamar Stephen, un athlète tout en muscles</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Shamar Stephen - DT - 23 ans - Senior - Connecticut Huskies</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Position dans la draft : 220e choix (7e tour) </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille : </b>1,98m</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids :</b> 140 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après avoir étoffé le <i>secondary</i>, place à la ligne défensive avec un géant. Cet ancien basketteur (difficile à croire) affiche des mensurations impressionnantes. 198cm sous la toise, 140 kilos sur la balance, Shamar Stephen est une montagne. Et comme toutes les montagnes, il ne brille pas par sa mobilité. Il bénéficie par contre d'une solide expérience après trois années comme titulaire dans le Connecticut. Il est bien plus utile en <i>run stopper</i>, où il se transforme en muraille infranchissable, qu'en <i>pass rusher</i>.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Malgré son apport unidimensionnel, il était attendu plus tôt et possède des qualités qui valent certainement plus qu'un choix de 7e tour. Après avoir fait l'impasse sur Aaron Donald au premier tour, les Vikings mettent la main sur un joueur talentueux à ce stade de la draft et qui pourrait s'avérer particulièrement utile. Joueur encore brut avec une bonne marge de progression, il possède les outils pour devenir un defensive tackle 3-technique. Il ne reste plus qu'à le lui apprendre. Qui de mieux que Mike Zimmer pour s'en charger? Il rejoint Linval Joseph et Sharrif Floyd dans un groupe de linemen intérieurs qui commence à avoir de la gueule.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Note : A</span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Brandon Watts - LB - 23 ans - Senior - Georgia Tech Yellow Jackets</span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Position dans la draft : 223e choix (7e tour)</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille :</b> 1,89m<b><br /></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids : </b>106 kilos<b><br /></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Rien n'assurait qu'il soit drafté, les Vikings ont décidé de lui accorder ce privilège. Linebacker, qui se déplace extrêmement intelligemment, Brandon Watts a sans doute profité de son excellent pro-day pour faire grimper sa côte. Malgré un profil idéal pour évoluer côté faible dans une 4-3 et d'excellentes qualités athlétiques, il devra se battre pour intégrer les 53. Un plaqueur, plus qu'un sackeur, son étonnante vitesse - compte tenu de sa taille - et ses remarquables qualités athlétiques pourraient faire de lui un joueur d'équipes spéciales redoutable. Un choix de fin de draft, qui ne révolutionnera pas l'image de la franchise, mais avec de belles choses à faire valoir. Un safety n'aurait pas été de trop à ce stade.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Note : B</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjdm7ITM4_hkdlQsSwr9eQpHy1ZV0EQG6PiuN5p7cXS3PEMPQGNqzIGBp2cJ0se_QEw-aHZy0R_vwTjDol5kWttIv2n-49vwbQi4avJusQBf0259X-biqErCiNnwru8JIzzbldD4iQmvA/s1600/Jabari+Price+Elon+v+North+Carolina+EwavArOReDMl.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjdm7ITM4_hkdlQsSwr9eQpHy1ZV0EQG6PiuN5p7cXS3PEMPQGNqzIGBp2cJ0se_QEw-aHZy0R_vwTjDol5kWttIv2n-49vwbQi4avJusQBf0259X-biqErCiNnwru8JIzzbldD4iQmvA/s1600/Jabari+Price+Elon+v+North+Carolina+EwavArOReDMl.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le verra-ton un jour en violet? Rien n'est moins sûr</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Jabari Price - CB - ans - Senior - North Carolina Tar Heels</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Position dans la draft : 225e choix (7e tour)</span></b></div>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille :</b> 1,82m</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids :</b> 90 kilos</span><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un énième cornerback en cette fin de draft. Est-ce vraiment utile? Pas convaincu. Un bon cocktail de taille et de vitesse, Jabari Price rejoint un groupe de cornerbacks désormais bien fourni. De quoi laisser l'embarras du choix à Mike Zimmer pour composer son escouade à l'issue des camps d'été et au cours de la présaison. Ses qualités de détente sont proches de zéro et sa technique douteuse. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Il est clairement le moins bon des trois cornerbacks sélectionnés. Il ressemble davantage à un projet, encore faut-il qu'on lui laisse le temps. Peu probable qu'il passe le cut. Mais sait-on jamais. S'il parvient à se faire une place dans les 53, il sera un pion précieux sur les équipes spéciales, où il excelle. L'ajout d'un receveur supplémentaire aurait été le bienvenu pour clore l'édition 2014.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Note : C-</b></span></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><span style="color: white;">Le mot de la fin : Rick Spielman et Mike Zimmer ont parfaitement su mettre à profit leurs choix de dernière journée pour combler des postes clés en apportant une plus value en terme de qualité à certaines positions et de la profondeur à d'autres. Seul regret : que les postes de receveur et de safety aient été ignorés, bien qu'Exum détienne toutes les qualités pour bouger au fond de la défense, un safety de formation n'aurait pas été de trop. Une bonne dernière journée néanmoins. À l'image de cette draft, une nouvelle fois réussie.</span><b> </b></span></span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-50221877709587531062014-05-10T02:25:00.001-04:002014-05-11T05:08:22.766-04:00Draft 2014 // 3e tour : Scott Crichton [Vidéo]<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: large;"><span style="color: orange;">72e choix : du renfort sur la ligne de front</span></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuylelAdRGjG8nCY1-s7lo8ImeLWbVOCIiuBoXHKvUQfroPW-yFPIjX9YHL18TMc-e96_185oPDrtIrjp1uz1kbKAtybDpru4XyVdbt4gIPH12GghMUctSk39B3XpC7_0EglA1RMpcRyQ/s1600/Oregon-State-Scott-Crichton.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuylelAdRGjG8nCY1-s7lo8ImeLWbVOCIiuBoXHKvUQfroPW-yFPIjX9YHL18TMc-e96_185oPDrtIrjp1uz1kbKAtybDpru4XyVdbt4gIPH12GghMUctSk39B3XpC7_0EglA1RMpcRyQ/s1600/Oregon-State-Scott-Crichton.jpg" /></a></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdYYHnISh3AAPBYapxgpjMzZ8HH6Mm_7wu5Fv8SrHP1VwBqQLhBEPhrkT1lwUJ5UUlefSUjM1NKdXGb-rihFs2kCA5bNEemKKViuYzQouphJXXm1TdbnLcA2R_4HvCkRcOWlokuUsQ2fo/s1600/Scott+Crichton.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Après s'être montrés à l'occasion du premier tour en draftant Anthony Barr et surtout en revenant en toute fin pour sélectionner Teddy Bridgewater, les Vikings ont fait profil bas. Absents du 2e tour, ils ne sont réapparus qu'en début de 3e. Avec des trous à combler dans le dernier rideau défensif et derrière Adrian Peterson, Spielman et Zimmer ont surpris en ajoutant un nouveau pass rusher. Suprenant. Mais au moins, ils en ont choisi le meilleur disponible.</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Scott Crichton <b>–</b> <b>Defensive End –</b> 22 ans <b>–</b> Junior <b>– </b>Oregon State Beavers</b></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Position dans la draft : 72e choix (3e tour)</b></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille : </b>1,92m</span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids :</b> 123 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Stats en 2013 : </b>13 matchs, 7.5 sacks, 47 plaquages dont 19 pour perte, 3 fumbles forcés.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En bref </span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En 2011, </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Scott Crichton </span></span>mène tous les freshmen du pays au nombre de sacks (6) et plaquages pour perte (14.5). Sur sa lancée il réalise des saisons 2012 et 2013 tout aussi convaincantes.</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> Résolu à faire le saut dans le grand bain, il tire un trait sur son année de senior. En tête, la perspective de jouer au plus haut niveau, mais aussi celle de pouvoir subvenir aux besoins de ses parents et de leur permettre de partir à la retraire. C'est ça, Scott Crichton, un garçon dévoué. Et ça se ressent dans son jeu.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></b></span></div>
<a name='more'></a><span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le plus</span></b></span><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Grâce à un <i>bull rush </i>redoutable, il emporte tout sur son passage. Tel un taureau un jour de corrida il force la poche à se contracter et réduit considérablement l'espace pour le passeur. Il utilise à merveille ses larges et solides mains, de quoi lui permettre d'échapper aisément aux blocks dans les jambes. Il démarre au quart de tour sur le snap, se ruant sur les bloqueurs comme un forcené. Laissé lui la moindre ouverture, il vous le fera regretter immédiatement en s'y engouffrant à pleine vitesse. La moindre erreur se paye cash. Dynamiteur de ligne, il perturbe constamment le fond du terrain, contrariant le travail des passeurs comme des coureurs.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si l'agilité n'est pas son fort, ses déplacements latéraux sont efficaces lorsqu'il attaque à la ligne et constituent sa principale force. Il provoque souvent des pénalités pour holding en déstabilisant et déséquilibrant les bloqueurs. Il obstrue la ligne de scrimmage et monopolise souvent plusieurs linemen, de quoi libérer des espaces pour ses petits camarades. C'est ce qu'on appelle se mettre au service de son équipe.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Contre le jeu au sol, il n'a rien à envier à ses aînés de la NFL. Derrière la ligne de scrimmage ou en vigie sur sa position de départ, il est redoutable. Faisant parler son instinct et sa puissance, il utilise ses mains de façon intelligente pour attraper les coureurs, même lorsqu'il est aux prises avec un lineman. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Infatigable, il multiplie les efforts sans rechigner et avec un engagement total. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Même face à des prises à deux il trouve le moyen d'être productif. Sa détermination et son état d'esprit sur le terrain se reflètent dans son éthique de travail. Rien à lui reprocher, il est exemplaire.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUxvzG0dop3WAYNI03mfdGiz1SSBwU_YH5ZIjhdBHrT38QFmYc2vmNT2kCU5adnVYw00kQVyg6w6ehRi_12GxwFqdnbOw622Uk7hlJFr2y0mwA1eZk8j5j5HveFfcYo0gqdZJL6DRH1JM/s1600/scott-Crichton.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUxvzG0dop3WAYNI03mfdGiz1SSBwU_YH5ZIjhdBHrT38QFmYc2vmNT2kCU5adnVYw00kQVyg6w6ehRi_12GxwFqdnbOw622Uk7hlJFr2y0mwA1eZk8j5j5HveFfcYo0gqdZJL6DRH1JM/s1600/scott-Crichton.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Crichton s'apprête à tout envoyer valser sur son passage</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le moins</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Son énergie et son endurance permettent de compenser son déficit de centimètre et ses bras courts. Si sa (très relative) petite taille lui permet de se glisser sous les imposants linemen, son amplitude limitée l'empêche de leur mettre la main dessus, de telle sorte qu'il peut facilement être verrouillé. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Incapable de déborder son vis-à-vis. Son manque d'agilité et de vitesse l'handicape lorsqu'il tente de prendre le périph'. Idem pour son </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">manque d'équilibre, ses jambes raides et son haut du corps droit à l'attaque de la ligne. Inarrêtable lorsqu'il déboule tête baissée, il bénéficie d'un répertoire de mouvements limité qui le rend relativement prévisible. En dehors de son <i>swim move</i>, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Un peu de fantaisie dans son jeu ne ferait pas de mal.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Sa marge de progression est limitée. Il devra se contenter de ses acquis. En NFL, il ne faut pas s'attendre à ce qu'il se mue en collectionneur de sacks.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Le verdict </b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Recruter au 3e tour un pass rusher du calibre d'un 2e tour, c'est toujours une bonne affaire. Mais les Vikings ont des besoins bien plus pressants qu'un énième defensive end, d'où le B. Scott Crichton était un de mes prospects préférés avant la draft, un de ces fameux <i>sleepers</i>. Dans l'ombre de Jadeveon Clowney et Khalil Mack. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Avec un potentiel évident, il vient gonfler un pass rush désormais bien fourni. De quoi donner des migraines aux coordinateurs offensifs et quarterbacks adverses en multipliant les blitz. Mike Zimmer a un faible pour la chose, ça n'est donc pas un hasard de voir les Violets sacrifier deux de leurs trois premiers choix sur des chasseurs de passeurs. Seulement, j'aurais préféré voir un defensive back, un left guard ou un coureur venir renforcer les rangs des Vikings en début de 3e tour. Mais quitte à choisir un edge rusher, Crichton est la bonne pioche et correspond à un besoin. Certes pas le plus urgent, mais tout de même.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La saison prochaine, Mike Zimmer pourrait concocter quelques jeux spéciaux pour mettre à profit ses qualités de perce-muraille. À l'aise également à l'intérieur de la ligne, c'est à gauche qu'il fait le plus de dégâts. Si bien qu'il semble destiné à prendre la succession du trentenaire Brian Robison. En attendant, il devrait intégrer la rotation et jouer le rôle de doublure. Un bon choix en somme, qui apporte de la profondeur et de multiples possibilités en terme de pass rush. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La note : B+</span></b></span><br />
<br /></div>
</div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/GGXO49CwRvI" width="600"></iframe>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-30244456532547189322014-05-09T03:21:00.000-04:002014-05-09T14:33:09.268-04:00Draft 2014 // 1er tour : Teddy Bridgewater [Vidéo]<div style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="color: orange;">32e choix : la surprise du chef</span></span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjW9ULUmX0lYcPyYAlteKgw4CQix7aV8t_9W2Rfvlt3OpaRe_J0Hmy2Yu5Lafx5BXgYkRAYJ3sdNb6qaWAzz7epYSeJjletQvrQxKRekUzB6c2D4bx1QqBplUxnsyFmxjrQBaQPIUpp9tk/s1600/tempteddy-draft-1-g050914--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjW9ULUmX0lYcPyYAlteKgw4CQix7aV8t_9W2Rfvlt3OpaRe_J0Hmy2Yu5Lafx5BXgYkRAYJ3sdNb6qaWAzz7epYSeJjletQvrQxKRekUzB6c2D4bx1QqBplUxnsyFmxjrQBaQPIUpp9tk/s1600/tempteddy-draft-1-g050914--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="456" width="640" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<i><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Que serait une première journée de draft sans quelques allers et venus des Vikings? Après avoir drafté deux joueurs au premier tour en 2012 et trois lors de la dernière édition, Rick Spielman a récidivé. Le manager général n'a pas résisté à l'appel du quarterback. Non content d'avoir renforcé la défense en début de soirée, il a sacrifié un choix de 2e tour et un de 4e pour s'emparer de la place des Seahawks et drafter, in extremis, un passeur. L'heureux élu : Teddy Bridgewater.</span></i></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Teddy Bridgewater <b>–</b> Quarterback <b>–</b> 21 ans <b>–</b> Junior <b>–</b> Louisville Cardinals</b></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>Position dans la draft : 32e choix</b></span><br />
<b>Taille : </b>1,91m<br />
<b>Poids :</b> 93 kilos</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Stats en 2013 : </b>13 matches, 71% de passes complétées, 3970 yards, 31 touchdowns, 4 interceptions</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En bref </span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">A l'orée de la saison 2013, Teddy Bridgewater est LE quarterback. L'homme à suivre. Celui dont le nom retentira à coup sûr le premier le jour J. Neuf mois plus tard, au prix d'une dégringolade fulgurante, sa place au premier tour n'est même plus assurée. Après un Combine décevant et un Pro Day calamiteux, les observateurs réalisent soudain que ses mains sont trop petites. Pourtant cela ne l'a pas empêché de gagner et d'éblouir ces mêmes observateurs quelques mois plus tôt. Au terme d'une campagne de dénigrement nourrie, Bridgewater se retrouve dans l'incertitude. Après avoir tenté, en vain, de monter un échange avec les Eagles pour (peut-être?) mettre la main sur Johnny Football, les Vikings se replient sur le moins fantasque lanceur de Louisville. Celui que tout le monde déclarait NFL-ready en novembre. Une bonne affaire? Peut-être bien.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></b></span><br />
<a name='more'></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfxOT19cC5gDO8kaZjiJ_WNb_zX-_FoThB9B5KQci7xHIFADlreW7C2XS6g9O8DlDEVYtWORR5WPe11yMb6DY6wRYYwiHi_JSqFv3ogmixQ5sZGOCFFEOHaHSJqR_TClZ9H_pKcNxwpLE/s1600/teddy-bridgewater-louisville-Big-East-ACC-2012.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfxOT19cC5gDO8kaZjiJ_WNb_zX-_FoThB9B5KQci7xHIFADlreW7C2XS6g9O8DlDEVYtWORR5WPe11yMb6DY6wRYYwiHi_JSqFv3ogmixQ5sZGOCFFEOHaHSJqR_TClZ9H_pKcNxwpLE/s1600/teddy-bridgewater-louisville-Big-East-ACC-2012.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Il est grand, il est solide, mais il est fin</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le plus </span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Athlète longiligne, il possède une taille idéale. Il encaisse les blitz comme personne, faisant preuve d’une
précision et d’une robustesse remarquables. Les yeux rivés sur le
terrain, il gère parfaitement la pression dans la poche et induit les
défenses en erreur. Son jeu de jambes et ses feintes le rendent
imprévisible et lui permettent de semer le doute chez les défenseurs.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">
</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Équilibrée et précise, sa mécanique de lancer lui permet de placer le
ballon où il le souhaite avec beaucoup de toucher. Incroyablement
précis, il peut distribuer des passes millimétrées aux quatre coins du
terrain. Demandez à Brandon Marshall. Le receveur des Bears, qui s'est entraîné avec Bridgewater, est tombé sous le charme de sa précision et de son timing. Tout simplement. S’il est loin d’être une double menace, il possède tout de même
suffisamment de mobilité et de vivacité pour s’extraire de la poche et
faire avancer le cuir quand la pression se fait trop forte. Il est par
ailleurs extrêmement habile sur les passes en mouvement.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Au-delà de ses qualités physiques, Bridgewater est surtout incroyablement intelligent. À ce petit jeu-là, rares sont ceux qui peuvent rivaliser. À tel point qu'il lui arrivait fréquemment d'appeler lui-même les jeux sur la ligne de scrimmage dans le Kentucky. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Capable d'effectuer plusieurs lectures de jeu sur une même action, il ne reste pas désespérément fixé sur sa première option. Contrairement à un certain Christian Ponder. </span>Son QI football et sa compréhension de schémas tactiques complexes font de lui le candidat rêvé pour bien des coordinateurs offensifs. De quoi combler ce cher Norv Turner. Appliqué et impliqué sur le terrain, il est irréprochable en dehors. Si, si ça existe. Cerise sur le gâteau, il a évolué au sein d'une attaque pro-style. Mieux encore, pas de spread offense ou d'attaque pléthorique, bourrée de talent à tous les étages, pour quelque peu brouiller les cartes. Non, son succès et ses performances, Bridgewater les doit en grand partie à lui-même. Et à lui seul. </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le moins </span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le hic, c’est que malgré des prestations remarquées lors du Sugar Bowl
2012 face aux Gators et du Russell Athletic Bowl 2013 contre Miami,
Bridgewater n’a jamais été réellement mis à l’épreuve par les tendres défenses de l’AAC. Par ailleurs, malgré ses 93 kilos sur la balance, il est étonnamment fluet et même s'il encaisse les chocs remarquablement bien, il pourrait bien voir des étoiles tournoyer au-dessus de sa tête dans la NFL. Ses chevilles et poignets n'ont pas été épargnés au cours de sa carrière
universitaire; quant à ses mains, elles sont trop petites. Résultat : sa précision et son toucher sur les lancés longue distance sont très largement perfectibles, la faute à une prise incertaine sur le cuir. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les passes profondes, parlons-en. C'est un autre de ses points faibles. La plupart de ses lancers, il les réalise sur des tracés courts ou intermédiaires sur lesquels il excelle, mais sa précision et sa puissance sur les longues passes laissent à désirer. Autre hic, et pas des moindres, le froid et le vent peuvent perturber son jeu et ses repères. Il devra rapidement y remédier s'il espère briller dans le froid polaire du TCF Bank stadium en plein hiver.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le verdict</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br />Il nous fallait impérativement un quarterback. C'est chose faite. Au nez et à la barbe des Texans qui plus est. Et avec la possibilité de lever l'option sur la cinquième année de son contrat de rookie. Malgré les déboires de Bridgewater ces derniers mois, il a su démontrer au cours de sa carrière universitaire qu'il était un gagnant. Et Mike Zimmer ne s'en est pas caché, c'est qu'il aime avant tout chez l'ancien Cardinal.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dans une cuvée 2014 qui ne brille pas vraiment par le talent de ses passeurs, Bridgewater n'est pas un joueur parfait, mais un bon joueur tout de même. S'il n'a pas de véritable point fort, ses défauts sont tout aussi rares. Il est un lanceur plutôt complet, bénéficiant de solides acquis et d'une marge de progression appréciable. Ses quelques faiblesses peuvent facilement être gommées au contact d'un coordinateur tel que Norv Turner. Son bras n'est pas d'une puissance démentielle, mais sa précision chirurgicale sur les courtes distances devrait faire la joie de Greg Jennings, Cordarrelle Patterson, Kyle Rudolph et compagnie. Des profils complémentaires qui devraient permettre à l'alchimie de prendre très rapidement.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Compétiteur né, leader respecté, son sérieux, son éthique de travail, son amour du football et son bras précis font de lui une valeur sûre. Un bon footballeur. Aucun doute là-dessus. À bien des égards, l'entreprise de démolition dont il a été victime semblait excessive. Au final, en plus de l'avoir fait descendre, cela pourrait bien avoir décuplé sa motivation. Les Vikings ont leur quarterback du futur. Espérons juste que ce futur soit long et pavé de succès.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La note : A </span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/jXtbMXrNVhQ" width="600"></iframe>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-89578541871528622342014-05-08T23:36:00.002-04:002014-05-09T14:33:09.277-04:00Draft 2014 // 1er tour : Anthony Barr [Vidéo]<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><b>9e choix : le diamant brut</b></span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQn9-VOYxZv-7HbC6-602RAnNsFVhUEx3J06aaoeppyRvN7Wg16_GasVPdb8zT0ynDub7VvjxCHG8SuI_dnpyGBCCqWeBjuxiPw6tWkfMbDPJav3rr6bpXolxITBSWR2-jy8YoysNRK64/s1600/0ap1000000217519.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQn9-VOYxZv-7HbC6-602RAnNsFVhUEx3J06aaoeppyRvN7Wg16_GasVPdb8zT0ynDub7VvjxCHG8SuI_dnpyGBCCqWeBjuxiPw6tWkfMbDPJav3rr6bpXolxITBSWR2-jy8YoysNRK64/s1600/0ap1000000217519.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Helvetica Neue",Arial,Helvetica,sans-serif;">En véritable prédateur, Anthony Barr guette sa proie</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Visiblement peu convaincus par la cuvée de quarterback millésime 2014, difficile de leur donner tort, les Vikings on préféré consolider la défense. Bien leur en a pris. Cornerback, safety, linebacker. Les scénarios étaient multiples, ils ont finalement opté pour un linebacker au profil de pass rusher. </i><i>De la vitesse et du physique. Mike Zimmer souhaite imprimer sa patte dans sa nouvelle défense. Pourquoi pas. Il avait beau être attendu dans le top 10, ce choix laisse un peu perplexe.</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span>
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Anthony Barr – Outside Linebacker – 22 ans – Senior – UCLA Bruins</b></span></span><br />
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Position dans la draft : 9e choix </b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Taille : </b>1,96 m </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Poids : </b>116 kilos </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Vitesse :</b> 4.44 au 40-yard dash lors du pro day de UCLA </span></div>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Stats en carrière :</b> 27 matchs, 148 plaquages dont 41.5 pour perte, 23.5 sacks, 9 fumbles forcés, 6 pass défendues</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Récompenses </b>: Consensus All-American (2013); First-Team All-Pac-12 (2012, 2013); 2013 Lott IMPACT Award winner; Finalist des trophées Lombardi, Bednarik et Butku. </span><br />
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>En bref</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Fullback au cours de ses deux premières saisons en Californie, Anthony Barr n'a pas vraiment fait d'étincelles. Reconverti en linebacker pas Jim Mora, il s'est mué All-American et a engrangé 23,5 sacks lors de ses deux dernières années à UCLA. Mieux encore, en 2013 il a été honoré du Lott Trophy, décerné au meilleur défenseur du pays. Un CV bien garni et plutôt séduisant. Il lui a fallu deux petites saisons pour se hisser parmi les tout meilleurs linebacker. Un poste auquel il n'avait jamais évolué auparavant. Son attention a été phénoménale. <b> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<a name='more'></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Les plus</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Plus qu'un footballeur, Anthony Barr est un athlète remarquable. Une bête physique de 116 kilos, grand, doté de long bras et étonnamment rapide. En tout juste deux saisons, il a développé un instinct de pass rusher dévastateur. De quoi se demander ce qu'il fabriquait tout ce temps à jouer les porteurs de ballons. Véritable prédateur, il dévore les quarterbacks tel un Texan à un concours de hot-dogs. Parlez-en à Matt Barkley, il a précipité la fin de sa carrière universitaire sur un sack ravageur dont il a le secret. Explosif sur le snap et extrêmement vif en débordement, il se déplace latéralement avec une facilité déconcertante. Il change de direction en un éclair, avec fluidité et grâce, et possède quelques bons mouvements pour prendre à défaut les linemen et fondre sur les quarterbacks en un quart de seconde.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Machine à sacks, il n'est pas non plus avare en plaquages. Rapide et lucide en terrain ouvert, le semer relève du défi. Ses qualités de pénétrations et sa vitesse lui permettent de faire des ravages derrière la ligne de scrimmage. Il plaque avec fureur et provoque de nombreux turnovers. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUevSwcUrjqYomC1clwz6xIRsFAiOL752ha3pzGYauWIXpwFduw5XO8qgYYsVFLE2B_5xQQktZWfrJ1gFUHaZQFxiCL77V8qrl5c1OkC4zkMmy5gWPMxJ73VXIZIxgvcgx-beoCpCUDIQ/s1600/Anthony-Barr.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUevSwcUrjqYomC1clwz6xIRsFAiOL752ha3pzGYauWIXpwFduw5XO8qgYYsVFLE2B_5xQQktZWfrJ1gFUHaZQFxiCL77V8qrl5c1OkC4zkMmy5gWPMxJ73VXIZIxgvcgx-beoCpCUDIQ/s1600/Anthony-Barr.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Put your hands up in the air!</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Les moins</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Mais, car il y a un mais, Barr demeure un joueur brut. Un produit inachevé. De quoi rendre sceptique. Malgré des qualités athlétiques éblouissantes, sa technique laisse à désirer à bien des égards. De même que sa puissance. Conséquence? Face a des bloqueurs massifs ou sur des prises à deux, il se retrouve facilement verrouillé. Il se sert maladroitement de ses mains et se faciliterait la tâche en les plaçant et les utilisant mieux. Son arsenal de mouvements aussi gagnerait à s'étoffer.</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Anthony Barr est l'archétype de l'outside linebacker dans une défense 3-4. Le problème, c'est que les Vikings évoluent en 4-3... Par manque d'expérience, il fait parfois preuve de naïveté et d'un manque d'instinct.</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Le verdict</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En sélectionnant un linebacker <i>pass rusher</i>, les Vikings ont fait l'impasse sur un CJ Mosley, joueur plus complet et véritable vigie au cœur de la défense. De quoi laisser des regrets. Néanmoins, ils ont comblé le vide laissé par Jared Allen. Avec<span style="font-size: small;"> un nouveau coach, fin stratège défensif, difficile de savoir quel sera le schéma des Violets en défense et quel sera le rôle précis de Barr.</span><span style="font-size: small;"> Situationnal pass rusher? Linebacker à part entière? </span><span style="font-size: small;">Il pourrait être utilisé à toutes les sauces. Son arrivée pourrait contraindre le vieillissant Chad Greenway à migrer au milieu, voire côté faible, de la ligne de linebackers. Mike Zimmer pourrait assigner à Barr le même rôle qu'il avait attribué à James Harrison du côté de Cincinnati l'an dernier. L'ancienne tête pensante des Bengals aime intégrer des linebackers pass rushers dans ses schémas défensifs. Habituée à jouer sur la ligne avec les Bruins, il devra s'habituer à endosser le rôle de linebacker plus traditionnel tout en offrant la possibilité d'apporter de l'originalité aux différents blitz et jeux en défense. Avec deux defensive end puissants, deux defensive tackles perforants et un linebacker affamé de quarterbacks, Zimmer a de quoi s'amuser.</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;">Les Vikings ont mis la main sur un joueur bourré de talent, excellent pass rusher, capable de se balader aux quatre coins du terrain. Le problème, c'est qu'il faudra probablement une ou deux années pour que celui-ci s'acclimate pleinement à son nouveau rôle et achève son apprentissage. Et c'est là que le bât blesse. Les Vikings ne peuvent pas attendre. Néanmoins Barr à démontré qu'il pouvait apprendre vite et bien. Et difficile de trouver meilleur professeur que Mike Zimmer.</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;">Athlète complet à la technique très largement perfectible, son potentiel est immense. A la mesure du point d'interrogation qui l'accompagne. Visiblement, Mike Zimmer a été séduit non seulement par le potentiel de Barr, mais aussi </span></span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">par son mental, sa personnalité et son intelligence de jeu. Faisons-lui confiance. Après tout, c'est lui l'expert. Mais en draftant aussi haut un diamant qui demande encore à être poli, les Vikings lui ont mis énormément de pression sur les épaules. Les attentes seront élevées et la marche haute pour Anthony Barr cette saison.</span></div>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>La note : B</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/kurzXFXLZbE" width="600"></iframe>
</span></div>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-37655631014360232282014-05-02T02:18:00.000-04:002014-05-02T02:41:19.732-04:00Les 5 meilleurs choix de 1er tour de l'histoire des Vikings<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-size: large;">Vikings Draft // Top 5 [Vidéos]</span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7J9xFLvCRvwY1f-HQNqB9Mg4P4n4tsUZ-NGCG8kwIVX81b5R5nduXHqxZQDyyv422-HixM12p7-dTJt79lJSRAS5QpAdTZFxDcWAw9v3FYyyy6JlT1h2-v_6CODxReLkDLCcSQ9nzWuU/s1600/NS_26Moss2PTConvert.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7J9xFLvCRvwY1f-HQNqB9Mg4P4n4tsUZ-NGCG8kwIVX81b5R5nduXHqxZQDyyv422-HixM12p7-dTJt79lJSRAS5QpAdTZFxDcWAw9v3FYyyy6JlT1h2-v_6CODxReLkDLCcSQ9nzWuU/s1600/NS_26Moss2PTConvert.JPG" height="420" width="640" /></a></span></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">En 1998, il martyrise les Cowboys à lui tout seul</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><i>Alors que la draft
se profile à l'horizon et que le suspense persiste quant à la façon dont
les Vikings vont utiliser leur 8e choix général, faisons un retour dans
le passé sur le pire et le meilleur des choix de premier tour de
l'histoire de la franchise. Après le pire, place au meilleur.</i></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">5. Chris Doleman - DE - Pittsburgh - 4e choix en 1985</span></span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><i>Stats et d</i></span></span></span></span></span></span></span></i></span></span></span></span></span></span></span></span><i>istinctions en carrière avec les Vikings </i>:<b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"> </span></span></b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">154 matchs, 96,5 sacks, 5 interceptions et deux touchdowns. 6 Pro Bowls, triple All-Pro, NFL 1990s All-Decade Team, Hall of Famer.</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Avant qu'un certain Jared Allen ne passe par là, Chris Doleman était la référence en matière de sacks dans le Minnesota. Outside linebacker reconverti en defensive end, une idée de génie, le produit des Pittsburgh Panthers s'est mué en véritable machine à sacks. Inarrêtable. Inépuisable. Un calvaire pour les bloqueurs. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. </span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Après un début de carrière au ralenti et seulement 3,5 sacks en deux saisons, replacé à l'extrémité de la ligne défensive, il se jette à corps perdu dans la chasse aux passeurs. Et il le fait à merveille. Multipliant les saisons à plus de 10 sacks. Au somment de son art, il enregistre 21 sacks en 1989, record de franchise à l'époque. </span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/6vv8CE7QBu0" width="600"></iframe></span>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">En 1992, il est honoré du titre de défenseur de l'année au terme d'un exercice au cours duquel il accumule 14,5 sacks, 64 plaquages, 6 fumbles forcés, 3 recouverts et un pick-six. Des chiffres qui font rêver. Espérons que Everson Griffen et son gros contrat suivront l'exemple. </span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"></span></span></b></span><br />
<a name='more'></a><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">4. Alan Page - DT - Notre Dame - 15e choix en 1967</span></span></span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><i>Stats et distinctions en carrière </i>: 173 sacks, 28 blocks et 23 fumbles recouverts. 9 Pro Bowls, sextuple All-Pro, quadruple champion de la NFC, DPOY en 1970 et 1973, MVP en 1971.</span></span></span></span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Jim Marshall, Carl Eller, </span></span></span></span></span></span></span></span></span><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Gary Larsen et </span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span>Alan Page. À eux quatre, ils forment l'une des lignes défensives les plus redoutées de l'histoire de la ligue. Dans les années fastes des Vikings, les <i>"Purple People Eaters"</i>, comme on les appelle, emportent tout sur leur passage. Clé de voute d'une défense qui emmènera la franchise jusqu'au Super Bowl à quatre reprises, Alan Page n'a pas tardé à être introduit au Hall of Fame une fois les crampons mis au placard.<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Drafté en 15e position en 1967, il n'est pourtant pas le premier joueur sélectionné par les Vikings cette année-là. Comme en 2013, les Violets recrutent non pas un, ni deux, mais trois joueurs au premier tour. Des choix notamment hérités du transfert de Monsieur Fran Tarkenton vers les New York Giants. Malgré des carrières honorables, Gene Washington et Clinton Jones, tous deux en provenance de Michigan State, ne marqueront pas l'histoire de la franchise, eux.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Intelligent, travailleur, rapide, vif. Alan Page a accumulé des statistiques incroyables au cours de sa longue carrière, faisant preuve d'une longévité et d'une régularité remarquables. Joueur agressif, avec une philosophie de jeu bien particulière, il a mené la vie dure aux quarterbacks de la ligue. Une vieille tradition du côté du Minnesota.</span><br />
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>"Un défenseur doit se voir davantage comme un agresseur qu'un protecteur"</i> - Alan Page</span></blockquote>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></span></span></span></span></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/jsOAJiIQ6Bc" width="600"></iframe>
<span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></span></span></span></span></span></span>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Defensive
tackle vorace, dévoreur de quarterbacks, il est le premier joueur
défensif à recevoir le titre de MVP. Seule l'icône des Giants Lawrence
Taylor parviendra à l'imiter. Élu à deux reprises joueur défensif de
l'année, il a décroché son billet pour le Pro Bowl neuf saisons
d'affilée.</span></span></span></span></span></span></span></span><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"> Figure emblématique de la franchise des 1000 lacs, son numéro 88 a été retiré. Un moindre mal pour le meilleur defensive tackle de l'histoire de la ligue. John Randle, Pat & Kevin Williams lui ont dignement succédé. Au tour de Sharrif Floyd et Linval Joseph de reprendre le flambeau.</span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-lzy_tanRiZeFQrLcvcHbbaV4Q7CLFjwGGMCTEnFnZmRpu5nK3RsR6ATgXvsrVS2yOFVBp91PIi9_rxKnGX5p0c3jiIFeQjt0pu2Hhp_d1N08S_reQVkNU_igewga47gC4r1_xzNyzPo/s1600/randall-mcdaniel1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-lzy_tanRiZeFQrLcvcHbbaV4Q7CLFjwGGMCTEnFnZmRpu5nK3RsR6ATgXvsrVS2yOFVBp91PIi9_rxKnGX5p0c3jiIFeQjt0pu2Hhp_d1N08S_reQVkNU_igewga47gC4r1_xzNyzPo/s1600/randall-mcdaniel1.jpg" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">"Vous ne passerez pas!"</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">3. </span></span></b></span><span style="font-size: small;"><b><span style="color: orange;">Randall McDaniel - G - Arizona State - 19e choix en 1988</span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><i>Distinctions en carrière avec les Vikings </i>: 190 matchs, 12 Pro Bowls, 9 fois All-Pro, NFL 1990s All-Decade Team</span></span></span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Drafter un lineman offensif au premier tour est souvent une valeur sûre, l'assurance de ne pas faire d'erreur de casting. Mais ça n'est pas non plus la meilleure façon de soulever l'enthousiasme des fans. À condition que celui-ci se mue en un joueur du calibre de Randall McDaniel.</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Longévité et régularité. Difficile de mieux résumer son incroyable carrière. À l'une des positions les moins sexy de la ligue, le mastodonte en provenance du désert de l'Arizona a su s'imposer comme l'un des tous meilleurs de l'histoire. Et il n'a pas attendu longtemps pour se faire un nom. Dès sa première saison en 1989, il est estampillé pro bowler. Une étiquette qui lui collera à la peau jusqu'en 2000. Sous les couleurs des Vikings, ce sont pas moins de 12 Pro Bowls que McDaniel va enchaîner. Seuls Champ Bailey et Will Shields ont participé autant de fois à l'événement. </span></span></span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">1,91 m et 130 kilos de muscles, large protection autour de la nuque, visière fumée, sur le terrain Randall McDaniel est terrifiant. Véritable montagne infranchissable, rares sont les left guards à avoir autant dominé le jeu que lui. Dans son sillage, aussi bien à Minneapolis qu'à Tampa, où il a fini sa carrière, ce sont pas moins de six running backs différents qui ont couru plus de 1000 yards et cinq passeurs lancé plus de 3000 yards.<a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2014/02/les-vikings-de-1998-la-grande.html"> En 1998, année de rêve conclue sur un cauchemar</a>, il ne concède que 1,5 sacks. Emmenée par Randall McDaniel, la ligne offensive permet à Robert Smith et Leroy Hoard de parcourir en moyenne 5,6 yards par course. </span></span></span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">En
grand collectionneur, il a également multiplié les apparitions dans
l'équipe All-Pro (9) ou encore l'équipe type de la NFC (10).</span></span></span></span></span></span></span></span> C'est sans surprise qu'il a rejoint le Hall of Fame en 2009. Même à 49 ans, il serait certainement meilleur que Charlie Johnson pour verrouiller le côté gauche de la ligne offensive. </div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"> </span></span></span></span></span></span></span></span><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"> </span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">2. Randy Moss - WR - Marshall - 21e choix en 1998</span></span></span></span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><i>Stats distinctions en carrière avec les Vikings </i>: 113 matchs, 587 réceptions, 9316 yards et 92 touchdowns. ROY en 1998, 5 Pro Bowls, triple All-Pro, NFL 2000s All-Decade Team.</span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Lorsqu'ils sélectionnent Randy Moss en 21e position en 1998, les Vikings ne doivent pas en croire leurs yeux. Bien des franchises ont dû avoir la même réaction après avoir vu le rookie éclabousser la ligue de son talent durant toute la saison. Comment avoir pu laisser filer un joyau pareil. L'explication doit se trouver dans ses autres exploits, ceux en dehors du terrain, qui ont certainement refroidi les ardeurs de plus d'une équipe. Une aubaine pour les Violets, un crève-cœur pour leurs rivaux. Savant cocktail talent, de vitesse, d'habileté, de concentration, d'exubérance, Randy Moss est un joueur à part. Explosif. Fantasque. Imprévisible. Sûr de lui. Pour le meilleur et pour le pire.</span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Dès son premier match, Moss donne le ton. Deux touchdowns longue distance contre les Bucs. Les défenseurs n'ont pas fini d'entendre parler du phénomène. Les Packers doivent encore en faire des cauchemars. En deux confrontations face à Green Bay il engrange 343 yards et 3 touchdowns. Le jour de Thanksgiving, il fait vivre un supplice au secondary de Dallas. Bilan du carnage : 3 réceptions, 163 yards et 3 touchdowns. La semaine suivante il récidive en atteignant trois fois la terre promise contre Chicago. Randy Moss conclut sa saison record avec 69 réceptions, 1313 yards et 17 touchdowns (un record).</span></span></span></span></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></span></span></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/-aM0BIP0uzc" width="600"></iframe>
<span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></span></span></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></span></span></span></span>La suite n'est pas vraiment différente. Cinq nouvelles saisons à plus de 1000 yards, cinq autres à plus de 10 touchdowns. Qu'il arbore des cheveux courts, des dreads ou son inimitable touffe, les défenses ne savent pas comment l'arrêter. Des performances stratosphériques semaine après semaine, saison après saison. Ajoutez-y une pleine lune un soir de <i>Monday Night </i>au Lambeau Field et vous obtenez l'un des joueurs les plus aimés de l'histoire de la franchise. Véritable icône des Vikings du début des années 2000.<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une histoire d'amour achevée brutalement. Après un début de saison tonitruant et 8 touchdowns à la clé en 2004, Randy Moss se blesse au talon d'Achille face aux Saints. La semaine suivante, il est sevré de ballon pour la première fois de sa carrière face aux Titans. Rebelote le dimanche suivant contre les Giants. Préservé au cours des trois semaines qui suivent, il rate la barre des 1000 yards pour la toute première fois.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le 2 mars, il est envoyé à Oakland. Un échange grâce auquel les Vikings drafteront Troy Williams, un joueur dont la médiocrité n'avait d'égal que le talent de Randy Moss. Un beau gâchis. Une page se tourne pour les Vikings. Le #84 s'est envolé vers d'autres cieux. Les retrouvailles ratées de 2010 sonneront définitivement la fin de l’idylle. Un autre #84 pourrait rapidement remplacer Moss dans le cœur des fans. Un certain Cordarrelle Patterson. </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/RA4UCEWvyXo" width="600"></iframe>
<b><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><span style="font-size: small;"><b>1. Adrian Peterson - RB - Oklahoma - 8e choix en 2007</b></span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><i>Stats distinctions en carrière avec les Vikings </i>:</span></span></span></span></span></span></span> 103 matchs, 2033 courses, 10115 yards, 5 yards par course, 86 touchdowns. 6 Pro Bowls, MVP 2012, triple All-Pro, ROY 2007 et recordman de yards en une rencontre (296 en 2007 contre les Chargers).<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Rarement un joueur des Vikings n'aura été aussi emblématique. À seulement 29 ans, Adrian Peterson est déjà l'image de la franchise. Et s'il fait le bonheur des fans du Minnesota depuis 2007, on le doit en grande partie à son passif de blessures à Oklahoma qui l'a légèrement fait glisser. Après un certain Jamarcus Russell, pour ne citer que lui... Et à l'image de Randy Moss, il ne va pas tarder à combler les Violets. </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dès sa première sortie, il franchit la barre des 100 yards et lâche les chevaux sur un déboulé de 60 yards jusqu'en terre promise sur une courte passe de Tarvaris Jackson. Les trois semaines suivantes, il éclipse à nouveau les 100 yards. Et ça n'est que le début du show. Le déjà fameux <i>"he's loose"</i> du commentateur Paul Allen est en train de devenir un tube. Et il n'est pas près de se démoder. Bien reposé après le bye week, il écrabouille la défense des Bears. 224 yards et trois touchdowns, le bilan est lourd. La foudre vient de frapper pour la première fois. Et elle va de nouveau frapper, trois semaines plus tard, contre les Chargers.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/8qreoW0YdoY" width="600"></iframe>
<span style="font-size: small;"> </span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;">296 yards. Pour un petit yard, Peterson éclipse l'ancienne référence de Jamal Lewis. Au terme d'une rencontre débridée et historique à plus d'un titre les Vikings l'emportent grâce au récital de leur coureur. À coup de courses tout en puissance et en détermination, en changements de direction et en explosivité, il a raison de la défense des Chargers. Sans un plaquage illicite au niveau du col, il aurait très probablement franchi la barre des 300 yards. <i>Woulda coulda shoulda</i>. </span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;">Même face à l'attaque unidimensionnelle des Vikings, la saison 2009 mise à part, les défenses sont impuissantes. Rien n'arrête All Day qui continue d'avaler les yards à vitesse grand V saison après saison. Même une double rupture des ligaments croisés ne l'arrête pas. Véritable extraterrestre, il revient même plus fort que jamais et martyrise les défenses dans une saison record. Ou presque.</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/m_VVvfLMK6s" width="600"></iframe>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/OQaJgbChLEY" width="600"></iframe>
<span style="font-size: small;"><br /></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;">Le genou en compote à Noël 2011, les chances de voir Adrian Peterson débuter la saison semblaient maigres. C'est mal connaître le bonhomme. En semaine 1, face aux Jaguars, il est bien là. Après six bonnes semaines, il enclenche le mode surhomme. 153 yards contre Arizona, 123 contre Tampa, 182 à Seattle, les yards s’accumulent à pleine vitesse, 171 contre Detroit, 108 à Chicago, 210 à Green Bay, les compteurs s'affolent, 154, 212, 86 à Houston, baisse de régime? Non. La semaine suivante, en conclusion de la saison régulière et avec les playoffs et un record en ligne de mire, il ravage la défense des Packers et termine avec 199 yards. Le ticket pour la <i>postseason </i>en poche, mais à 9 petits yards du record mythique d'Eric Dickerson. </span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;">La saison dernière, bien des observateurs ont beau clamer que Peterson est en nette perte de vitesse, il signe sa sixième saison à plus de 1200 yards et 10 touchdowns. Avec un passif de blessures lourd à l'université, AP était un joueur à risque. Un risque payant. En sept saisons dans la NFL, les défenses n'ont toujours pas trouvé comment l'arrêter. Et elles n'y parviendront probablement jamais. Le record d'Emmitt Smith pourrait avoir chaud aux fesses. Peterson s'est mis en tête de le battre. Et lorsque l'on connaît la détermination du coureur, tout semble possible.</span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><span style="font-size: small;"><b>Il rate le cut de peu : </b></span></span><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Kevin Williams, 9e choix en 2003 et membre éminent du Williams Wall, il a été l'âme de la redoutable défense contre la course des Violets pendant de nombreuses années. Pourtant ce premier tour aurait pu tourner au fiasco après que les Vikings, en pleines tractations pour un éventuel <i>trade down</i>, aient laissé filer l'horloge et vu les Jaguars et Panthers leur filer devant. Plus de peur que de mal au final.</span></span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/DwcuzAPHQ90" width="600"></iframe>
<br />
<span style="font-size: small;"><b><span style="color: orange;"> </span></b></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: small;"><b><span style="color: orange;">Mentions honorables :</span> </b>Percy Harvin (2009), Joey Browner (1983), Ron Yary (1968), Chuck Foreman (1973), Robert Smith (1993, les Vikings savent aussi drafter des bons RBs au 1er tour), Car Eller (1964), Chad Greenway (2006) et Daunte Culpepper (1999).<i> </i></span><b><span style="font-size: large;"><br /></span></b></span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-43981404688417797402014-05-01T02:42:00.000-04:002014-05-04T15:34:57.683-04:00Les 5 pires choix de 1er tour de l'histoire des Vikings<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="font-size: large;">Vikings Draft // Top 5 [Vidéos]</span></b></span></span><br />
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbweqxnv8OEXhOohxsIGBUZDi7xnNfNohfa99EdaB51OSHI7TbChyphenhyphenkziumBdJzcKAzZG3P7sWZC7LVeMCMqT7bMTbSSjsN9JKT8d5obVjD14-dyGylMorvbmGZlDjRMXBjdkaOu95XPgI/s1600/20130825__8-25+Candlestick+Park+2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbweqxnv8OEXhOohxsIGBUZDi7xnNfNohfa99EdaB51OSHI7TbChyphenhyphenkziumBdJzcKAzZG3P7sWZC7LVeMCMqT7bMTbSSjsN9JKT8d5obVjD14-dyGylMorvbmGZlDjRMXBjdkaOu95XPgI/s1600/20130825__8-25+Candlestick+Park+2.jpg" height="430" width="640" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Quand on est receveur, c'est embêtant de ne pas savoir attraper le ballon</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Alors que la draft se profile à l'horizon et que le suspense persiste quant à la façon dont les Vikings vont utiliser leur 8e choix général, faisons un retour dans le passé sur le pire et le meilleur des choix de premier tour de l'histoire de la franchise. Pour ouvrir le bal, place au pire.</i></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>5. Christian Ponder - QB - Florida State - 12e choix en 2011</b></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Stats en carrière avec les Vikings</i> : 36 match, 60.2%, 6436 yards, 38 touchdowns, 34 interceptions et 77.3 de rating</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Christian Ponder est la définition même du <i>reach</i>. Ce joueur dont on a besoin, mais que l'on sélectionne trop haut. Bien trop haut. Après la retraite de Brett Favre, les Vikings se devaient de trouver un quarterback d'avenir. Après que Cam Newton, Jake Locker et Blaine Gabbert (<i>bust</i> en puissance) se soient envolés, ils cèdent à la panique et jettent leur dévolu sur Ponder. Erreur de jugement.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Sensé patienter derrière Donovan McNabb durant sa première année, Ponder se retrouve rapidement dans la peau du titulaire après que le vétéran ait fait étalage de toute sa médiocrité. Ses débuts son cahoteux, mais il a l'excuse de la jeunesse. En 2012, il continue de souffler le chaud et le froid, mais profite de l'effet Adrian Peterson. La saison dernière, plus d'excuse. Avec l'expérience, une escouade de receveurs décente et un MVP à ses côtés, Ponder déçoit. Une fois de plus. Malgré quelques flashs, notamment grâce à de remarquables qualités athlétiques, il faut se rendre à l'évidence : il n'est pas l'avenir de la franchise. Trop d'erreurs de jugement, de mauvaises décisions dans les moments clés, d'interceptions évitables. Christian Ponder est un joueur passionné, appliqué, intelligent, attachant même, mais à qui il manque les armes nécessaires pour prendre en main la destinée d'une franchise.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En 2011, les Bengals draftent Andy Dalton 23 choix plus tard. Les 49ers sélectionnent Colin Kaepernick juste après. Preuve qu'avec un peu plus de patience et de flaire, le talent était là. Même au 2e tour. Rick Spielman n'a pas toujours eu le nez creux. Espérons qu'il ne rééditera pas la même erreur le 8 mai prochain.</span><br />
<a name='more'></a><br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7pWsxpsUkFY423uVLOK7Mgr-XfJNg9rkGK582Go_pkddoH-M8HU3cwfQoQuHHD3yQxFWqhP2VamBGkADcmMTf1uYKPXEvFlrNH1T32rL3yInyZ2Q_PoXu78a3_9iU_-lZl8wTsEkjuoA/s1600/95Derrick+Alexander3.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7pWsxpsUkFY423uVLOK7Mgr-XfJNg9rkGK582Go_pkddoH-M8HU3cwfQoQuHHD3yQxFWqhP2VamBGkADcmMTf1uYKPXEvFlrNH1T32rL3yInyZ2Q_PoXu78a3_9iU_-lZl8wTsEkjuoA/s1600/95Derrick+Alexander3.jpg" height="320" width="210" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dire que Warren Sapp était disponible...</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">4. Derrick Alexander - DE - Florid State - 11e choix en 1995</span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Stats en carrière avec les Vikings : </i>57 matchs, 17,5 sacks</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En 1995, les Vikings se mettent en quête d'un chasseur de quarterbacks. Besoin pressant, ils profitent du 1er tour pour combler ce manque. Mais, lorsque l'on drafte un pass rusher au premier tour, on s'attend à ce qu'il nous gratifie des stats à deux chiffres en matière de sacks année après année. Et à ce petit jeu, Derrick Alexander est bien loin du compte. En 4 saisons dans le Minnesota, il accumulera seulement 17,5 sacks. Maigre récolte. Bien insuffisante pour un 11e choix général.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Comme si son rendement ne suffisait pas à lui décerner le titre de <i>bust</i>, Alexander a été sélectionné un tour avant... Warren Sapp. Un monstre. Un mythe vivant. Un Hall of Famer. Rien que ça. Lui aussi a amassé 17,5 sacks. Seulement, il lui a suffi de deux saisons pour y parvenir. En 1997 et 1998, ses deux premières années dans la NFL. La faute à des suspicions (erronées) de contrôle positif, qui auraient refroidi les Vikings et les auraient décidés à faire l'impasse sur le defensive tackle. Les Buccaneers leur en seront éternellement reconnaissants. Pas nous.</span><br />
<br />
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">3. D.J. Dozier - RB - Penn State - 14e choix en 1987</span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Stats en carrière avec les Vikings</i> : 37 matchs, 643 yards, 7 touchdowns au sol et deux à la passe</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Adrian Peterson, Robert Smith, Chuck Foreman, Chester Taylor. L'histoire des Vikings est riche en coureurs de talent. Mais au milieu de ces grands noms, on en trouve d'autres, nettement moins glorieux. C'est le cas de D.J. Dozier. Le plus illustre de tous les "running <i>bust</i>" draftés par la franchise de Minneapolis. Et ils sont nombreux. Estampillé All-American en 1986, le coureur des Nittany Lions a conquis le cœur des Violets. Tellement, qu'ils grimpent de deux places pour le récupérer. Un amour à sens unique. Jamais Dozier ne répondra aux attentes placées en lui.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Sa première saison donne le ton du reste de sa carrière : 69 courses, 257 yards et 7 touchdowns au total. Loin de ce qu'on est en droit d'exiger d'un halfback sélectionné au 1er tour. Régulier, Dozier restera médiocre, pour ne pas dire nul, tout au long de sa courte carrière. </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">À sa décharge, la classe de 1987 est reconnue comme l'une des pires de l'histoire. Mais aussi mauvaise fût-elle, Dozier demeure bel et bien un <i>bust</i>. Après tout, il est la preuve de la nullité du millésime 87. Pour le remplacer, les Vikings monteront l'un des pires échanges de l'histoire afin d'acquérir Herschel Walker, en provenance de Dallas. De son côté, après un passage éclair à Detroit, D.J. Dozier ira s'essayer au baseball, chez les Mets. Sans grande réussite.</span><br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYP5q8sawWfYl_5zUUENU5U4NLs4E_5NalHz5PR-UhyphenhyphenSbXc15MV8CK5oXVHIH2m1PQv8rEczlzIx3Qe6YOQggHAOzoBZJ1bvqrWeD52ulCHe-4d5V2E42FryNnEcYtxYZ2xaiMFprDB68/s1600/a37ed73a0aea07167cddccc8ecd995a772d74905.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYP5q8sawWfYl_5zUUENU5U4NLs4E_5NalHz5PR-UhyphenhyphenSbXc15MV8CK5oXVHIH2m1PQv8rEczlzIx3Qe6YOQggHAOzoBZJ1bvqrWeD52ulCHe-4d5V2E42FryNnEcYtxYZ2xaiMFprDB68/s1600/a37ed73a0aea07167cddccc8ecd995a772d74905.jpg" height="320" width="223" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Underwood n'a jamais porté les couleurs des Vikings</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>2. Dimitrius Underwood - DE - Michigan State - 29e choix en 1999</b></span></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Stats en carrière avec les Vikings </i>: inexistantes</span></span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Comme si la défaite crève-cœur en finale de conférence face aux Falcons n'avait pas suffi, le premier tour de la draft 1999 s'est transformé en véritable fiasco. Ça n'aura pas été faute d'avoir été prévenus pourtant. Les coachs de Michigan State avaient tiré la sonnette d'alarme en avertissant les scouts NFL qu'en plus d'une blessure qui l'avait privé de saison en 1998, le peu d'implication manifesté par Dimitrius Inderwood faisait de lui un joueur à risque. Mais Dennis Allen pensait pouvoir y remédier. Grave erreur. Le defensive end était un cas désespéré. Et désespérant. </span><b><br /></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les Vikings le draftent tout de même. Le 1er août, il paraphe un contrat de 5 ans et 5,3 millions de dollars. Le lendemain, premier jour des camps d'été, il déserte. On ne le reverra plus jamais à Winter Park. Après qu'il ait déclaré ne pouvoir choisir entre sa carrière de footballeur et sa foi chrétienne, il est finalement coupé par la franchise.</span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après des passages à Miami et Dallas, il achèvera sa carrière avec 19 matchs et 4 sacks au compteur. Mais aucun avec les Vikings. La franchise qui l'avait drafté.</span><br />
<br />
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>1. Troy Williamson - WR - South Carolina - 7e choix en 2005</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>Stats en carrière avec les Vikings : </i>39 matchs, 79 réceptions, 1067 yards, trois touchdowns et 17 passes dropées</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En 2005, les Vikings ont la brillante idée de se séparer de Randy Moss et de l'envoyer à Oakland. En échange, ils reçoivent le 7e choix général. L'occasion de remplacer l'ancien receveur de Marshall. Profitant de leur bonne position, ils mettent la main sur le supersonique Troy Williamson, en provenance des South Carolina Gamecocks. 1,85m, 92 kilos, 4.32 au 40-yards dash, 10.35 sur 100m, de quoi séduire les Vikings. Le problème, c'est qu'en dehors de sa vitesse, c'est le néant.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En trois saisons dans
le Minnesota, Williamson a marqué autant de touchdowns que son illustre
prédécesseur lors de ses trois premiers matchs sous l'uniforme des
Violets. Pas vraiment digne de Randy Moss. Remplacer une machine à touchdowns par une machine à drops (ses stats ne sont pas représentatives de ses prouesses en la matière), c'est l'exploit réalisé par les Vikings. Car Troy Williams est ce genre de joueur, capable de déposer son vis-à-vis grâce à une accélération fulgurante et</span> des foulées interminables, de se retrouver seul derrière la défense avec la endzone en ligne de mire, de voir le ballon se diriger droit sur lui (touchdown assuré), mais d'ouvrir les bras en grand et de laisser filer le cuir. Lamentablement. C'est ça Troy Williamson. Un vrai désastre...</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/9WZNyYouzuk" width="600"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Multipliant des drops plus pathétiques les uns que les autres, Troy Williamson en vient même à accuser ses yeux. Il pousse le vice jusqu'à consulter un spécialiste. Rien y changera. Le receveur était tout simplement mauvais. Pas besoin d'aller chercher plus loin. </span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La même année et 20 choix plus tard, les Falcons sélectionnent Roddy White. Vincent Jackson, lui, doit attendre la fin du 2e tour pour entendre son nom. Bien après Troy Williamson, Mike Thomas et autre Matt Jones. Les Vikings auront appris qu'avoir un receveur rapide, c'est bien, mais en avoir un capable d'attraper le cuir, c'est mieux.</span><br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Petit florilège des meilleures actions de Troy Williamson, histoire de finir en beauté : </span><br />
<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/PInDbfGP5Ac" width="600"></iframe>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/81gpKrIicjU" width="600"></iframe>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> </span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> <b><span style="color: orange;"> </span></b></span><br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><span style="color: orange;">Mentions honorables :</span></b> Michael Bennett (le RB pas le DE, en 2001), Duane Clemons (1996), Rasmus James (2005, un grand cru décidément), Jack Snow (1965), Darrin Nelson (1977, encore un RB) et Leo Hayden (1971, tiens encore un RB).</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-44052040779369506172014-04-29T05:02:00.002-04:002014-07-04T01:32:00.168-04:00Minnesota Vikings 2014 // Épisode #1 - L'avant-draft <div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><b>Préparer l'avenir (Janvier - Avril)</b></span></span></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwQH2rl_4OYevsfsTO7CMgOhkt_TGpraaUrZ7efMN7sTfyXP75TKBNox6AWcH4YElp3LLIZXBMpWBoEK9ZMRPiCKR1wn87dJYXkGmCA2CxsUhNPLduOU8Egq29MvLTmXC00-SMKZ0EsRs/s1600/20140117__Zimmer+presser.jpg" height="380" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="640" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le nouveau head coach des Vikings a fière allure. Nan?</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><i>À moins de deux semaines de la draft, c'est l'occasion de revenir sur l'intersaison des Vikings et de se projeter vers le week-end du 8 mai. Free agency, draft, calendrier, nouveau stade. Tour d'horizon de l'actualité des Violets. </i><b> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange; font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>NETTOYAGE DE PRINTEMPS AVANT L'HEURE</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<span style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Commençons par le commencement. Avant de se plonger dans la free agency et de papoter de la draft à venir, il convient de rappeler que... nous avons un nouveau coach! Leslie Frazier a eu sa chance, il n'a pas su la saisir. Certains diront qu'il aurait mérité davantage de temps, ça n'était pas l'avis de Ziggy Wilf, le big boss de la franchise, qui a décidé de faire <i>tabula rasa</i>. </span></span><br />
<br />
<span style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Au lieu de débattre du passé, parlons de l'avenir et donc du nouveau head coach des Vikings : <b>Mike Zimmer</b>. Tête pensante de la défense des Bengals pendant 5 saisons, c'est son premier job à la tête d'une équipe de la ligue. Et il était temps. À l'image d'un Bruce Arians, il détient toutes les qualités et le charisme pour s'épanouir dans ce nouveau rôle. Et quoi de mieux qu'une franchise en reconstruction pour imprimer sa patte. </span></span><br />
<br />
<span style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Fin stratège défensif, il est reconnu pour sa capacité à rehausser le niveau des defensive backs. Ça tombe bien. À vrai dire, son arrivée est une bonne nouvelle pour l'ensemble de l'escouade défensive. Offensivement, c'est Norv Turner qui tiendra les rênes. Ce dernier est connu pour ses talents de développeur de jeunes quarterbacks. Là encore, bonne nouvelle! Il ne risque pas d'être déçu. </span></span><br />
<a name='more'></a><br />
<span style="color: orange; font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>FREE AGENCY : DISCRETS, MAIS MALINS</b></span></span><br />
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Traditionnellement discrets lors de la free agency, les dirigeants des Violets n'ont pas trahi leur réputation. Depuis son arrivée en tant que manager général, Rick Spielman a fait le pari de la jeunesse pour rebâtir une franchise en déliquescence. Après une petite folie l'an dernier et l'acquisition très médiatique de l'expérimenté et ancien Packer Greg Jennings, les Vikings ont repris leurs bonnes habitudes. Pas de précipitation. Ils n'ont pas été inactifs pour autant. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Une free agency très... défensive</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">C'est bien connu, le principal chantier de cette intersaison est la défense. Et difficile de ne pas s'en rendre compte au vu de la free agency. Malgré une relative discrétion et pas de véritable coup d'éclat, trois joueurs méritent qu'on s'attarde sur leurs cas. Trois défenseurs qui pourraient rapidement trouver leur place dans une escouade véritable talon d'Achille de la franchise du Minnesota. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Linval Joseph - DT - 25 ans (5 ans, $31.5M; dont $12.5M garantis)</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">C'est la star du recrutement des Vikings. Kevin Williams sur le départ et dans une ligue où les pass rushers intérieurs se font rares, Linval Joseph est une véritable bénédiction. Surtout lorsque l'on doit affronter Aaron Rodgers, Jay Cutler et Matthew Stafford deux fois par an. <b><br /></b></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /></b></span>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/wDqSVsSC88A" width="560"></iframe></span> </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Du haut de son mètre 93 et fort de ses 147 kilos, Joseph est une véritable montagne. Run stopper efficace et pass rusher étonnamment vif compte tenu de ses mensurations, il risque de rapidement devenir le meilleur ami des quartebacks de la NFC Nord. </span><br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le duo qu'il formera avec Sharrif Floyd pourrait bien faire oublier le Williams Wall. Enfin, façon de parler.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Captain Munnerlyn - CB - 26 ans (3 ans, $14.25M; dont $7M garantis)</b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">On garde la même recette : de la jeunesse et du talent, le tout à moindre coût. Les Vikings manient à merveille le concept du rapport qualité/prix. Après que les cornerbacks vedettes se soient envolés à prix d'or, Munnerlyn faisait office de meilleure option. Et au final il ressemble en effet à une excellente affaire.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Malgré le très très très (j'insiste) très prometteur Xavier Rhodes, le secondary des Vikings ressemblait à un champ de ruine l'année dernière. Et la blessure d'Harrison Smith n'a rien arrangé. Avec l'arrivée de Munnerlyn, sur un nuage avec les Panthers la saison dernière, l'arrière-garde violette devient tout de suite plus rassurante.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Jouera-t-il à l'opposé de Rhodes ou dans le slot? Mystère. Sa venue ne signifie pas non plus que les Vikings ne profiteront pas des deux premiers jours de la draft pour recruter un cornerback. Mais peut-être préféreront-ils combler le besoin au poste de safety en priorité. Réponse le 8 ou 9 mai.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Corey Wootton </b><b>- DE - 26 ans (1 an, $1.5M) </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Échange de bon procédés. Les Bears nous chipent Jared Allen (traître!), les Vikings récupèrent Wootton. Ce que l'on perd en qualité, on le gagne en âge. À seulement 26 ans et avec un contrat d'une saison avec tout à prouver, Wootton est un pari sans trop de risque. Le genre de coup qui vous fait passer pour un génie s'il porte ses fruits, ou que l'on oublie, sans trop vous en vouloir, dans le cas contraire.</span><br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après une bonne saison en 2012 et 7 sacks à la clé, le defensive end des Bears n'a pas particulièrement brillé l'an passé. La faute à une blessure à la hanche. S'il n'est pas Jared Allen, il vient tout de même apporter de la profondeur. S'il veut décrocher un gros contrat l'été prochain, il devra se montrer cette saison. Une bonne source de motivation. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Et puis peu importe, voler un joueur à un rival de division procure toujours une sorte de petit plaisir pervers. Un petit plaisir qui pourrait devenir jouissif si d'aventure Wootton venait à sacker Jay Cutler. J'en frétille d'avance.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Les autres arrivées notables : Derek Cox</b> (CB, ancien Charger), <b>Tom Johnson</b> (DT, ancien Saint) et <b>Kurt Coleman</b> (S, ancien Eagle).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
</div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNqaqn56OflQC2S5iSQNDQd7t-Ct31YK3cacSt6bhM944IpL88vRS9GbNZuQfA7aD3Pn-hyBWzuOwZs4nP5PQTHqE4_PDjMEy6ce4hjAsCLxK8o2D1BUzX8XkjSPvCAdDUIPMkdvarXJA/s1600/everson_griffen.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNqaqn56OflQC2S5iSQNDQd7t-Ct31YK3cacSt6bhM944IpL88vRS9GbNZuQfA7aD3Pn-hyBWzuOwZs4nP5PQTHqE4_PDjMEy6ce4hjAsCLxK8o2D1BUzX8XkjSPvCAdDUIPMkdvarXJA/s1600/everson_griffen.jpg" height="320" width="222" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Everson Griffen sera très attendu en 2014</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Un (trop?) gros chèque et quelques prolongations</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">S'ils n'ont pas fait péter le portefeuille pour faire venir de grands noms, ils n'ont pas hésité à aligner les zéros pour conserver <b>Everson Griffen</b> (5 ans, $42.5M; dont $20M garantis). Peut-être à tort. Si le talent du defensive end ne fait aucun doute, il a encore tout à prouver. Ce genre de montants n'est pas sans rappeler le contrat de John Carlson il y a deux ans... Pas le meilleur des souvenirs.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Jusqu'ici, Griffen n'a débuté qu'un seul tout petit match dans sa carrière. UN SEUL. Voilà pourquoi les termes du contrat ont de quoi laisser perplexe. Reste à espérer que les flashs aperçus se concrétisent et que la saison 2014 soit connue comme celle où le talent d'Everson Griffen à explosé au yeux de tous et non celle ou il a explosé en plein vol. Pour résumer : ça passe ou ça casse. Croisons les doigts.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Autres prolongations à noter : celle du médiocre et vieillissant, mais versatile - c'est toujours mieux que rien - <b>Charlie Johnson</b> (2 ans et $2.5M), du bondissant et irrégulier <b>Jerome Simpson</b>, qui devra confirmer sa belle saison de l'an passé et si possible éviter de prendre le volant après avoir picolé. <b>Matt Cassel</b> (2 ans et $2M) aussi a rempilé. Sera-t-il un mentor ou une doublure? La draft apportera un début de réponse. Après un bref séjour dans le désert, <b>Jasper Brinkley</b> retrouve la neige et le froid du Minnesota, où il devra, au mieux, se contenter d'un rôle de remplaçant.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Côté départs, <b>Jared Allen</b> (Bears) et<b> Letroy Guion</b> (Cheesers) sont passés à l'ennemi, <b>Joe Webb</b> est parti jouer les quarterbacks... ou les receveurs... enfin bref il s'est envolé pour le soleil de la Caroline et <b>Toby Gerhart </b>va tenter de prouver qu'il peut être coureur titulaire chez les Jaguars, bon courage. Quant à <b>John Carlson</b> et <b>Erin Henderson</b>, ils ont été coupés et ne nous manqueront pas particulièrement.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: large;">ET SI ON PARLAIT DE LA DRAFT?</span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">C'est la saison des mocks drafts. Et histoire de ne pas faire comme tout le monde, nous allons nous tenir éloignés de cet exercice ô combien périlleux et aléatoire. Mais nous allons tout de même nous pencher sur les différents scénarios qui pourraient se dérouler le 8 mai prochain au soir, jour du premier tour de la draft. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Avec le 8e choix général et beaucoup de trous à combler, les opportunités sont nombreuses pour les Vikings. Rick Spielman nous a habitués à avoir le nez creux et faire de gros coups ces deux dernières saisons. Espérons qu'il ne réalisera pas la même erreur qu'en 2011 en faisant un <i>reach </i>pour un<b> </b>quarterback. À l'époque il avait jeté son dévolu sur Christian Ponder. On connaît trop bien la suite de l'histoire...</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Compte tenu des besoins des Vikings, trois scénarios se dessinent pour le premier tour : un quarterback, un linebacker ou un defensive back.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1HrzdrzBVeSdSnen3VIb5AzIp4yd3Whkpzrb8piFZP26-ZuuaZYGPG_GXt5RNOu90lXol53YB_1pW_hHtm1Ux7NM1Au-Akqmu5S8OIC7DXOoHSTZX56y0y1cLKEvYKOwYCadAmNEmh3Q/s1600/2014DraftQB.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1HrzdrzBVeSdSnen3VIb5AzIp4yd3Whkpzrb8piFZP26-ZuuaZYGPG_GXt5RNOu90lXol53YB_1pW_hHtm1Ux7NM1Au-Akqmu5S8OIC7DXOoHSTZX56y0y1cLKEvYKOwYCadAmNEmh3Q/s1600/2014DraftQB.jpg" height="348" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Malgré sa densité, pas d'Andrew Luck à l'horizon dans la cuvée 2014</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Scénario #1 : un quarterback</span></span></b></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Plus la draft approche, plus le scénario d'une ruée vers les quarterbacks en début de premier tour semble s'éloigner.</span><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"> </span></b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si bien que les Vikings pourraient se retrouver avec l'embarras du choix en 8e position. Seulement, <b>Johnny Manziel </b>ne</span></span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"> rentre ni dans les plans de Mike Zimmer ni dans le moule des Vikings, <b>Teddy Bridgewater</b>, attendu tout en haut il y a 8 mois, continu tranquillement sa lente dégringolade et pourrait bien quitter le premier tour, quant à <b>Derek Carr</b>, le sélectionner dès la première journée ressemblerait à un <i>reach</i>.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Reste le cas <b>Blake Bortles</b>. Et celui-ci, à l'inverse de ses compères, pourrait bien être déjà parti lorsque le tour des Vikings viendra. Quand bien même il serait encore disponible, Rick Spielman a tenu à le rappeler, il ne compte pas jouer à la loterie avec ce choix et ne prendre aucun risque. Or, selon lui, aucun des passeurs de la cuvée 2014 n'offre suffisamment d'assurances. Au final tous les indicateurs semblent pointer dans une direction : les Violets ne drafteront pas de quarterback au premier tour. Cependant, le scénario d'un <i>trade up</i> pour acquérir l'ancien passeur de UCF n'est pas à exclure. Avec quatre choix dans les trois premiers tours, la franchise du Minnesota a les munitions suffisantes pour monter pareille opération. Les deux parties se sont déjà rencontrées à deux reprises (Combine et essais privés).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Cependant, si les Vikings choisissent de faire l'impasse sur un quarterback au premier tour, ils pourraient bien jeter leur dévolu sur <b>Zach Mettenberger</b> avec leur 40e choix. Son puissant bras semble les avoir séduits. L'ancien passeur de LSU a lui aussi tenu une séance privée avec la franchise. Finalement, c'est la deuxième journée qui pourrait nous offrir une ruée vers les passeurs. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><b>Scénario #2 : un linebacker</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><b>Khalil Mack </b>probablement déjà parti, <b>Anthony Barr</b> jugé encore trop brut, c'est <b>CJ Mosley</b> qui fait office de favori dans ce scénario. Il faut dire que les Vikings ont un besoin criant d'un middle linebacker. Joueur robuste et extrêmement physique, l'ancien défenseur de Bama à tout du candidat parfait. L'hypothèse Mack n'est pas à écarter, mais l'outside linebacker semble avoir la cote en ce moment et pourrait bien s'envoler avant que le tour des Violets ne vienne. S'il est encore disponible, le laisser filer serait une erreur.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><br /></span></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><span style="color: black;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghukG_3L2BpNdfL7Rm-sY5R_KQAOAjf5j3VEIRaK5kUncSmnj-QBfaUtuL4Cg7an6BJrWDVtzTtCRzVSvMBkIryqxxht5nJbH_ClK2ZQYbOVLwjAACyxfAk0cgQG4I9FhtP3R6hUaQako/s1600/Clinton-Dix.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghukG_3L2BpNdfL7Rm-sY5R_KQAOAjf5j3VEIRaK5kUncSmnj-QBfaUtuL4Cg7an6BJrWDVtzTtCRzVSvMBkIryqxxht5nJbH_ClK2ZQYbOVLwjAACyxfAk0cgQG4I9FhtP3R6hUaQako/s1600/Clinton-Dix.jpg" height="320" width="170" /></a></span></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Rira bien qui rira le dernier</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Scénario #3 : un defensive back</span></b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">La médiocrité du secondary des Vikings n'est plus à prouver. Dès lors, s'ils font l'impasse sur un quarterback, la franchise pourrait bien décider de consolider le fond de sa défense. Trois noms sortent du lot : les cornerbacks <b>Justin Gilbert </b>et <b>Darqueze Dennard</b>, et surtout le safety de Bama (encore) <b>Ha Ha</b> (ça ne s'invente pas) <b>Clinton-Dix</b>. Les arrivées de Cox et Munnerlyn pourraient inciter la franchise du Minnesota a recruter un jeune free safety bourré de talent, plutôt qu'un énième cornerback.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><span style="color: black;"><b><span style="color: orange;">Bilan </span> </b></span></span></span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Dans l'état actuel des choses, Blake Bortles fait office de favori devant Khalil Mack. Seulement, il est délicat, voire impossible de prévoir ce qui se passera le jour J. Un <i>trade up</i> pour drafter l'un des deux joueurs (très convoités)? Un <i>trade down</i> pour revenir plus tard dans le premier tour (tiens, ça me rappelle quelque chose...)? Un défenseur plutôt qu'un quarterback? Les Vikings nous ont réservé quelques surprises ces dernières années et ils pourraient bien récidiver. Pour notre plus grand bonheur. Espérons-le.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Avec le 8e choix général, des munitions dans les trois premiers tours et beaucoup de trous à combler, les possibilités sont multiples. Espérons que Rick Spielman saura se montrer aussi futé et avisé que ces deux dernières années. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">UN DÉPART EN FANFARE</span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Dévoilé la semaine dernière, le calendrier de la saison 2014 a réservé aux Vikings une entrée en matière des plus ardues. Mieux vaudra qu'ils soient fin prêts. Au programme : Rams, Patriots, Saints, Falcons et Packers. Le secondary aura intérêt à être au point s'il ne veut pas exploser en plein vol. Les cinq premières semaines donneront le ton de la saison. Si les Vikings s'en sortent sans trop de dommages, alors peut-être, pourrons-nous commencer à rêver. Sait-on jamais. Sur un malentendu.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Les hommes de Mike Zimmer devront attendre la semaine 10 pour enfin se reposer après une première partie de saison qui risque d'être éprouvante. La saison s'achèvera au TCF Bank Stadium. Face aux Bears. Le 28 décembre. Quelques flocons pourraient s'inviter à la fête. Sans compter que cette rencontre marquera le grand retour de Jared Allen. Accueil chaleureux en perspective. De quoi réchauffer l'atmosphère ambiante, qui risque d'être polaire.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">ET LE STADE PENDANT CE TEMPS-LÀ</span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;">Qui dit été, dit travaux! C'est partout pareil. La démolition du Metrodome s'est achevée il y a deux semaines. Et en avance sur le calendrier s'il vous plaît! Après avoir détruit le dôme en début d'année, les ouvriers on fait place nette en démantelant l'une après l'autre les tribunes. Les travaux de construction de la nouvelle enceinte ont déjà débuté et les fondations commencent déjà à sortir de terre.</span><br />
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><span style="color: black;"><span style="color: orange;"><span style="color: black;"><br /></span></span></span></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/WsmmDZKkZWw" width="560"></iframe> <br />
<br />
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">De son côté, le TCF Bank stadium se prépare à accueillir la NFL, dès le mois d'août prochain et la réception des Raiders et Cardinals. D'ici là, espérons que les Vikings auront trouvé leur nouveau franchise quarterback. </span><br />
<br />
<b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Skol Vikings tabar***!</span></span></b>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-892773269387065342014-02-25T17:23:00.001-05:002014-05-04T15:35:20.217-04:00Les Vikings de 1998 : la grande désillusion<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><b><span style="color: orange;">Minnesota Vikings // Histoire [Vidéos] </span></b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0eKQbo7oSU-IZU7Ula5MWkwl4RKguVL4sQxbdcZojVXTY3dcBc9Cnan6NdN7r6yAYgN-yuW_SueQaK6k7UB6L5cQB1vD9xBVVdXVZSJWragA6EPyaIC8DwAXUYnupt2x6sNP5r3Wvzso/s1600/c4s_newrandall030708_12534a_8col.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0eKQbo7oSU-IZU7Ula5MWkwl4RKguVL4sQxbdcZojVXTY3dcBc9Cnan6NdN7r6yAYgN-yuW_SueQaK6k7UB6L5cQB1vD9xBVVdXVZSJWragA6EPyaIC8DwAXUYnupt2x6sNP5r3Wvzso/s1600/c4s_newrandall030708_12534a_8col.jpg" height="459" width="640" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">L'histoire de la NFL est pleine de surprises. De ces équipes sorties
de nulle part qui se mêlent à la lutte pour le titre suprême. Les
Cardinals de 2008, finalistes malheureux face à Pittsburgh, ou les
Giants de 2007, vainqueurs-surprises des Patriots, sont quelques
exemples récents de ces formations totalement inattendues, mais qui ont
su déjouer les pronostics pour se hisser sur le toit de la ligue.
Seulement, si les contes de fées existent dans la NFL, les désillusions
également. Et à ce petit jeu les Minnesota Vikings de 1998 ont
probablement la palme.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Une génération dorée, bourrée de talent, un
mix parfait entre une jeunesse insouciante et débordant d'envie et des
joueurs d'expérience rompus aux joutes de la NFL. Un amalgame idéal, une
saison presque idyllique, mais au bout un accroc. Un tout petit accroc
aux conséquences désastreuses, qui laisse s'envoler un billet pour le
Super Bowl qui semblait pourtant promis aux Vikings. Car en sport, être
le meilleur ne suffit pas pour gagner. Et la NFL n'échappe pas à cette
règle.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>L'histoire d'un rouleau compresseur</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si
les Minnesota Vikings version 1998 sont restés dans les annales, c'est
avant tout grâce à leur attaque de feu. Véritable arme de destruction
massive, l'escouade offensive composée par le head coach Dennis Green
écrase la concurrence tout au long d'une saison conclue sur un bilan de
15 victoires pour une seule défaite. La franchise établit ce qui
constituait alors un record en inscrivant pas moins de 556 points.
Depuis, les Patriots de 2007 et leurs 589 unités sont passés par là.</span></div>
<div class="mceTemp" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img alt="1moss0215" class="size-medium wp-image-80058 " data-mce-src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/1moss0215-300x211.jpg" src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/1moss0215-300x211.jpg" height="211" width="300" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Randy Moss (#84) et Cris Carter (#80) : duo de receveurs de choc</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">C'est
cette attaque chirurgicale dirigée par Brian Billick qui voit
l'explosion d'un petit rookie qui allait, au fil des années, se hisser
parmi les meilleurs joueurs de l'histoire à son poste. Aux côtés de Cris
Carter et Jake Reed, Randy Moss, fraîchement sorti de Marshall,
débarque dans la ligue telle une tornade et éclabousse la saison 1998 de
son talent. Cette année-là, le jeune receveur enregistre pas moins de
69 réceptions, 1313 yards et 17 touchdowns. Le vétéran Cris Carter
attrape quant à lui 78 passes pour un total de 1011 yards et 12
touchdowns. Emmenée par Brad Johnson, puis Randall Cunningham après la
blessure du premier en deuxième semaine, l'attaque des Vikings inscrit
plus de 30 points lors de 11 de ses 15 succès.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<a name='more'></a><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Au sein de l'une
des attaques aériennes les plus prolifiques de l'époque, et même de
l'histoire, le jeu au sol n'est pas en reste. Désormais éclipsé par
l'extraterrestre Adrian Peterson, Robert Smith se hisse aux côtés de
Chuck Foreman parmi les tout meilleurs coureurs de l'histoire de la
franchise. Dans une escouade offensive où le jeu aérien règne en maître,
l'explosif Smith offre de la variété et de l'alternance grâce à ses
1187 yards et 6 touchdowns, tandis que le surpuissant Leroy Hoard ajoute
9 touchdowns tout en force et détermination.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dans l'ombre d'une
attaque aux allures de rouleau compresseur, la défense de l'excentrique
et ô combien redoutable John Randle (10,5 sacks en 1998) ne concède que
296 points.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Seuls les Buccaneers parviennent à s'offrir le scalp
des Vikings cette saison-là. Après une démonstration de force face aux
Cardinals en Divisionnal Playoffs (41-21), un dernier obstacle se dresse
sur la route qui doit mener tout droit au Super Bowl cette équipe que
rien ne semble pouvoir arrêter. Mais il en fut tout autrement. Preuve
qu'en sport rien n'est jamais joué d'avance.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>L'histoire d'un coup de pied raté</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">17
janvier 1999, le Metrodome de Minneapolis est plein à craquer. Les
hommes de Dennis Green accueillent les Falcons pour s'ouvrir les portes
d'un Super Bowl qui leur semble prédestiné. Face à eux, une équipe
d'Atlanta qui n'a rien d'un faire-valoir. Emmenés par un Jamal Anderson
en forme olympique (1846 yards et 18 touchdowns au sol), les Géorgiens
ont conclu la saison régulière sur un bilan de 14-2. Pourtant, à
l'époque, personne ne donne cher de leur peau, face à des Vikings
assoiffés de victoire.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 0px; margin-right: 0px; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img alt="30vike1221.1" class="size-medium wp-image-80093 " data-mce-src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/30vike1221.1-245x300.jpg" src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/30vike1221.1-245x300.jpg" height="300" width="245" /></td></tr>
<tr align="center"><td class="tr-caption"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En finale NFC, Gary Anderson avait la victoire au bout du pied</span></span></td><td class="tr-caption"></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dans
un match où le rookie de l'année Randy Moss est verrouillé par le
vétéran Ray Buchanan, les Falcons frappent d'entrée. A la mi-temps les
visiteurs sont devant (20-14). Minneapolis refait son retard et à deux
minutes de la fin Gary Anderson AKA Monsieur Parfait a l'occasion de
donner un avantage de 10 points qui ouvrirait presque à coup sûr une
voie royale vers Miami et un affrontement avec les Broncos de John
Elway. Mais à 38 yards, celui qui n'avait pas raté le moindre coup de
pied depuis près de deux ans, envoie le ballon trop à gauche. Les
Vikings viennent de rater l'occasion de tuer le match. Le momentum a
changé de camp. Les Falcons saisissent l'offrande et égalisent. Le titre
de la NFC se jouera en prolongation.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Les deux équipes semblent
exténuées. Dans un dernier effort, Atlanta parvient à remonter le ballon
à distance suffisante pour un autre kicker d'élite, le Danois Morten
Andersen. Le vétéran de 39 ans ne rate pas l'occasion et passe la
tentative de 39 yards. Stupeur dans le Metrodome. L'improbable vient de
se produire. Les Vikings, invaincus jusque-là dans leur antre, viennent
de s'incliner. Leur rêve de Super Bowl vient de s'envoler. Le
Sud-Africain Gary Anderson quitte le stade tête basse. Toute le talent
des hommes du Nord n'aura pas suffit, les Falcons avaient plus de cœur
ce soir-là.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La désillusion est immense. La leçon l'est aussi.
Equipe de rêve, véritable armada offensive bourrée de talent, les
Vikings de 1998 demeurent l'une des toutes meilleures formations a avoir
foulé les terrains NFL. Mais contrairement aux Rams de 1999 et à
l'image des Patriots de 2007 ils resteront dans l'histoire comme l'une
de ces équipes à qui le triomphe tendait les bras mais qui n'ont pas su
le saisir. Comme les coéquipiers de Tom Brady, leur talent n'aura pas
suffi face à la détermination de leurs adversaires et face à ce que
certains verront peut-être comme un signe du destin.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Anecdotes sur les Vikings de 1998 :</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">- Avant son échec en finale de conférence NFC, Gary Anderson avait réussit chacune de ses 35 tentatives.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">-
10 joueurs des Vikings ont été invités au Pro Bowl à Hawaï en 1999 :
Randall Cunningham (QB), Robert Smith (RB), Randy Moss (WR), Cris Carter
(WR), Jeff Christy (OL), Randall McDaniel (OL), Todd Steussie (OL),
John Randle (DL), Ed McDaniel (LB) et Gary Anderson (K).</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">- Avec 17
touchdowns, le rookie de l'année Randy Moss a établit un record pour un
joueur de première année. Un record toujours d'actualité.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>La désillusion des Vikings, c'est ça :</b></span></span></div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/bsaFRmbVQ_o" width="560"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Mais les Vikings de 1998 c'est aussi ça :</b></span></span></div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/1r6IdEvSs38" width="560"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Article publié le 21 décembre 2013 sur touchdownactu.com :</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="http://www.touchdownactu.com/80055/histoire-les-vikings-de-1998-la-grande-desillusion/">http://www.touchdownactu.com/80055/histoire-les-vikings-de-1998-la-grande-desillusion/ </a></span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-58975849844047837252014-02-24T17:11:00.000-05:002014-05-04T15:35:42.938-04:00Jim Marshall : "The Wrong Way Run"<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: left;">
<span style="color: orange;"><b><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Minnesota Vikings // Histoire [Vidéos]</span></span></b></span></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJozBR96gguMM3tNPv8el6R4xyvzncdY7FLftTIQn3uJd4jTXHp6QyVAeypZz4aRgdDG_Mk9icgRt-Bg3MJlJlDkjk9Y8HbtaieZTUgzF9eSpeDDjKvQr2GnT4PjeoD84fuIpVRLFhfvI/s1600/purple-people-eaters.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJozBR96gguMM3tNPv8el6R4xyvzncdY7FLftTIQn3uJd4jTXHp6QyVAeypZz4aRgdDG_Mk9icgRt-Bg3MJlJlDkjk9Y8HbtaieZTUgzF9eSpeDDjKvQr2GnT4PjeoD84fuIpVRLFhfvI/s1600/purple-people-eaters.jpg" height="480" width="640" /></a></span></div>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Il est des jeux dont on se souvient pour leur beauté, leur
dramaturgie, leur tension. Il en est d'autres que l'on retient pour leur
folie, leur laideur, leur côté insensé.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si les actions loufoques
arrivent fréquemment dans la NFL, il est plus rare qu'elles impliquent
de véritables stars, des joueurs connus pour leur science du jeu, leurs
qualités athlétiques hors du commun. Jim Marshall est la preuve vivante
qu'être l'un des meilleurs joueurs à son poste n'immunise pas contre les
bourdes.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif; font-size: small;"><b>L'histoire de quatre chasseurs de quarterbacks venus du Nord</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b><br /> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Années
1970. Les "Purple People Eaters" hantent les nuits de tous les
quarterbacks de la ligue. Ligne défensive redoutable formée des futures
Hall of Famers Carl Eller et Alan Page ainsi que de Jim Marshall et Gary
Larsen, les quatre hommes ont assuré leur postérité au même titre que
le célèbre "Fearsome Foursome" des Los Angeles Rams dans les 60's, le
"Steel Curtain" des Pittsburgh Steelers version 70's et le "New York
Sack Exchange" des New York Jets une décennie plus tard.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img alt="Les "Purple People Eaters" : Jim Marshall (70), Carl Eller (81), Alan Page (88) et Gary Larsen (77)" class="size-medium wp-image-78711" data-mce-src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/91865.gif-300x200.jpg" src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/91865.gif-300x200.jpg" height="200" width="300" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">"Purple People Eaters" : Jim Marshall, Carl Eller, Alan Page & Gary Larsen</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Pendant
près de dix ans, la défense des Vikings devient le cauchemar de toutes
les attaques de la ligue : le moins de yards concédés, le moins de
points accordés. Un enfer pour les coordinateurs offensifs. A la tête de
cette escouade défensive, une ligne, véritable machine à plaquer les
quarterbacks, qui comptabilisera à elle seule 50 sacks en 1969. Au cœur
de l'époque dorée de la franchise, emmenés par Fran Tarkenton en
attaque, les "Purple People Eaters" connaîtront l'excitation du Super
Bowl à trois reprises (1973, 1974 et 1976), avec à chaque fois la même
issue malheureuse. Une défaite. Summum de la consécration de cette
défense de fer, le titre de MVP d'Alan Page en 1971, un cas unique dans
l'histoire de la NFL pour un joueur de ligne.</span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span><br />
<a name='more'></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Seulement, pour Jim
Marshall, premier membre de cette ligne de légende à avoir rejoint la
toute nouvelle franchise des Vikings en 1961, cette période dorée
n'était qu'un nouveau chapitre d'une histoire déjà entamée quelques
années plus tôt. Injustement ignoré par le Hall of Fame selon de
nombreux observateurs, le defensive end était déjà entré dans les
annales de la NFL en 1964, dans des circonstances dont il se serait
certainement passé.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>L'histoire d'une gaffe</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">25
octobre 1964. Les Vikings affrontent les San Francisco 49ers au Kezar
Stadium. En cette première moitié de saison, les deux équipes ne
brillent pas vraiment. Après six semaines, la franchise du Minnesota
affiche un bilan mitigé de 3-3 alors que les Californiens ne sont que
2-4. Dans une rencontre accrochée, les Violets et Or parviennent enfin à
faire la différence. Fran Tarkenton et ses jambes de feu y vont de leur
touchdown, avant que Jim Marshall ne provoque un fumble sur un sack et
que Carl Eller, autre éminent membre de ce qui deviendra quelques années
plus tard le "Purple Gang", retourne sur 45 yards jusque dans la
endzone. Les Vikings sont devant 27-17.</span></div>
<div class="mceTemp" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img alt="Le numéro 70 de Jim Marshall a été retiré par la franchise" class="size-medium wp-image-78721" data-mce-src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/marshall2-249x300.jpg" src="http://www.touchdownactu.com/wp-content/uploads/2013/12/marshall2-249x300.jpg" height="300" width="249" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Le numéro 70 de Jim Marshall a été retiré par la franchise</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Mais
Jim Marshall n'a pas fini de se faire remarquer dans cette rencontre.
Seulement les choses vont prendre un tour pour le moins inattendu et qui
fera à tout jamais entrer le joueur dans l'histoire de la ligue.
Repositionné en coureur, le quarterback Billy Kilmer réceptionne une
passe de George Mira. Pris en sandwich par plusieurs défenseurs, il
laisse échapper le ballon. Jim Marshall se précipite sur le cuir, s'en
empare et part à toutes enjambées... Dans la même direction. Au terme
d'une cavalcade de 66 yards vers son propre en-but, le défenseur,
croyant avoir marqué un touchdown jette le ballon en l'air de joie. Le
cuir file en ballon mort. Jim Marshall vient d'offrir deux points aux
49ers, probablement les plus faciles de l'histoire de la franchise.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Malgré
les cris de joie hystériques des fans Californiens et les aboiements de
Fran Tarkenton sur le bord tu terrain, Jim Marshall ne réalise son
erreur qu'une fois dans la endzone, après s'être débarrassé du ballon.
Lancé à sa poursuite le centre des 49ers Bruce Bosley est le premier à
rejoindre Marshall et ne manque pas de le remercier, non sans sarcasme,
pour l'offrande qu'il vient d'accorder. Le defensive end peine à
réaliser sa bourde, dans le feu de l'action il a totalement perdu ses
repères :</span></div>
<blockquote>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>"J'ai dit 'merci beaucoup' à Jim," raconte Bosley dans </i>The Football Hall of Shame 2<i>.
"Il m'a regardé comme si j'étais tombé sur la tête et a fait 'hein?'.
Puis il a regardé vers les tribunes et sur les lignes de côté avec un
air bizarre. Je ne pense pas qu'il ait réalisé ce qui venait vraiment de
se passer avant d'avoir marché une vingtaine de mètres."</i></span></blockquote>
</div>
</blockquote>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Fran Tarkenton se précipite vers Marshall, complètement déboussolé, et lui crie : <i>"Jim, tu t'es trompé de côté!"</i>. Mais il est trop tard, le mal est fait. Jim Marshall vient de s'assurer une place éternelle dans le grand bêtisier de la NFL.</span></div>
<blockquote>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><i>"J'ai ramassé le ballon et je suis parti en courant," racontera plus tard le joueur à </i>Sport Illustrated<i>.
"Tout le monde s'agitait et criait, mais je pensais qu'ils étaient en
train de me féliciter. Ce qui m'a fait dire que quelque chose clochait,
c'est le bruit. Je n'avais jamais entendu une foule réagir de la sorte."</i></span></blockquote>
</div>
</blockquote>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">L'histoire
se termine finalement bien pour Jim Marshall. Les Vikings l'emportent
tout de même 27-22 face à San Francisco et achèvent l'année avec un
bilan de 8-5-1, la première saison positive pour la jeune franchise. La
suite on la connaît. Les "Purple People Eaters", quatre apparitions au
Super Bowl (1969, 1973, 1974 et 1976), deux invitations au Pro Bowl
(1968 et 1969), le numéro 70 retiré et quelques records de longévité à
la clé. Cependant, sa longue et brillante carrière restera à jamais dans
l'ombre de cette énorme gaffe. Une bourde qui vaut à Marshall le
privilège de détenir, et probablement pour longtemps encore, le record
du jeu le plus court de l'histoire de la ligue avec -66 yards...</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Quelques précédents</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si
"The Wrong Way Run" reste collé à la peau de Jim Marshall, il n'est
pourtant pas le premier ni le dernier à avoir réalisé pareil exploit. En
1936, le Redskin Andy Farkas avait offert deux points aux Detroit Lions
en se trompant lui aussi de côté. En 1947, c'est le guard des Brooklyn
Dodgers, Harry Buffington, qui se mit en évidence en parcourant 30 yards
dans la mauvaise direction avant de se rendre compte de son erreur.
Trop tard malheureusement pour lui, violemment percuté il laissa
échapper le ballon devant sa endzone et offrit six points faciles aux
Baltimore Colts. Roy Riegels, célèbre malgré lui pour avoir réalisé
pareil exploit lors du Rose Bowl de 1929 envoya une lettre à Jim
Marshall pour lui souhaiter <i>"bienvenue au club"</i>.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Anecdotes sur Jim Marshall :</b></span></span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b> </b></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">-
Lorsqu'il prit sa retraite en 1979, Jim Marshall détenait le record de
longévité avec 282 matchs consécutifs (record battu par le punter Jeff
Feagles avec 352 matchs)</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">- Jim Marshall est le troisième joueur à
avoir disputé le plus de matchs dans la ligue (301), derrière les
inoxydables Brett Favre (323) et Jeff Feagles (363)</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">- Jim Marshall détient le record du nombre de fumbles recouverts en carrière : 30</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>"The Wrong Way Run" c'est ça :</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/l1UZy7SSdDI" width="560"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Mais Jim Marshall, c'est aussi ça :</b></span></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="//www.youtube.com/embed/FdJLhvOdHdc" width="560"></iframe>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Article
publié le 7 décembre 2013 sur touchdownactu.com : </span><br />
<a href="http://www.touchdownactu.com/78709/histoire-the-wrong-way-run-de-jim-marshall/"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">http://www.touchdownactu.com/78709/histoire-the-wrong-way-run-de-jim-marshall/</span></a></div>
</div>
</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-81705282727352706072013-08-30T17:44:00.000-04:002014-05-01T19:00:42.005-04:00Présaison 2013 // Ce qu'il faut retenir<span style="font-size: large;"><b><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Des questions, des préoccupations, des satisfactions</span></span></b></span><br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgb3VZc_5X7Ziy6NslwtQb5kjkk-edu1KN6QN8CaJ79l4M3xqYyLm0L3dGRkJWPp6vjYjCThs3O-52HFFpe8_ODnm_sBqk-4gy6WewtbvP3RFMvJzyEGtqfBocfSRBxC1rPbvVV7dbhHBw/s1600/tempbest-of-ps-083013-035083013--nfl_mezz_1280_1024.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgb3VZc_5X7Ziy6NslwtQb5kjkk-edu1KN6QN8CaJ79l4M3xqYyLm0L3dGRkJWPp6vjYjCThs3O-52HFFpe8_ODnm_sBqk-4gy6WewtbvP3RFMvJzyEGtqfBocfSRBxC1rPbvVV7dbhHBw/s400/tempbest-of-ps-083013-035083013--nfl_mezz_1280_1024.jpg" height="459" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;">Minnesota Vikings</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Après une présaison difficile et trois défaites pour commencer, les Vikings ont achevé leur préparation hier soir par une victoire in extremis face aux Tennessee Titans, le dernier match de présaison de l'histoire du Metrodome. C'est l'occasion de revenir sur quelques-uns des enseignements à tirer de ces quatre rencontres. Quatre matchs qui ont laissé entrevoir de belles choses, notamment de la part des rookies, mais également (re)soulevé de nombreuses questions des deux côtés du ballon.</span></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Commençons par ce qui cloche, ou du moins les préoccupations et questions qui demeurent sans réponse à l'issue de la présaison.</span></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="color: orange;"><b>SOUCIS EN PERSPECTIVE </b></span></span></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Recherche : <i>franchise quarterback</i></b></span></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">C'est la question récurrente lorsque l'on parle des Vikings, quid de <a href="http://www.nfl.com/player/christianponder/2495215/profile">Christian Ponder</a>? A-t-il l'étoffe d'un <i>franchise quarterback</i>? La présaison n'est peut-être pas le meilleur moment pour balayer toutes les interrogations qui l'entourent, mais force est de constater que l'ancien passeur des Seminoles n'a pas vraiment rassuré et a soufflé le chaud et le froid en ce mois d'août. Auteur d'une interception (malchanceuse) sur l'une de ses deux seules passes lors du match d'ouverture, il n'a pas davantage convaincu contre Buffalo, dans une rencontre où il a passé plus de temps sur le bord du terrain. Avec un temps de jeu étendu face aux 49ers lors du match trois, Ponder a rendu une copie correcte, mais sans plus (17/23, 73.9%, 116 yards, deux TDs, une interception) face à une opposition de qualité. Rien d'alarmant, mais rien de particulièrement rassurant non plus.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span><br />
<a name='more'></a><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Derrière <a href="http://www.nfl.com/player/mattcassel/2506562/profile">Matt Cassel</a>, nouvelle doublure de Ponder, a fait du Matt Cassel (55%, 317 yards, un TD et une interception sur l'ensemble des quatre matchs). Une copie moyenne, pour un joueur moyen qui semble toujours sous pression dans sa poche de protection, pas vraiment rassurant. Même <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=9&cad=rja&ved=0CFcQFjAI&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fmcleodbethel-thompson%2F2530750%2Fprofile&ei=sfwgUrr9GuimsQSxkIGwAw&usg=AFQjCNEoUwMnYiBGrHMWVGCINU9LI3TQwg&bvm=bv.51495398,d.cWc">McLeod Bethel-Thompson</a> a dégagé davantage d'assurance, peut-être de quoi lui assurer une place de #3 dans le roster. Réponse au plus tard dimanche en fin de journée.</span></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Un <i>secondary </i>à la rue, ou presque</b></span></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">De l'autre côté du ballon les inquiétudes sont grandes quant au niveau du dernier rideau défensif. Si <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=8&cad=rja&ved=0CFMQFjAH&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fharrisonsmith%2F2532948%2Fprofile&ei=Pv0gUvzeIYqssQSS94CwCw&usg=AFQjCNG-MkeqsfNH6hHBzPUDUGNYW-quTw&bvm=bv.51495398,d.cWc">Harrison Smith</a> fait déjà figure de leader et de valeur sûre, on ne peut pas en dire autant des cornerbacks. A commencer par un autre rookie de la saison passé, <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&ved=0CDUQFjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fjoshrobinson%2F2533542%2Fprofile&ei=Tv0gUsGQMZGgsASQ5oDICQ&usg=AFQjCNEC69f4tlMoFePumHtvaJPgcop3Ag&bvm=bv.51495398,d.cWc">Josh Robinson</a>, prétendant à une place de titulaire et totalement à la rue lors de l'opposition contre les 49ers. Antoine Winfield nous manque déjà. Seul joueur assuré d'être titulaire pour le début de la saison à Detroit, <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&ved=0CC4QFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fchriscook%2F494263%2Fprofile&ei=lP4gUsXlNbOysAT_k4HYCA&usg=AFQjCNFkyDdqJmBnBNyGHuZjZmUX52RTUg&bvm=bv.51495398,d.cWc">Chris Cook</a>, ses blessures et ses problèmes en dehors du terrain, semblent bien esseulés au sein d'un groupe jeune et limité. Le rookie <a href="http://www.nfl.com/player/xavierrhodes/2540155/profile">Xavier Rhodes</a> a montré qu'il avait encore une marge de progression, mais pourrait bien profiter de la faiblesse de ses coéquipiers pour se faire une place de titulaire plus vite que prévu. Le secondary devrait encore être le talon d'Achille de la défense des Violets.</span></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>Du talent, mais peu de profondeur </b></span></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Autre préoccupation dans la défense des Vikings, la profondeur de banc au cœur de la ligne. Blessé par un <i>cut block</i> vicieux face à San Francisco, le vétéran <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=10&cad=rja&ved=0CF0QFjAJ&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fkevinwilliams%2F2505576%2Fprofile&ei=5P8gUpbJBPjd4APy-ICoCw&usg=AFQjCNGr-euAmv0ZWIKNDsJQV3yLzCz0qQ&bvm=bv.51495398,d.dmg">Kevin Williams</a> devrait être présent pour débuter la saison si l'on en croit Leslie Frazier, mais rien n'est moins sûr. Derrière, brillant lors de ses débuts en NFL contre Houston, <a href="http://www.nfl.com/players/SharrifFloyd/profile?id=FLO781132">Sharrif Floyd</a> a manqué les trois rencontres suivantes à cause d'une blessure au genou. Quant à <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&ved=0CEgQFjAD&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fchristianballard%2F2495261%2Fprofile&ei=mAAhUryzL-_i4AOb94CQDA&usg=AFQjCNEEySNkEGsfPvGMZJQ5T8ALVmJY_w&bvm=bv.51495398,d.dmg">Christian Ballard</a>, il a quitté l'équipe provisoirement pour des raisons personnelles. Des absences qui pourraient porter préjudice si elles se confirment ou se prolongent.</span></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
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<b><span style="font-size: small;"><span style="color: orange;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">DES NOUVELLES TÊTES QUI RASSURENT</span></span></span></b></div>
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<br />
<b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Un rookie, du talent, des promesses</span></b></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Rick Spielman et les Vikings avaient décidé de grimper dans la draft pour le sélectionner et peu de doute qu'ils s'en frottent déjà les mains.</span> <span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Présent sur le terrain lors des trois premières rencontres, <a href="http://www.nfl.com/player/cordarrellepatterson/2540145/profile">Cordarelle Patterson</a> a fait étalage de toutes ses qualités athlétiques, son explosivité ballon en main, de sa vision ainsi que de la sûreté de ses mains, chose qui manquait aux receveurs des Violets. Encore perfectible sur ses routes, sa versatilité fait de lui un danger de tous les instants en attaque comme sur le jeu de retour. Son impact devrait être immédiat.</span></div>
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<b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">La bonne pioche </span></b></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">C'était un risque, ça l'est toujours, mais au vu de sa présaison, <a href="http://www.nfl.com/player/desmondbishop/2495552/profile">Desmond Bishop</a> ressemble beaucoup à un bonne affaire pour les hommes de Leslie Frazier. Ses sept plaquages, dont deux pour perte, hier s'inscrivent dans la continuité de sa performance de la semaine passée face aux 49ers et pourraient bien lui offrir une place de titulaire au milieu ou côté faible de la ligne de linebackers dès la semaine prochaine. S'il échappe aux blessures, il pourrait être l'un des moteurs de la défense des Purple & Gold version 2013.</span></div>
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<br /></div>
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<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><b>En vrac </b>: Marcus Sherels a confirmé ses qualités de retourneur et devrait figurer dans les 53.</span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"> <a href="http://www.nfl.com/players/JeffLocke/profile?id=LOC061448">Jeff Locke</a> ne nous fera pas regretter Chris Kluwe très longtemps<b>.</b> <a href="http://www.nfl.com/players/ZachLine/profile?id=LIN516110">Zach Line</a>, brillant par moment, devrait compenser la suspension de <a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&cad=rja&ved=0CEUQFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fjeromefelton%2F230%2Fprofile&ei=oAwhUvXVIvKn4AOEmoCoDA&usg=AFQjCNF-nTtR1PmSYJVvE6v7VgGtiN6oPw&bvm=bv.51495398,d.dmg">Jerome Felton</a>.</span><b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></b></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Dans une présaison au cours de laquelle le MVP en titre n'aura pas touché le ballon une seule fois, ce sont davantage les préoccupations et les doutes qui l'emportent. Avec un bilan de 1-3 les Violets n'ont pas vraiment convaincu, ni rassuré. Difficile dans ces conditions d'être confiant pour la saison à venir. Mais après tout, on craignait la même chose il y a un an, on connait le résultat. Une chose est sûre la destinée de l'équipe sera inévitablement liée aux performances individuelles de Christian Ponder et d'<a href="http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&sqi=2&ved=0CC8QFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.nfl.com%2Fplayer%2Fadrianpeterson%2F2507164%2Fprofile&ei=CA8hUoPhEZjH4AOt5YHoBA&usg=AFQjCNFWpclPk7wTHg-o7AciGw-aqEUV_g&bvm=bv.51495398,d.dmg">Adrian Peterson</a>.</span> <span style="font-family: "Helvetica Neue",Arial,Helvetica,sans-serif;">Place désormais aux <i>cuts</i>, le staff des Vikings va devoir faire tomber l'effectif à 53 noms avant dimanche soir. </span></div>
Unknownnoreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-8297399417901310788.post-65625896628757211792013-06-24T17:01:00.003-04:002014-05-01T18:37:48.992-04:00Desmond Bishop // Un an chez les Vikings<b><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="color: orange;">Welcome to the Minnesota Packers</span></span></span></b><br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsRJaMtzdhW5DH_sEf3kufwSN2LfIcSH-spfR4hzdbXku22rASq7-9cXyq9CFGgsp7-pcN0MIKyf4XlQwFB4VgvzuCfoNrSBtY0zowmVjs6Iv1X0DkkOvMI8HXce8HAoSjQgjMVjtabFw/s1600/Desmond_Bishop.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsRJaMtzdhW5DH_sEf3kufwSN2LfIcSH-spfR4hzdbXku22rASq7-9cXyq9CFGgsp7-pcN0MIKyf4XlQwFB4VgvzuCfoNrSBtY0zowmVjs6Iv1X0DkkOvMI8HXce8HAoSjQgjMVjtabFw/s400/Desmond_Bishop.jpg" height="433" width="640" /></a> </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Et un de plus! Ce n'est pas le premier et ça ne sera certainement pas le dernier. Desmond Bishop rejoint Greg Jennings, Brett Favre, Darren Sharper ou encore Ryan Longwell dans la lignée des Packers à traverser la frontière de l'état pour rejoindre le Minnesota. Fraîchement coupé par la franchise du Wisconsin après une saison 2012 vierge, gâchée par une blessure aux ischio-jambiers, Bishop n'aura pas tardé à trouver une nouvelle équipe. Et c'est tout sauf une surprise de le voir <a href="https://twitter.com/ProFootballTalk/statuses/349237703679815682">poser ses valises pour un an</a> du côté d'Eden Prairie.</span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"></span></div>
<a name='more'></a><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">En quête d'un middle linebacker depuis le début de l'intersaison, les Vikings avaient fait l'impasse sur la <i>draft </i>pour combler ce besoin et s'étaient montrés réticents à recruter un vétéran comme Brian Urlacher. La patience aura finalement payé. En concurrence avec les Chiefs et les Giants, la franchise du Minnesota a su s'attirer les faveurs de l'ancien Packer. </span><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si les termes précis du contrat n'ont pas encore été </span>annoncés, <a href="https://twitter.com/TomPelissero/statuses/349242010944811009">ils ne devraient pas excéder $2M selon Tom Pelissero</a>. Un pari peu risqué pour un joueur qui, en pleine santé, avait cumulé 218 plaquages, 8 sacks, une interception, 4 fumbles et un touchdown au cours des saisons 2010 et 2011. </span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS",sans-serif;">Si comme il le dit, ses blessures font partie du passé, Desmond Bishop est un ajout de taille pour un groupe de linebacker toujours en quête de qualité et d'expérience. Il devrait être en concurrence avec Erin Henderson, <a href="http://thevikingsworldfan.blogspot.ca/2013/05/erin-henderson-reconversion-en-mlb.html">fraîchement reconverti</a>, pour le poste de middle linebacker, à moins qu'il n'hérite du Will spot, côté faible du deuxième rideau, à l'opposé de l'indéboulonnable Chad Greenway. Le coordinateur défensif Alan Williams, dispose désormais d'un groupe de linebackers plus étoffé, reste à déterminer le rôle que chacun occupera. S'il est épargné par les pépins physiques et retrouve son niveau de 2010, Desmond Bishop pourrait être la bonne pioche de la <i>free agency</i> pour les Vikings. Réponse sur le terrain, dès le mois d'août.</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0