Mike Wallace // The New Norse Express
Un Dauphin dans l'État aux 10 000 lacs ! |
Il y'a deux ans, il avait préféré la chaleur floridienne au froid polaire du Minnesota. Résultat, Rick Spielman s'était replié sur le Chessehead Greg Jennings. Deux ans plus tard, Mike Wallace est prêt à enfiler son bonnet, sa Canada Goose et ses bottes Timberland pour affronter la neige et le blizzard le temps d'une saison, en attendant l'ouverture du nouveau stade (achevé à 44% !). Résultat : l'exemplaire Greg Jennings prend la porte (sniff). Non sans surprise. Impitoyable NFL. La boucle est bouclée. Avec deux ans de retard, les Violets ont obtenu ce qu'ils voulaient. Back to square one !
Dommage, en deux saisons, malgré une production en baisse (rien de surprenant quand on quitte Aaron Rodgers pour Ponder/Freeman/Cassel/Bridgewater), Greg Jennings s'était imposé comme le receveur le plus fiable. Une année de plus à Winter Park n'aurait pas fait de mal. Et s'il coûtait trop cher, on aurait pu se séparer d'un linebacker vieillissant et totalement à côté de ses pompes. Mais si vous voyez, celui avec le #52 dans le dos.
Mike Wallace est là, Greg Jennings ne l'est plus, alors parlons de l'ancien Steeler. Et il n'arrive pas seul puisque les Fins ont lâché un choix de 7e tour au passage. Parachuté à Miami en échange d'un choix de 7e tour en 2013, le receveur a pris la route des Twin Cities contre un choix de 5e round, cette fois-ci. Une bonne affaire pour les Dolphins. Un 5e tour que Minny avait obtenu en envoyant Matt Cassel à Buffalo. Un quarterback remplaçant contre un receveur numéro 1 ? On prend.
Un trade qui offre peut-être à Teddy Bridgewater la deepthreat qui lui manquait tant. Vous pouvez rayer Kevin White, Amari Cooper et DeVante Partker de vos mock drafts. Débarqué en provenance de Miami après deux saisons à souffler le chaud et le froid sous le doux soleil de floridien, les pieds dans le sable fin d'Ocean Beach, Mike Wallace va apporter au quarterback des Violets la verticalité qui lui a cruellement fait défaut lors de sa campagne de rookie. Greg Jennings parti, il devrait composer avec Charles Johnson, une autre fusée, un duo de choc sur les extérieurs, laissant à Jarius Wright et Adam Thielen le soin de quadriller le cœur du terrain. Un quatuor prometteur sur le papier. Et qui pourrait se transformer en quintet si Cordarelle Patterson se décidait enfin à apprendre à jouer au football.
Dommage, en deux saisons, malgré une production en baisse (rien de surprenant quand on quitte Aaron Rodgers pour Ponder/Freeman/Cassel/Bridgewater), Greg Jennings s'était imposé comme le receveur le plus fiable. Une année de plus à Winter Park n'aurait pas fait de mal. Et s'il coûtait trop cher, on aurait pu se séparer d'un linebacker vieillissant et totalement à côté de ses pompes. Mais si vous voyez, celui avec le #52 dans le dos.
Mike Wallace est là, Greg Jennings ne l'est plus, alors parlons de l'ancien Steeler. Et il n'arrive pas seul puisque les Fins ont lâché un choix de 7e tour au passage. Parachuté à Miami en échange d'un choix de 7e tour en 2013, le receveur a pris la route des Twin Cities contre un choix de 5e round, cette fois-ci. Une bonne affaire pour les Dolphins. Un 5e tour que Minny avait obtenu en envoyant Matt Cassel à Buffalo. Un quarterback remplaçant contre un receveur numéro 1 ? On prend.
Un trade qui offre peut-être à Teddy Bridgewater la deepthreat qui lui manquait tant. Vous pouvez rayer Kevin White, Amari Cooper et DeVante Partker de vos mock drafts. Débarqué en provenance de Miami après deux saisons à souffler le chaud et le froid sous le doux soleil de floridien, les pieds dans le sable fin d'Ocean Beach, Mike Wallace va apporter au quarterback des Violets la verticalité qui lui a cruellement fait défaut lors de sa campagne de rookie. Greg Jennings parti, il devrait composer avec Charles Johnson, une autre fusée, un duo de choc sur les extérieurs, laissant à Jarius Wright et Adam Thielen le soin de quadriller le cœur du terrain. Un quatuor prometteur sur le papier. Et qui pourrait se transformer en quintet si Cordarelle Patterson se décidait enfin à apprendre à jouer au football.
Si Mike Wallace a davantage fait parler de lui à cause de ses crises d'enfant gâté et de ses caprices de star que de ses performances sur le terrain, il demeure un receveur redoutable. Dans la profondeur, on connaissait déjà sa pointe de vitesse phénoménale, mais sous l'uniforme des Dolphins, il s'est découvert des qualités de finisseur dans la endzone qu'on ne lui connaissait pas. De ses 11 derniers touchdowns inscrits avec les Fins, 10 l'ont été dans la redzone. En tout, ce sont 15 touchdowns et 1792 yards que le speedster du bayou a récoltés.
Et à part Mike Wallace
Comme à son habitude Rick Spielman s'est fait discret. Il doit se réserver pour la draft. Matt Cassel expédié à Buffalo, Christian Ponder parti rejoindre Bill Musgrave à Oakland, les Vikings ont embauché Shaun Hill, l'ancien Ram, 49er et... Viking (!!!), pour jouer la nounou de Teddy. Durant son premier passage dans le Minnesota de 2002 à 2005, il n'a pas lancé la moindre passe, se contentant de deux courses pour deux yards négatifs. Probablement deux QB kneels. Espérons qu'il fera mieux s'il doit aller à la rescousse de Teddy.
Côté départ, Jasper Brinkley a filé à Dallas, Jerome Felton a pris la même direction que Matt Cassel et Ponder est parti jouer le rôle de doublure de Derek Carr. Ah ! Et Vladimir Ducasse est parti
Joe Berger a prolongé deux ans, le bulldozer Matt Asiata (aka MA2YPC) a rempilé pour une petite saison, croisons les doigts pour que ce soit la dernière, le long snapper Cullen Loeffler aussi a prolongé, mais ça on s'en fout un peu. Ce dont on se fout moins, c'est la prolongation de Tom Johnson, l'ancien CFLer débarqué de La Nouvelle-Orléans, et qui, sorti de nulle part, a amassé 6.5 sacks dans la rotation installée par Mike Zimmer au cœur de la ligne défensive.
En attendant la draft et la, peut-être (et Ôôô combien souhaitable), prolongation d'Harrison Smith, les Vikings ne devraient pas animer outre mesure la free agency. Sauf si le cas Adrian Peterson trouve (ENFIN!!!!!!) son épilogue. Scénario idéal : un échange avec des choix de draft à la clé. Pourquoi pas un 2e tour ! Scénario probable : libéré sans contrepartie et direction le désert de l'Arizona pour retrouver son pote Larry Fitzgerald. Affaire à suivre.
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